T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
L'avantage, c'est qu'on peut dans une certaine mesure s'amuser à Minecraft sans rien faire de spécial, juste en explorant et en creusant.
Parfois, on trouve un diamant, parfois, on tombe sur une grotte avec une grosse cascade, de la lave, des ennemis, y a plein de trucs bizarres à découvrir, ça peut être assez fascinant, même sans se dire qu'on va construire une cathédrale.
Parfois, on trouve un diamant, parfois, on tombe sur une grotte avec une grosse cascade, de la lave, des ennemis, y a plein de trucs bizarres à découvrir, ça peut être assez fascinant, même sans se dire qu'on va construire une cathédrale.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Personnellement je n'y connais rien à minecraft .... mais lui il adore y jouer.
Il est en effet trop petit par rapport à l'âge inscrit sur la boite (7 ans) mais je me dis que ce n'est peut-être pas trop grave car il ne doit pas y avoir de violence dedans.
Quand je le regarde jouer j'ai bien l'impression qu'il passe plus de temps à se balader sur la carte qu'à construire quelque chose.
Mais l'important pour moi (et surtout pour lui) c'est qu'il passe un bon moment pendant une heure le soir.
Il est en effet trop petit par rapport à l'âge inscrit sur la boite (7 ans) mais je me dis que ce n'est peut-être pas trop grave car il ne doit pas y avoir de violence dedans.
Quand je le regarde jouer j'ai bien l'impression qu'il passe plus de temps à se balader sur la carte qu'à construire quelque chose.

Mais l'important pour moi (et surtout pour lui) c'est qu'il passe un bon moment pendant une heure le soir.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
A mon humble avis la classification PEGI n'a de sens qu'à partir des jeux déconseillés aux moins de 12 ans, enfin c'est compliqué de trouver scandaleux de mettre un enfant de 5 ans devant un jeu PEGI 7 quand tu vois la tronche des jeux en question quoi (mais bon perso mes parents en ont jamais eu grand chose à secouer du PEGI, j'ai fait du PEGI 12 et du PEGI 16 bien avant que ce soit considéré comme socialement acceptable
)

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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Mais il y a un mode créatif, avec blocs illimités.
Moi, les enfants ne jouent qu'à se mode, jamais en survie
Et il me semble que le jeu affiche les recettes de craft
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Une super reprise d'un morceau assez peu repris de Yoshi's Island
Les coups de vieux, ça n'est plus les commentaires qui disent "oh, ce jeu est sorti il y a XX années" mais les commentaires qui disent "oh, ce jeu était le préféré de ma maman. Elle est morte".
Les coups de vieux, ça n'est plus les commentaires qui disent "oh, ce jeu est sorti il y a XX années" mais les commentaires qui disent "oh, ce jeu était le préféré de ma maman. Elle est morte".
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...


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Terrible de mourir si jeune.....
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
C'est pas si éloigné de la génération de mes propres jeux préférés

