ps: merci de me dire si je fais parti du groupe des suceurs, c'est pour savoir hein...

Faut pas en avoir honte. Sucer c'est une régression normale. Mais bon faut penser à tuer le pere sinon on ne se tapera pas la mere :neutre:
Bryantissime !
Contre les Raptors, Kobe a marqué 81 points en 41 minutes de jeu. Une performance tout à fait remarquable et historique depuis le grand Wilt Chamberlain. La route vers le titre de MVP risque cependant d’être encore très longue.
Par Arthur Devedjian
L’arbre qui cache la forêt Lakers
Contre Dallas, il avait déjà inscrit 62 points en à peine 29 minutes. Une performance tout à fait comparable à celle réalisée contre Toronto, qui fait de Kobe Bryant un marqueur hors-norme au sein de la NBA. Le numéro 8 des Lakers est d’ailleurs largement en tête du classement des meilleurs marqueurs avec une moyenne de 36 points. Dire qu’il est indispensable au jeu des Lakers est un doux euphémisme. Lors de chacune de ses deux absences, les partenaires de Kobe se sont à chaque fois inclinés contre une équipe d’Utah solide mais loin d’être géniale. Une seule statistique résume la dépendance des Lakers pour leur capitaine : Bryant marque 37% des points de son équipe ! Une proportion hallucinante qu’on ne retrouve bien sûr dans aucune autre équipe. Allen Iverson, bon deuxième, est à peine au dessus des 30%. A lui seul, ce chiffre en dit long sur le cas Kobe. Car en effet, que penser d’une équipe qui dépend autant d’un joueur ? Pour battre les Lakers, il suffit finalement de défendre sur Bryant. Et c’est sans doute là que réside la clef de la performance de l’enfant terrible du basket US : il avait en face de lui une des plus faibles défenses de la Ligue, Toronto.
En Play-offs, Kobe aura du mal à rééditer ce genre de performance s’il se trouve marqué par des défenseurs du calibre de Bruce Bowen ou de Raja Bell. La vraie force de Bryant tient en fait dans sa très forte médiatisation au sein d’une ville toujours en mal de nouvelles vedettes. Comme il l’a toujours souhaité, il est enfin l’unique star d’une franchise prestigieuse, pour l’instant en phase de reconstruction. C’est là son principal atout. Les Pistons enquillent les victoires depuis le début de la saison dans une indifférence médiatique quasi-générale. Pourquoi ? Parce qu’il est bien difficile de ressortir une personnalité d’un groupe aussi homogène que celui des joueurs de Detroit. Oui Bryant est très fort, mais il incarne aussi la dérive complète du sport business : l’individualisation de la performance à outrance, au détriment du collectif. Du match contre Toronto, on ne retient pas la victoire mais uniquement le nombre de points marqués par Kobe. Si les Lakers avaient perdu, on aurait parlé des 81 points de Bryant de la même manière. L’effet de mode fait que tous les observateurs, à commencer par l’ancien de Chicago, Steve Kerr, annonce que Kobe sera forcément le prochain MVP. Un tel choix serait pourtant contraire à toutes les logiques.
Depuis que ce trophée existe, le Most Valuable Player incarne l’image du leader, de celui qui bonifie et fait gagner son équipe : Steve Nash à Phoenix, Kevin Garnett à Minnesota ou Tim Duncan à San Antonio. Certes, les Lakers gagnent plus que l’an dernier et joueront sans doute les Play-offs en fin de saison. Mais l’équipe de Phil Jackson est encore très loin des Spurs, des Mavs ou même des Suns. Avec seulement 22 victoires en 41 rencontres, les Lakers ne peuvent pas prétendre compter un MVP dans leur rang. C’est d’ailleurs le Zen Master qui a remis l’équipe à l’endroit, pas Kobe Bryant qui éclipse plus qu’il ne bonifie le jeu de ses partenaires. Le numéro 8 était même quasiment transparent l’an dernier quand son équipe sombrait. Les performances de son capitaine impressionnent d’ailleurs l’ancien coach de Jordan, tout autant qu’elles l’inquiètent. Dans les colonnes du Los Angeles Times, Phil Jackson explique ainsi : «Ce n’est pas exactement la manière idéale pour remporter un match, mais quand il faut en gagner un, on est heureux de disposer de ce genre de solution !» Tex Winter, l’assistant de Jackson aux Bulls et architecte de l’attaque en triangle enfonce le clou : «C’était l’un des meilleurs matchs exhibition que j’ai vu de ma vie, et j’en ai vu beaucoup. C’est tout ce que les fans aiment, mais je ne pense pas qu’on puisse gagner un titre comme ça !»
