Il y a t-il du poulet ici ??

[Allobroge]

Y a Vince qui est un agent de la CIA infiltré dans le FBI, mais il est en sommeil pour le moment, c'est un agent dormeur

Je ne dors plus ! Ma nouvelle mission vient de me parvenir par tube supersonique. L'objectif :

C'est d'aller saler le lac !

Viens on t'attends avec tes 2 670 000 000 de tonnes de sel nécessaires

à 1?22 le kilo, ça te coutera la peau du cul. Si personne ne te la trou avant.

[Invité]

J'utilise un nouveau procédé américain totalement révolutionnaire qui permet de fabriquer des molecules de chlorure de sodium a partir de molecules d'eau et de crottes de poissons suisses.

[White Label]

c'est vraie cette histoire de saler le lac?

Mais enfin pourquoi vous vous moquez tous de pachakuti ??

C'est une fausse rumeur de dire que la coupe de l'America ne peut se disputer que dans l'eau salée. Le defender à tous les droits pour modifier les réglements à sa guise (S'il veut il peut remplacer la course de voillier par une course de pédalo....)

Par contre une info (indirect) d'un membre de la Société Nautique de Genève: un score élevé du front national en Mars prochain sera très très mal vu pour la canditature de Marseille

mon cher allobroge.
le reglement -deed of gift- établit en 1852 fait état,et ce a 3 reprises;de "courses océanes".
l'interprétation de ce texte ne porte pas a confusion.
il faut mettre les bateaux concurents,si possible a voile-le pédalo étant encore un peu lent-,sur un plan d'eau maritime.
dieu sait que la navigation sur le lac leman mérite qu'on la respecte.
mais faut qd meme pas deconner:c'est bon pour les optimists.
cordiallement,


et pour confirmer cette théorie,disponible sur alinghi.com:

Le lieu de course
La Société Nautique de Genève s'attache (via les services d'AC Management, une nouvelle structure mise en place pour gérer la partie événementielle de la Coupe de l'America) à rechercher un lieu qui garantira l'aspect sportif de la compétition. Autrement dit, le vent devra souffler sans relâche sur le lieu des courses afin de permettre aux concurrents de se concentrer sur l'essentiel une fois la compétition lancée : l'art du duel.
L'objectif est clair. Faire disparaître du calendrier la mention " report ", trop souvent observée dans le déroulement de la 31ème Coupe. Pour l'instant, huit villes sont à l'étude (Barcelone, Palma de Mallorca, Valence, Lisbonne, Naples, Gênes, Porto Cervo, Marseille).
AC Management annoncera le nom des quatre candidates qui resteront en course dans le courant du mois de mai.
Notons également, que la venue de la compétition en Europe va grandement faciliter la logistique des challengers.

[Pouin]

Pour recentrer le débat : pas trop salé le poulet merci !

[Allobroge]

mon cher allobroge.
le reglement -deed of gift- établit en 1852 fait état,et ce a 3 reprises;de "courses océanes".
l'interprétation de ce texte ne porte pas a confusion.
il faut mettre les bateaux concurents,si possible a voile-le pédalo étant encore un peu lent-,sur un plan d'eau maritime.
dieu sait que la navigation sur le lac leman mérite qu'on la respecte.
mais faut qd meme pas deconner:c'est bon pour les optimists.
cordiallement,


et pour confirmer cette théorie,disponible sur alinghi.com:

Le lieu de course
La Société Nautique de Genève s'attache (via les services d'AC Management, une nouvelle structure mise en place pour gérer la partie événementielle de la Coupe de l'America) à rechercher un lieu qui garantira l'aspect sportif de la compétition. Autrement dit, le vent devra souffler sans relâche sur le lieu des courses afin de permettre aux concurrents de se concentrer sur l'essentiel une fois la compétition lancée : l'art du duel.
L'objectif est clair. Faire disparaître du calendrier la mention " report ", trop souvent observée dans le déroulement de la 31ème Coupe. Pour l'instant, huit villes sont à l'étude (Barcelone, Palma de Mallorca, Valence, Lisbonne, Naples, Gênes, Porto Cervo, Marseille).
AC Management annoncera le nom des quatre candidates qui resteront en course dans le courant du mois de mai.
Notons également, que la venue de la compétition en Europe va grandement faciliter la logistique des challengers.

http://www.dimanche.ch un média local à fait le tour du problème :

Ramener le plus laid mais le plus prestigieux des trophées du monde nautique pour la première fois en Europe et le hisser au sommet du Cervin, c?est très bien. Mais le défendre sur notre territoire dans trois ans serait encore beaucoup mieux. Pensez, faire vivre cette immense bastringue aux résonances planétaires sur l?arc lémanique, quel must! A tel point que la seule idée de la voir partir à l?étranger nous étrangle de regrets. Et pourtant, quand bien même la chose est envisageable du strict point de vue du règlement par un léger aménagement que le team vainqueur est autorisé à effectuer, elle ne l?est tout simplement pas sur le plan pratique. «Inutile de rêver. Organiser cette épreuve chez nous serait encore plus lourd que mettre sur pied des Jeux olympiques d?été. [...]

Et les raisons invoquées par Bernhard sont multiples. Parmi elles, la faiblesse presque chronique des alizés sur le Léman n?est même pas la plus importante. Impossible, par exemple, d?imaginer dix syndicats disposer de chacun 3000 m2 ,quelque part au bord du lac, pour y installer sa base. «Et les disséminer sur le long du littoral dans une sorte d?organisation en pièces détachées, style Expo.02, serait contraire à l?esprit de la compétition, dont le succès réside justement dans l?unité de lieu et d?action». Alors, pourquoi ne pas construire de A à Z une zone portuaire sur le lac, une île en somme, sur le modèle des arteplages, mais à la puissance dix? «Parce que chaque bateau pèse 35 tonnes et que les grues pour les manipuler en font presque autant. Aucune structure artificielle ne pourrait supporter de telles charges. De plus, sur le plan économique, ce genre de projet ne passerait même pas le stade de l?entrée en matière. Enfin, je vois d?ici là la levée de boucliers que provoquerait pareille idée chez les écolos», ajoute l?ex-porte parole de Fast 2000 qui, pour faire bonne mesure, brandit encore le manque de profondeur pour la mise à l?eau des bateaux. «Il faut 5 m 50, ce qu?on l?on ne trouve qu?en deux points de la rive entre Villeneuve et Genève.» Stop, n?en jetez plus, M. Bernhard. La démonstration paraît convaincante pour décourager les plus optimistes, [...]

Hans U. Bernhard était le patron de Fast 2000 le défi Suisse de la précedente coupe de l'America