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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Teasing : c'est bientôt l'heure de mon rant contre le dernier jeu Nintendo que je trouve pas bien même s'il est bien.
(DK Bananza = "Super Mario Odyssey est un super jeu de plateforme qui manque un peu de densité : et si on enlevait la partie plateforme ?")
(DK Bananza = "Super Mario Odyssey est un super jeu de plateforme qui manque un peu de densité : et si on enlevait la partie plateforme ?")
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Nan mais c'est un excellent jeu, c'est juste que :
- C'est quasi-littéralement la boucle de gameplay de Mario Odyssey, en remplaçant les lunes par des bananes, et les pièces violettes par des fossiles.
- De Mario Odyssey, on conserve aussi la même inélégance dans la disposition des items. Certaines bananes sont juste "posées là", et il y en a un milliard. C'est même plutôt pire ici, du fait de l'aspect destructible des décors certaines semblent juste avoir été ensevelies au pif, sans que le level design ait eu son mot à dire.
- Globalement je suis pas convaincu par le fait qu'on puisse tout péter. Ça complique l'orientation, ça la décourage aussi : on se contente de cogner dans les décors en spammant le bouton sonar pour voir ce qui s'y cache. Ceci dit, je crois que le jeu peut se jouer à la Odyssey, il faut juste s'y forcer.
- Je n'en peux plus de cette gratification permanente. Je suis ce vampire dans l'épisode de X-Files, qui compte malgré-lui les graines de tournesol que Mulder lui lance. Je n'ai pas lâché la manette depuis que j'ai reçu le jeu, mais je ne crois pas que ce soit à mettre à son crédit : son UX doit moins à Mario 64 qu'aux youtube shorts.
- Tout ça n'est que du pinaillage, c'est tout de même très amusant, et très Nintendo Seal of Quality. Le fait que le jeu ajoute à l'ethos de Mario Odyssey celui de Breath of the Wild ("on peut grimper partout") offre plus de verticalité et change l'appréhension de l'espace. Je crois juste que, 8 ans après, je m'attendais à plus qu'à une "simple" déclinaison.
- Grosse Disney Energy. Dans le personnage de Pauline et ses chansons à la con, mais dans le plan marketing que je devine (imagine ?). Un nouveau jeu Donkey Kong qui accompagne un parc d'attraction Donkey Kong, un relooking, un rôle bizarrement important dans le film : l'objectif est de promouvoir un nouveau personnage, et son potentiel en merchandising (on peut supposer que la popularité de Mario a atteint son plafond, et n'ait pas besoin d'une autre énergie que la sienne).
- C'est quasi-littéralement la boucle de gameplay de Mario Odyssey, en remplaçant les lunes par des bananes, et les pièces violettes par des fossiles.
- De Mario Odyssey, on conserve aussi la même inélégance dans la disposition des items. Certaines bananes sont juste "posées là", et il y en a un milliard. C'est même plutôt pire ici, du fait de l'aspect destructible des décors certaines semblent juste avoir été ensevelies au pif, sans que le level design ait eu son mot à dire.
- Globalement je suis pas convaincu par le fait qu'on puisse tout péter. Ça complique l'orientation, ça la décourage aussi : on se contente de cogner dans les décors en spammant le bouton sonar pour voir ce qui s'y cache. Ceci dit, je crois que le jeu peut se jouer à la Odyssey, il faut juste s'y forcer.
- Je n'en peux plus de cette gratification permanente. Je suis ce vampire dans l'épisode de X-Files, qui compte malgré-lui les graines de tournesol que Mulder lui lance. Je n'ai pas lâché la manette depuis que j'ai reçu le jeu, mais je ne crois pas que ce soit à mettre à son crédit : son UX doit moins à Mario 64 qu'aux youtube shorts.
- Tout ça n'est que du pinaillage, c'est tout de même très amusant, et très Nintendo Seal of Quality. Le fait que le jeu ajoute à l'ethos de Mario Odyssey celui de Breath of the Wild ("on peut grimper partout") offre plus de verticalité et change l'appréhension de l'espace. Je crois juste que, 8 ans après, je m'attendais à plus qu'à une "simple" déclinaison.
- Grosse Disney Energy. Dans le personnage de Pauline et ses chansons à la con, mais dans le plan marketing que je devine (imagine ?). Un nouveau jeu Donkey Kong qui accompagne un parc d'attraction Donkey Kong, un relooking, un rôle bizarrement important dans le film : l'objectif est de promouvoir un nouveau personnage, et son potentiel en merchandising (on peut supposer que la popularité de Mario a atteint son plafond, et n'ait pas besoin d'une autre énergie que la sienne).
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
C'est à peu près ce qu'il me semblait en voyant les gens jouer.
Le jeu qui compte sur l'émerveillement perpétuel de ses points forts pour que les gens passent outre ses points faibles. Pour moi avec Odyssey, le contrat était parfaitement rempli. Malgré les moments où j'ai pu râler sur certain trucs en jouant, avec les recul, il me semble toujours que c'est le meilleur jeu de l'histoire.
Si Bananza me fait pareil, ce sera une réussite. On verra quand je l'achèterai, je profiterai peut-être d'une future promo du Nintendo Shop dans 5 ans (-0.3% de réduction ?).
Le jeu qui compte sur l'émerveillement perpétuel de ses points forts pour que les gens passent outre ses points faibles. Pour moi avec Odyssey, le contrat était parfaitement rempli. Malgré les moments où j'ai pu râler sur certain trucs en jouant, avec les recul, il me semble toujours que c'est le meilleur jeu de l'histoire.
Si Bananza me fait pareil, ce sera une réussite. On verra quand je l'achèterai, je profiterai peut-être d'une future promo du Nintendo Shop dans 5 ans (-0.3% de réduction ?).
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
"J'ai une semaine seul à la maison, et si je me faisais UN JEU D'HORREUR ?"
"J'ai Resident Evil 7, non ?"
*vérifie sa ludothèque* "Je l'ai ... en double ?"
*ouvre la première boite* "Vide ?"
*ouvre la seconde boite* "FIFA 18 ??"
"C'est dommage quand même ... J'aurais bien fait UN JEU D'HORREUR"
*Jette un oeil au prix du jeu en démat* "8€ ? Lezgo"
*Achète aussi les DLC à vil prix*
*Lance Resident Evil 7*
*Consacre les 30 années suivantes à inventer une machine à remonter dans le temps*
*Revient en 2025 pour remplacer le disque de Resident Evil 7 par celui de FIFA 18*
(C'est vraiment giga-nul)
"J'ai Resident Evil 7, non ?"
*vérifie sa ludothèque* "Je l'ai ... en double ?"
*ouvre la première boite* "Vide ?"
*ouvre la seconde boite* "FIFA 18 ??"
"C'est dommage quand même ... J'aurais bien fait UN JEU D'HORREUR"
*Jette un oeil au prix du jeu en démat* "8€ ? Lezgo"
*Achète aussi les DLC à vil prix*
*Lance Resident Evil 7*
*Consacre les 30 années suivantes à inventer une machine à remonter dans le temps*
*Revient en 2025 pour remplacer le disque de Resident Evil 7 par celui de FIFA 18*
(C'est vraiment giga-nul)
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Je l'avais commencé sans jamais le finir mais c'était plus à cause de la difficulté et parce que je me chiais dessus que parce qu'il était nul 