Tout sauf un leader !
Car les Lakers ne sont qu’une équipe de milieu de tableau, et si Kobe est un bon marqueur, il n’est… qu’un bon marqueur ! Il ne sera jamais l’équivalent d’un Jordan ou même d’un James, capable par leur charisme de porter une équipe à eux seuls et de transcender leurs partenaires jusqu’au titre suprême. Kobe a d’ailleurs refusé d’endosser ce rôle quand il a été drafté à Charlotte, pour être immédiatement transféré aux Lakers. Les vrais champions font les grandes équipes, pas l’inverse. En choisissant Cleveland, une équipe qui n’a pas joué les Play-offs depuis près de dix ans, James se pose en héritier direct dans le testament de Jordan. Le numéro 23 des Bulls avait mis 7 ans à hisser son équipe sur le toit du monde, une franchise qui n’avait jamais rien gagné avant son arrivée. Il ne l’a quittée qu’après en avoir fait la meilleure équipe de tous les temps, ou presque !
Aux Etats-Unis, un vrai champion, c’est ça… Et non pas un garçon capable d’inscrire 81 points contre une équipe de bas de tableau ! A force de prendre 50 tirs par match, il fallait bien qu’un soir de réussite, Kobe fasse «péter» les compteurs. Car à part tirer, Bryant est un joueur assez limité qui n’a, par exemple, jamais réalisé de triple double de sa carrière. On ne peut pas non plus dire qu’il ait bonifié le jeu de ses partenaires. Il suffit pour s’en convaincre de demander leur avis aux intéressés que sont Gary Payton, Shaquille O’Neal ou Karl Malone. Du temps d’O’Neal, il n’était d’ailleurs qu’un fidèle lieutenant, un statut qu’il ne supportait pas ! Et malgré cela, il était encore loin du niveau d’un Scottie Pippen, capable d’emmener les Bulls dans un septième match en demi-finales de conférence sans Jordan (en 94 contre les Knicks).
Kobe a sans doute grandi trop vite en sautant la case universitaire et en devenant le plus jeune joueur à fouler les parquets NBA à seulement 17 ans. Il a oublié que le basket était un sport collectif et pas seulement une performance physique. Car le numéro 8 des Lakers est incontestablement doué, son physique hors-norme lui permet de prendre plus de 40 tirs par match, dont les deux tiers à plus de six mètres de distance, ce qui demande une puissance physique qui est loin d’être le lot de tous les joueurs NBA ! Mais il n’aura jamais l’intelligence de jeu d’un James ou la vision d’un Nash. Il restera un diamant brut tant qu’il n’étoffera pas son jeu, basé uniquement sur l’attaque individuelle. A seulement 21 ans, LeBron James est déjà infiniment plus complet que lui et n’en est qu’un meilleur joueur pour son équipe !
