(je me suis brûlé les yeux à le rendre lisible pour les humains
)(par yanomval, le mec qui quelques posts plus loin te raconte là fois où il a pissé sur sa belle-mèreC'est en 91 pendant mon armée, j'étais capo chef dans le 51eme régiment de transmission à Compiegne, j'avais 18 ans et c'est la 1ere fois que je passais par paris, gare du nord, Compiègne. Bref je pars en perm et j'arrive à la gare Monptarnasse prêt à prendre mon train pour Laval mais j'suis en avance de 2/3h alors j'attends devant le quai.
Là y'a un mec qui vient me parler, la trentaine, il me demande ou je vais, à quelle heure est mon train. Je lui dit qu'il est dans 2/3 heures et là il me dit qu'il vient d'accompagner sa copine au train. Il me propose alors de venir boire un coup chez lui avec des potes à lui et que c'est pas loin. Moi évidemment boire un coup ? no soucy! Je l'acompagne, on prend le métro dans un secteur que je ne connais pas, on arrive chez lui et je lui demande quand ses copains arrivent. Il me dit style bah ils arrivent plus tard, bref il me propose un pastaga, évidemment j'accepte, une dose de mammouthEt il me dit "Cul sec comme à Toulouse" et hop dans le gosier, puis un autre, et un autre, jusqu'à je sais plus trop combien.
Enfin en l'espace de 30 minutes j'suis raide, et sa chambre est dans la même pièce que sa cuisine, il voit que j'suis pas très bien et me propose de m'asseoir sur son lit. Là j'commence à flipper( c'est un pédé ou quoi?) et là il me propose un truc space à boire (incapable de vous dire ce que c'est) il me dit que ça déchire sa race, bah j'allais pas prendre n'importe quoi quand même ? En plus par un mec que je connais pas ??? et bah si j'le prends et en 5 minutes j'suis limite comateux, et là j'suis plus maître de rien, il m'allongeil me défroque
Il me rhabille vu mon état catastrophique, il me fait marquer sur un bout de papier son numéro de téléphone (oui j'ai retrouvé ça plus tard dans mon jean) c'était illisible,il me raccompagne jusqu'à mon train toujours dans un état inerte.
Je m'allonge dans le train et j'mendors comme une souche et au bout d'un moment j'me réveille car je trouve le trajet long, j'vois un controleur, j'lui demande si on arrive bientot à laval. Il se marre et me dit que ça faisait plus d'une heure qu'on avait dépassé Laval, qu'on est presque arrivé à BrestQui, le pédé ?
Et non un copain d'armée qui c'était endormi comme moi et descendu au même endroiton a attendu le matin pour reprendre un train pour Laval, enfin j'avais une perm de 48h et elle était déjà bien entamée
et là j'suis rentré la teub propre et la gueule en vrac et une envie de gerber à chaque fois que je repense à ça! Quelle putain d'expérience
)
