Je n'analyse même plus ce qu'il dit. Simon est fondamentalement une pleureuse. Quand ce ne sont pas les balles, c'est autre chose. Il a toujours des excuses et ne reconnait jamais que, oui, son adversaire a été meilleur que lui.
Ce n'est pas pour rien qu'il est un emblème de ce topic :
Il y avait trop d'écart entre son niveau de forme et le mien.
Gilles Simon, éliminé en huitièmes de finale par David Ferrer (6-2, 6-3) : «Au réveil j'étais assez lucide sur ce qui pourrait se passer aujourd'hui. La déception c'est plus hier quand tu sais que tu viens quasiment de te condamner (ndlr: en jouant 3 heures). J'avais des choses en tête pour le gêner mais j'étais un peu court pour le faire, surtout au service. Il y avait trop d'écart entre son niveau de forme et le mien. A l'échange j'ai eu l'impression d'être moins bloqué que d'habitude face à lui, c'est encourageant. Dans ses coups il n'y a rien qui me fasse peur.»
eurosport a écrit :Les regrets de Simon
Eliminé au 2e tour de Madrid par le Britannique Andy Murray (6-4, 3-6, 6-0), Gilles Simon regrette son passage à vide au début du 3e set.
"J'ai juste la sensation d'être passé à côté de quelque chose. Je n'ai pas servi pour le match non plus. Mais à un moment tu as le sentiment que tu joues mieux que l'autre et ça fini 6-0... J'ai perdu quelques points bêtes, il sert bien ses balles de break. Et à l'arrivée, sans qu'il joue beaucoup mieux que toi, ça fait 6-0. [...] C'est l'un des 6-0 les plus accrochés que j'ai joués."
Coupe Davis : Gilles Simon s'est fracturé une vertèbre... en faisant du trampoline
"J'ai eu l'audace de penser que je pouvais faire trente minutes de trampoline, raconte Gilles Simon dans les colonnes de L'Equipe mardi. Je me suis enflammé... 99% des joueurs font ça sans problème. Pas moi, il faut croire.
20minutes a écrit :Gilles Simon se fêle une côte en toussant
«On a cru que j’avais la crève. Mais ça devenait de plus en plus violent, explique le joueur dans une Interview à L’Equipe. A force, j’avais mal au dos et aux abdos. En toussant je m’étais fêlé une côte.» Le joueur français explique qu’il n’est toujours pas guéri de cette maladie longue, qui se vainc rarement en mois de deux mois. «Maintenant, même si je ressens ma côte, je peux courir. J’ai essayé de jouer pour la première fois lundi depuis Wimbledon. Mais j’ai mal», assure le joueur, qui devrait revenir sur les courts lors du tournoi de Montréal, du 5 au 11 août prochain.