Trouver cet équilibre est une tâche qui revient à José Anigo…
Ch.B. : «Non, c’est beaucoup plus collectif. José est à la baguette, c’est le chef d’orchestre mais si un violon sonne faux… On ne peut pas tout lui imputer. Je ne dis jamais la formule «j’ai confiance en mon entraîneur» parce qu’on s’empresse toujours de retourner la phrase. Avec José, on a besoin que d’un regard. Si un jour, il n’est plus là, d’un côté ou de l’autre, on le verra. Ce n’est pas la peine de se mettre une pression inutile. Il y a encore du travail, mais le succès est au bout».
Petit rappel :
CQFD, les jours d'Anigo sont comptésPeut-on imaginer qu'Alain Perrin prenne du recul ?
Ch.B. : "Non, il ne le fera pas. Il y a une aventure humaine dont nous ne sommes pas arrivés au bout. Non, vraiment, il faut être persuadé que nous accomplissons un travail de reconstruction du club, et qu'il est hors de question de changer de cap. Si on change d'avis quand on construit, on finit par bâtir un mur en zig-zag. Et ça, personne ne le souhaite".

En rajoutant qu'il s'était "couché" pour le transfert de Drogba ainsi que pour le rocambolesque départ de Mido alors qu'il clamait haut et fort que son retour ferait le plus grand bien à l'équipe, la venue inattendue de Fiorèse avec qui il s'était accroché la saison passeé et qui est detesté par les supp' marseillais, sans oublier ses récentes déclarations aussi stupides que démagos, ses piètres qualités d'entraineur (en tout cas sur ce qu'il nous montre depuis un p'tit bout de temps), son attaque frontale contre les supp', etc... etc... 'fin bref, ça fait beaucoup pour un seul homme, nul doute qu'il ne passera pas l'hiver

Première question : soutenez vous toujours Anigo ?
Deuxième question : qui pour éventuellement le remplacer ?
