Bonsoir, je remets le couvert
<!--QuoteBegin-Kieros+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Kieros)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--><!--QuoteBegin-Pouin+Jul 20 2005, 02:27 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Pouin @ Jul 20 2005, 02:27 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Quand au Giro, il est bien plus adapté aux grimpeurs tel que des Tonkov, Simoni, Cunego ou Savoldelli que le tour. [/quote]
Putain la mauvaise foi

Simoni a été lâché dans tous les cols du Tour, 3ème, 2ème, 1ere, Hors catégorie, Tonkov de même, et tu oses dire que c'est parce que "le Giro est bien plus adapté aux grimpeurs" ?

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Bah faut que tu m'expliques le rapport dans tout ça entre ma phrase et ta réponse..
Le profil du Tour d'Italie est généralement beaucoup plus pentu que celui du Tour de France (ce qui est normal car beaucoup plus de plaines en France qu'en Italie) et que, par conséquent, tu trouveras plus de grimpeurs à son palmarès que de machines à rouler. Conclusion : le Giro est bien plus adapté pour des grimpeurs que le Tour. La ligne ci-dessus était à prendre dans ce sens et je pense que tu aligneras là dessus.

:langue:
Par ailleurs, je pense qu'effectuer des comparaisons entre les performances du Tour et du Giro des Tonkov, Simoni et consors est un peu compliquée puisqu'ils font généralement du Giro leur objectif premier dans la saison. Au même titre que les Espagnols pour le tour d'Espagne. Cependant des coureurs comme Cunego ou Valverde seront interessants pour les prochaines années, même si on les a peu ou pas vu pour l'instant sur le tour.
Enfin pour terminer là dessus, Pantani s'est baladé deux fois sur le Giro : en 1998, l'année de son unique victoire et en 2000 (à vérifier), où il a été contraint à s'arrêter pour un taux d'hématocrite trop élevé. Le reste n'a pas été transcendant.
Beltran, si il a navigué dans le grupetto, c'est parce qu'il a fait sa part de boulot hein. J'ai dit qu'il avait craqué parmi les premiers, mais toujours avant Savoldelli qui lui n'a absolument rien fait, à part dans les Vosges, contrairement à ce que tu sembles affirmer. Il n'est pas devenu un super coureur, il n'est même pas décevant, il est comme on l'a connu .
Je te laisse seul juge devant les faits, libre à toi de penser ensuite ce que tu veux :
8ème étape, arrivée à Gerardmer : Beltran invisible comme le reste des équipiers d'Armstrong, Savoldelli saute le dernier.
10ème étape, arrivée à Courchevel : Beltran arrive 5 minutes derrière l'italien lui même précédé d'Hincapie et Azevedo d'une minute.
11ème étape, arrivée à Briançon : Savoldelli dans le groupe de 25 coureurs avec Armstrong, Beltran finit lui à un quart d'heure derrière.
12ème étape : abandon de Beltran
J'ai rien contre ce pauvre Manuel, mais il était complètement à la ramasse et n'a rien apporté à Armstrong. Savoldelli aurait peut être pu apporté davantage notamment dans les ascencions, mais il ne faut pas oublier qu'un col se monte puis se descend et que l'Américain a été bien heureux de se caler dans la roue de l'italien. En plus, il gagne l'étape d'aujourd'hui..
<!--QuoteBegin-Kieros+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Kieros)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->C'est Bondue, directeur de Cofidis, qui voyant sa maladie, a obligé Armstrong à renégocier son contrat, avec son salaire amputé aux trois-quarts, et une clause de désengagement. Si Armstrong refusait, il n'avait plus d'assurance maladie, il l'a signé contraint et forcé. Pendant ce temps là, Cofidis paradait en affirmant qu'ils soutenaient Armstrong entièrement. Guimard, manager de l'époque, s'en était d'ailleurs indigné. Ca, c'est la vérité, ce n'est pas "faire passer Armstrong pour agneau"

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Tu n'as pas la vérité, tout comme je ne l'ai surement pas. Les seuls qui l'ont sont les intéressés eux-mêmes. Je me contente d'exposer les faits recueillis, libre à chacun de se faire une opinion sur la chose..
Fin septembre 1996 : Lance Armstrong est un des tout meilleurs au classement UCI (dans les 10) après une bonne année de course. Il signe avec l'équipe Cofidis qui lui offre un contrat à la hauteur de son statut de leader et des espoirs qu'ils ont en lui.
Mi octobre 1996 : Lance Armstrong annonce publiquement son cancer des testicules et son intervention prochaine due à l'urgence. On ne sait si un jour, il pourra remonter sur un vélo.
1997 : L'équipe Cofidis paie Armstrong avec son salaire prévu même si celui-ci ne court pas (à juste titre..) et qu'aucune nouvelle de son rétablissement ne parvient en Europe (Armstrong se soignant chez lui).
Aout-Septembre 1997 : Alain Bondue, manager général, souhaite renégocier le contrat initial d'Armstrong, celui-ci devenant un "boulet financier". Le salaire est naturellement revu à la baisse (de 2/3 mais 2/3 d'un gros magot, ça reste confortable..) mais l'équipe souhaite cependant le conserver en son sein puisque les quelques résultats parvenus semblent encourageants. Il pourra vraisemblablement remonter sur un vélo, mais on ne sait pas s'il est capable de revenir ne serait ce qu'un niveau de professionnel.
Octobre 1997 : Après plusieurs entrevues avec le manager d'Armstrong, celui-ci accepte verbalement les conditions d'un nouveau contrat avec un salaire plus léger. Quelques jours plus tard, volte face : Armstrong indique via son manager que finalement, il refuse.
Novembre 1997 : Cofidis et Armstrong se sépare. Celui-ci rompant le contrat. Une semaine plus tard, on apprend qu'il s'est engagé avec l'Us Postal.
Au final, Armstrong n'a jamais porté une fois le maillot de la Cofidis en course. Je n'ai pas en tête les chiffres exacts de la "perte" financière qu'a été Armstrong. Je crois qu'on est pas loin des 4 ou 5 millions de francs pour une équipe dont le budget tournait autour des 40 à 45 millions.