en gros: Pour n'diaye c'est Reims les fautif
Concernant Leyti N'diaye, le Stade de Reims a commis une bourde administrative. Il ne s'est pas aperçu qu'il avait dépassé son quota de joueurs prêtés, lequel dans le respect de l'article 266 de la charte du football ne doit pas excéder cinq.
Et pour l'autre j'avoue que c'est le grand n'importe quoi du foot français plutot:
Le deuxième cas concerne Amine Dennoun. On touche ici à une incohérence entre les règlements de la FIFA et ceux de la LFP. On l'avait vu avec l'affaire François Clerc, ce qui est autorisé par l'instance internationale et appliqué par les clubs étrangers, ne l'est pas par la LFP. La saison dernière, Amine Dennoun avait signé son premier contrat professionnel à Libourne. Un accord tripartite prévoyait qu'en fonction de son comportement, l'OM l'engagerait au terme de son année. Ce qui a été fait en juillet dernier.
Dans la foulée, l'OM a souhaité le prêter, pour permettre à Amine de s'aguerrir, car il semblait au staff qu'il ne pourrait pas s'imposer dans le groupe pro cette saison. Or, le règlement stipule qu'un club ne peut pas prêter un joueur avant le 1er janvier lorsque le contrat a pris effet le 1er juillet précédent. La commission juridique a appliqué un autre alinéa de l'article266: "Les joueurs faisant l'objet de mutation temporaire devront être licenciés au club depuis la précédente période d'enregistrement."Le même jour, en Espagne et en Angleterre, une transaction identique est passée comme une lettre à la poste.
Ignazo Gonzalez a été acheté par Valence à Monaco, le 1er septembre. Dans la foulée, le club valencian a prêté le joueur à Newcastle. On ne vous dit pas que c'est logique, mais personne n'a crié au scandale. Au fait, le dépoussiérage des textes préhistoriques de la LFP est prévu pour quand? Pour être complet, Amine Dennoun est rentré à Marseille. Il s'entraînera dès demain à La Commanderie.