c'est extrêmement flatteurtexte ou dessin volontairement obscur ou inintelligible à visée burlesque

c'est extrêmement flatteurtexte ou dessin volontairement obscur ou inintelligible à visée burlesque
L’anacoluthe (ou anacoluthon) est une figure stylistique qui, par une rupture voulue de la construction syntaxique, conserve non seulement le sens et la facilité de compréhension mais apporte surtout un avantage à l'expression.
Le Vieux Buk a écrit :A force de se jeter par terre pendant des années n'importe comment, maintenant, Valbuena, on siffle jamais rien sur lui, et c'est normal
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Un solécisme est une erreur de langage qui enfreint les règles de la syntaxe (la forme existe), non celles de la morphologie (c'est alors un barbarisme : la forme n'existe pas). Le mot, issu du latin soloecismus, dérive du nom de la ville ancienne de Soles, en Asie Mineure, parce que, dans l'Antiquité, ses habitants étaient connus pour estropier la langue grecque.
Employé volontairement, par exemple de manière plaisante, le solécisme peut être une figure de style ; en général, au quotidien, c'est une erreur, involontaire.
G.Bédécarrax a écrit :Trance (Danny Boyle) : LA CHATTE A ROSARIO DAWSON
(Chiasme beau gosse d'ailleurs« "La richesse est dans nos cœurs", mon c*l ! Moi je veux de l'oseille » (Booba)![]()
En linguistique, l'aphérèse (du grec ἀφαίρεσις aphaíresis, « ablation ») est une modification phonétique impliquant la perte d'un ou plusieurs phonèmes au début d'un mot. L'aphérèse est un métaplasme s'opposant à l'apocope.
L'aphérèse a deux principales origines : l'aphérèse accentuelle et l'aphérèse par élision inverse.
(et non pas une apocope, que je l'avais dit initialement)
Appelée occupation ou prolepse argumentative par Robrieux, la prolepse désigne une figure de style rhétorique qui dépasse largement le cadre de la phrase et qui consiste à s'adresser à soi-même, au cours d'un raisonnement, une objection à laquelle on va s'empresser de répondre ; c'est donc une figure de l'organisation générale du discours que Reboul classe parmi les figures d’argument puisqu'elle devance l’argument (réel ou fictif) de l’adversaire pour le retourner contre lui.
Considérée comme une figure argumentative, elle consiste dans le discours à aller au-devant des objections de l'interlocuteur en énonçant en premier lieu la thèse qu'il pourrait soutenir, afin de mieux l'éliminer ou pour la réfuter avant même sa production par l'adversaire. La prolepse est souvent amenée par des expressions telles que : "on dira que…", "on objectera que…", "vous me direz que…" ou "…me direz-vous…". Comme pour son sens narratologique, on peut employer le terme d' anticipation.
La prétérition (substantif féminin), du latin praeteritio (« action de passer sous silence »), du supin praeteritum, est une figure de style consistant à parler de quelque chose après avoir annoncé que l'on ne va pas en parler1. Elle permet de ne pas prendre l'entière responsabilité de ses propos et se reconnaît à l'emploi de formules particulières d'introduction comme « Ai-je besoin de vous dire... ».
C'est une figure de rhétorique par excellence, en ce qu'elle influence l'attitude de l'interlocuteur, elle éveille son attention, ou attise sa curiosité, commente un raisonnement.
Alors ça doit être un truc de DESS urbanisme promo 99 car stambroise trustait les résultats de ma spéléourba a écrit :Effectivement j'ai personnellement tendance, je vous le concède, à abuser des prolepses
Une antonomase est une figure de style ou un trope, dans lequel un nom propre ou bien une périphrase énonçant sa qualité essentielle, est utilisé comme nom commun, ou inversement, quand un nom commun est employé pour signifier un nom propre1,2. Certaines antonomases courantes finissent par se lexicaliser et figurent dans les dictionnaires usuels (« une poubelle », « une silhouette », « un don Juan », « un harpagon », « un bordeaux », « un roquefort », « le macadam », « un gavroche », etc.).