Nul doute que Kobe a pris conscience d’une partie de ses lacunes en acceptant le retour de Phil Jackson à l’intersaison. Celui qu’on adore détester en raison notamment de son attitude prétentieuse et méprisante comprend que son manque de reconnaissance vient aussi de son absence totale d’altruisme. Après avoir accepté de faire partie de la prochaine Dream Team, il se montre enfin respectueux de ses aînés. A l’issue du match contre les Raptors, Bryant a ainsi expliqué sur le site officiel des Lakers : «Le simple fait que Magic Johnson m’ait appelé pour me féliciter et me dire à quel point il avait aimé ce match a infiniment plus de saveur que les 81 points que je viens de marquer !». Kobe poursuit donc sa mutation, sportive et médiatique. Mais le chemin à parcourir pour devenir l’égal d’un Garnett, d’un Nowitzki, d’un Duncan ou d’un James, est encore long !
Et de une , déjà parceque Raja Bell est un joueur qui défend bien, mais y en a pas mal comme ça dans la Ligue (un Eddie Jones est un super défenseur aussi , et Payton malgré son age rivalise également)des défenseurs du calibre de Bruce Bowen ou de Raja Bell.
Et de deux , nimporte quoi. Là ça fait 4 jours que NBA.com remet les vidéos , continue à en parler etc. Le mec (un grand connaisseur on dirait) a pas l'air d'avoir vu le match, moi j'l'ai vu, et en début de 3ème quart temps les Lakers étaient dans une merde totale, jusqu'à être mener de 18 points, Kobe est arrivé il les a enfoncés. Si les Lakers avaient perdu y aurait eu beaucoup moins d'enthousiasme, et j'vois pas comment on peut contredire ça.Si les Lakers avaient perdu, on aurait parlé des 81 points de Bryant de la même manière
Allez, celle là on la developpe pas il s'est enfoncé tout seul.Le numéro 8 était même quasiment transparent l’an dernier quand son équipe sombrait
Oui, bien sur... qu'il regarde quelques matchs NBA ça lui ferait pas de mal. C'est juste un très bon défenseur et actuellement le plus grand clutch player de la ligue mais bon.et si Kobe est un bon marqueur, il n’est… qu’un bon marqueur
Alors celle là est ENORME ! Mettre James à coté de Jordan et surtout parler de Lebron comme un leader qui fait gagner son équipe c'est dantesque. Son talent est monstrueux mais les 2 choses qui lui manquent c'est justement celles que ce guignol vient de signaler. Il sait pas encore prendre les choses en mains pour faire gagner sa team dans le money time mais ça je suis sur ça viendra avec le temps.Il ne sera jamais l’équivalent d’un Jordan ou même d’un James, capable par leur charisme de porter une équipe à eux seuls et de transcender leurs partenaires jusqu’au titre suprême
Il a été drafté connardEn choisissant Cleveland [...] James
Tu l'as sorti d'où ce mec chileno ?A force de prendre 50 tirs par match, il fallait bien qu’un soir de réussite, Kobe fasse «péter» les compteurs
Bryant est un joueur assez limité qui n’a, par exemple, jamais réalisé de triple double de sa carrière
Et sans Kobe, il aurait fait quoi Shaq ?Du temps d’O’Neal, il n’était d’ailleurs qu’un fidèle lieutenant, un statut qu’il ne supportait pas ! Et malgré cela, il était encore loin du niveau d’un Scottie Pippen, capable d’emmener les Bulls dans un septième match en demi-finales de conférence sans Jordan (en 94 contre les Knicks).
Arf il a oséMais le chemin à parcourir pour devenir l’égal d’un Garnett
Jamais dit le contraireBowen est le meilleur défenseur de la ligue ca c'est sur !
Il a jamais voulu prétendre à le devenir, il veut pas qu'on le compare à Jordan PAS parcequ'il veut apporter un plus grand impact au basket qu'il ne l'a fait lui (ça c'est impossible) , mais parcequ'il sait qu'il fera jamais mieux et que ça sert à rien de faire les comparaisons (et ça c'est pas moi c'est lui qui le dit)Kobe ne sera jamais un jordan
Sans Kobe le Shaq s'est fait sweeper en finale 95 avec Orlandosans kobe le shaq arrive en finale de conférence...