malachi a écrit :Et oui, Brandon Lee joue vivant dans les griffes du dragon rouge...G.bedecarrax a écrit :Tu devrais, y'a Brandon Lee vivant et une scène de saiqueuseu dans une baignoire en bois
"Une action, ça monte et ça descend, c'est comme un ascenceur" 
Dans rapid fire aussivinceglz a écrit :malachi a écrit : Et oui, Brandon Lee joue vivant dans les griffes du dragon rouge...
euh oui mais dans Plan 9, Bela Lugosi n'a tourné qu'une ou deux scènes mais comme il était à peu près la seule attraction médiatique de ce PUR chef d'oeuvre, Ed Wood à fait comme s'il était là jusqu'au bout et on recollé cette scène plusieurs fois dans le film et engagé un autre acteur qui se baladait avec le bras sur le visage pendant le reste du film. Il a donc vraiment joué mort ! Un pur moment de bonheur ce film.malachi a écrit :Pas besoin d'aller si loin, Brandon Lee avait pas terminé The Crow
A voir absolment en famille ou entre amis. Seul... c'est plus compliqué à gérer. 
Ah mais il y a obligatoirement de ça, c'est ce que soulignait Buk la dernière fois avec "Pauline à la Plage", il y a forcément une part de distance de la part de Rohmer (du moins j'espèreG.bedecarrax a écrit :Mais si j'étais hilare pendant les 20 premières minutes, j'avais plus l'impression de me foutre de la gueule du film que de l'apprécier pour de vrai
). Je ne crois pas que quand il dessine des protagonistes aussi ridiculement désuets que ceux de Dombasle et Poupaud, sa motivation soit de chercher le sérieux, il suffit de voir les pauvres scènes chantées avec sa guitare et sa pouf, c'est affligeant au dernier degré (et on sent qu'on va pas rire du tout du tout ) Je le trouve très juste dans le style pédant, en faitAh, et j'suis également d'accord sur la simplicité du film (moins sur la justesse par contre, en tout cas celle des atermoiements incessants de Melvin Poupon -certes assez ludiques- qui m'ont rappelé les tentations homosexuelles du Louis Garrel des "Chansons d'Amour")
(Poupaud hein. Garrel même sa bite ne joue pas juste ) Comment dire... les dialogues sont théatraux, mais je trouve son ton naturel, ça colle bien avec le grotesque du personnage, selon moi Il tente le plan large, il sort plusieurs travelling, il se tape même une scène d'action avec un remake de Speed 2 sur le bateau de pêche 
) mais là y'a plus ou moins un scénario... j'ai souvenir d'un montage lamentable par contre, avec des ellipses aberrantes, un rythme saccadé qui donnerait presque le mal de mer... c'est à voir, en somme En effetvinceglz a écrit :euh oui mais dans Plan 9, Bela Lugosi n'a tourné qu'une ou deux scènes mais comme il était à peu près la seule attraction médiatique de ce PUR chef d'oeuvre, Ed Wood à fait comme s'il était là jusqu'au bout et on recollé cette scène plusieurs fois dans le film et engagé un autre acteur qui se baladait avec le bras sur le visage pendant le reste du film. Il a donc vraiment joué mort ! Un pur moment de bonheur ce film.malachi a écrit :Pas besoin d'aller si loin, Brandon Lee avait pas terminé The Crow
J'vais le remater tiens Quelques scenes mythiques !
Tiens un 'tit spoiler pour ceux qui ont vu le filmJ'ai trouvé le scénario trop simpliste avec tjs des situations ou tu te dis "lui il est vraiment con".
), mais à l'instar des Ja(oui)bac(ri) dont il est proche, ce bon vieil Emile Gravier devrait peut-être se contenter de la double casquette d'acteur/scénariste.
).
Yanick Dahan est d'accord avec toiRascassse a écrit :Le 1er est sensiblement moins bien que ses 2 prédécesseurs ("La mémoire dans la peau" et "La mort dans la peau").
Du même réalisateur que le 2eme ("La mort dans la peau"), il en récupère les défauts puissance 10 (une façon très hachée de filmer les scènes, avec trop de flash-back et de flous).
(et il m'aura appris le terme "personnage-fonction" ) ) avec Jet Li ( ) dans une production américano-hong-kongaise ( ) . Je m'attendais au pire du Wu Xia Pian-Hamburger-Coca. Et bien il m'a mis sur le John Q ) pour lequel je l'ai trouvé laaargement meilleur que ses rôles de gendre idéal. Première claque. Ensuite, pas de Rocky du tout, mais à la place, le dilemne classique du combattant sans honneur qui perd le combat moralement, précisément au moment où il le gagne physiquement. Venu d'une super production de ce genre, c'est assez rare, deuxième claque 
), Yu produit des plans magnifiques qu'il coupe toujours trop tôt, c'est sur-scripté souligné au Stabilo rose fushia rendant l'ensemble proche d'un « La Philo Chinoise pour les Nuls », c'est maladroit, c'est pataud, c'est Stars and Stripes et tambours et trompettes, mais ça ne suffit pas à nuire à l'ensemble. "Une action, ça monte et ça descend, c'est comme un ascenceur" C'est gentil çamalachi a écrit :Moi aussi je l'ai vu hier soir... et j'ai pensé à toi
- Bienvenu au petit Lubo! Yanick DahanKieros a écrit :
Yanick Dahan est d'accord avec toi
Sérieusement, pourquoi que tu l'aimes pas ?