D'aucuns pourraient penser qu'il s'agit effectivement d'une private joke mais il n'en est rien... c'est juste que les urbanistes s'intéressent à une matière dont les gens se foutent généralement éperdument et au sujet de laquelle ils ont souvent du mal à se faire comprendre... d’où une propension à se parler à soi-même histoire de trouver quelqu'un avec qui polémiquer/passer le temps (urba au sujet du cadencement des lignes de bus dans le grand Nord Canadien, et moi au sujet de la pertinence de la fixation d'une hauteur maximale à l'égout ou au faîtage - et pour quelle degré de pente de toit - dans la zone UB à caractère pavillonnaire de Livry Gargan)G.bédécarrax a écrit :Alors ça doit être un truc de DESS urbanisme promo 99 car stambroise trustait les résultats de ma spéléourba a écrit :Effectivement j'ai personnellement tendance, je vous le concède, à abuser des prolepses
La personnification est une figure de style qui consiste à attribuer des propriétés humaines à un animal ou à une chose inanimée (objet concret ou abstraction) que l'on fait vouloir, parler, agir, à qui l'on s'adresse etc
Souvent considérée comme un cas particulier de métaphore, qui, avec la comparaison est au fondement de l'image personnifiée, la personnification est néanmoins une figure riche et inédite qui traverse l'histoire de la littérature
Une idée abstraite (l'amour pour l'OM) représentée par du concret (une pute)Une allégorie (du grec : ἄλλον / állon, « autre chose », et ἀγορεύειν / agoreúein, « parler en public ») est une forme de représentation indirecte qui emploie une chose (une personne, un être animé ou inanimé, une action) comme signe d'une autre chose, cette dernière étant souvent une idée abstraite ou une notion morale difficile à représenter directement. Elle représente donc une idée abstraite par du concret
L’amphigouri (substantif masculin) est une figure de style consistant en un discours, texte ou dessin volontairement obscur ou inintelligible à visée burlesque. L'origine étymologique du mot n'est pas connue, probablement forgé, à l'image de la figure, de manière à imiter un mot savant pour le détourner. Par extension, on l'utilise pour qualifier un texte confus et incohérent, ce qui est alors péjoratif ; proche du galimatias ou du phébus.
L’aphorisme, en grec aphorismos, du verbe ἀφορίζειν (« définir, délimiter »), est une sentence énoncée en peu de mots — et par extension une phrase — qui résume un principe ou cherche à caractériser un mot, une situation sous un aspect singulier. D'une certaine manière, l'aphorisme se veut le contraire du lieu commun. Par certains aspects, il peut se présenter comme une figure de style lorsque son utilisation vise des effets rhétoriques.
#coupbas
L’amphibologie (substantif féminin), du grec ampibolia (action de « lancer de tous côtés »), est, en logique, une construction grammaticale qui permet à une phrase d'avoir deux sens différents (indécidabilité) et qui peut conduire à un raisonnement fallacieux.
L'amphibologie est également une figure de style qui consiste en une ambiguïté grammaticale qui peut donner lieu à diverses interprétations d'une même phrase. L'amphibologie vise en majorité des effets comiques et ironiques, en ce sens, elle appartient aux jeux de mots et se rapproche de la syllepse, qui elle aussi, brouille la référence sémantique.
La remarque du comique américain Groucho Marx « J'ai tué un éléphant en pyjama » est totalement ironique : l'image naissant des deux sens possibles est surréaliste (un éléphant en pyjama ou le narrateur en pyjama tuant un éléphant).
Je me demande s'il ne s'agit pas plutôt d'une syllepse.Kieros a écrit :Remarquez, je ne suis pas certain que ce soit bien une amphibologie : l'équivoque est davantage due au double-sens de "se faire sauter" qu'à la construction syntaxiqueUn avis ?
Mais d'autres définitions simplifiées concordentLa syllepse dite « oratoire » est une figure de style, un trope, qui associe, en une seule et unique fois, le sens propre (ou primitif) et le sens figuré (ou étendu) d’un mot. On rencontre parfois dans des textes modernes plus de deux sens[1]. Cependant, la structure en est souvent complexe, avec des sens superposés qui rendent aléatoire leur interprétation. La figure, à l’origine, microstructurale devient vite dépendante de la lecture personnelle.
Une syllepse de sens est une figure qui consiste à employer un mot dans son sens propre et dans son sens figuré en même temps.