c'est dingue c'que j'me sens pas competent pour marquer ça 
serie grangé :
je connaissais les rivieres pourpres, j'avais beaucoup apprecié le style d'ecriture et la separation de 2 enquêtes qui finissent par se rencontrer. Relativement decu par les 2 autres (je ne compte pas lire le dernier sorti), also voilà ce que ça donne :
le concile de pierre : **
Histoire qui commence en enquête, des passages ....; derangeants, visiblement commun à tous les grangé, mais bon, plus on avance, plus on s'demande où ça va nous mener. Encore et toujours le melange du milieu scientifique avec la mort et les machinations. Le probleme c'est que ça se termine en queue de poisson, ds le mystic comme a dit je n'sais plus qui. J'ai pas forcement trop compris le message qu'il voulait faire passer, mais c'est plus que tiré par les cheveux avec un style d'ecriture des plus barbants.
le vol des cigognes : ***
Beaucoup mieux ecrit, beaucoup plus realiste. Encore et toujours la science au service de la mort, faudra lui dire de choisir un peu la difficulté parfois à ce type
Parce qu'on a tjrs un peu l'sentiment d'un redit permanent dès qu'on ouvre un de ses bouquins. Mais faut bien avouer que celui-ci rejoint les rivieres pourpres, la fin est haletante, le livre va vraiment crescendo, c'est plaisant. J'vais pas vous raconter la fin, mais j'avoue avoir sursauté 
Par contre, comme ds tous les grangé, des scenes de baston toujours aussi mal ecrite et incomprehensible.
Pour ce qui est des mary higgins clark :
- nous nous reverrons : **
bien ecrit, mais d'un classicisme à toute epreuve en ce qui concerne le roman policier. Un meurtre, une enquête, on trouve le tueur de justesse à la fin
Ouais j'suis un batard, j'suis sur que vous aviez peur que le meurtrier en sorte impuni 
Bon, style d'ecriture plaisant, ça se lit comme un rien, la face psychologique de chaque personnage est bien abordé, bien decrite, y'a vraiment ce gros probleme d'originalité qui fait qu'on a l'impression d'être pris pour un con
- nous n'irons plus aux bois : ****
Absolument enorme, plus qu'un simple roman policier, c'est surtout une description des maladies de dedoublement de personnalité, du monde de la psychologie en regle generale. Ils disent qu'elle s'est documentée, bah je suis pas specialitste, mais ça se sent tellement elle n'elude rien et rentre ds le detail de chaque petite reaction. Du vrai bonheur, dans le sens où je m'attendais à un bouquin, comme celui evoqué juste avant.
- un cri dans la nuit : ***
Pas du tout un policier, un vrai affrontement psychologique (elle a l'air d'aimer ça) l'interêt reside dans le fait qu'on sent bien que jusqu'à la toute fin, elle peut choisir la folie pour le personnage qu'elle desire. Elle a un sacré don pour faire passer le malaise, un peu comme stephen king avec christine (la voiture bizarre
) au fur et à mesure que le livre avance, on sent bien que ça degenere, sans pour autant que le retour en arriere soit impossible.Bon à part ça, j'vous conseille le meurtre de aikroyd d'agatha christie pour les policiers, pour sa fin absolument unique
Mais, il va peut-être être temps que j'repasse à des livres un peu plus classique, disons que comme vous parliez de grangé, c'etait l'occase
petits livres avant de m'arrêter :
la ferme des animaux (georges orwell) : ****
comment decrire l'histoire du communisme sovietique à travers des animaux, c'est court et très fort !
pourquoi j'ai mangé mon père (roy lewis) : ***
livre court, très bien ecrit, la question du progrès face au conservatisme traité avec pas mal d'humour ..... j'ai assez aimé.
mon ami frederic (hans peter richter) : ****
les rapports de deux petits allemands durant toute la periode d'avant-guerre. Bien entendu, l'un des 2 est juif. C'est un roman vraiment emouvant et qui evite de faire une distinction permanente entre bons et mechants. Les chapitres suivent l'evolution de l'histoire, j'ai préféré au journal d'anne franck personellement
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:langue:
La bave de crapaud n'atteint pas le blanc de poulet 
ça m'a passionné 
), ça ne s'essoufle pas sur la fin.