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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Tellement nul que je préfère continuer d'écrire sur Donkey Kong Bananza

Que j'ai fini. Pas à 100%, mais suffisamment proche du 100% pour savoir que ça ne vaut pas le coup d'aller chercher les 100%. Je n'ai rien à ajouter à mes impressions initiales, mais j'vais quand même le faire.
Je n'ai rien écrit sur le fait que je trouvais le jeu visuellement désagréable, pensant que ça penchait un peu trop du côté de l'opinion pour mérité d'être partagé. Je l'écris aujourd'hui, mais ça n'est encore qu'euphémiser à quel point je le trouve désagréable (il devrait y avoir une catégorie PEGI spécifique aux jeux mettant en scène des autruches bodybuildées en spandex). Ça ne se limite pas qu'au visuel d'ailleurs, les musiques sont la plupart du temps oubliables (et le reste du temps, des reprises de Donkey Kong Country), mais j'ai trouvé les couleurs trop acides, les effets sonores et visuels m'ont rongé les nerfs, et la rareté du ciel, quoiqu'attendue dans un jeu où on creuse jusqu'au centre de la Terre, finit par se faire pesante.

J'ai aussi du mal à trouver une unité à tout ça. Le jeu cherche pourtant à être cohérent, est assez étonnamment écrit (pas dans le sens "son écriture est étonnante" mais dans le sens "il est étonnant qu'il soit écrit"), avec des péripéties, des twists, et même ce qui ressemble à des logs. Du coup ça n'est pas tout à fait injuste que de l'évaluer sur ce plan-là. Et on y croise une peuplade de cailloux anthropomorphes qui se rendent au centre de la terre, des doyens-animaux géants qui sont tous devenus DJ à la retraite, des anguilles géantes avec une discothèque dans l'abdomen (quand je pense à l'énergie dépensée pour que j'atteigne l'âge de 42 ans et qu'à l'âge de 42 j'écrive des trucs comme "des anguilles avec des discothèques dans l'abdomen"), des bananes qui exaucent des voeux. Que le jeu échoue à avoir un grand thème unificateur, ça n'est pas bien grave, ce qui est curieux c'est qu'il semble s'en chercher un.
Le jeu est une épopée julesvernienne, où Donkey Kong et bébé Pauline (a.k.a la Pauline que Donkey Kong kidnappe dans le jeu de 1981, ce qui laisse supposer que leur relation est appelée à fortement se dégrader à l'avenir) se rendent au centre de la Terre, pour demander à la racine de toutes les bananes d'exaucer leur voeur (respectivement "remonter à la surface" et "des bananes"). Il se déroule de strate en strate, où une strate = un biome et un biome = des trucs à ramasser. C'est un Mario Odyssey où l'on saute beaucoup moins et où l'on détruit beaucoup plus, sachant que les sols ont différentes propriétés et différents usages. Au cours de l'aventure, on débloque différentes transformations et leurs pouvoirs associés (le vol, la course, tout casser, etc)

Ces transformations sont une des deux améliorations notables (trois si on compte la carte super lisible et super pratique) de ce jeu par rapport à Super Mario Odyssey : elles remplacent avantageusement les possessions d'ennemis, dont l'usage était plus circonstanciel : on n'y avait accès que quand le jeu et le level design le décidaient, et on y faisait appel quand il le fallait plutôt que dès qu'on le pouvait. Dans Bananza on peut se transformer à peu près tout le temps, et le décor n'est pas profilé spécifiquement pour qu'on les utilise. En outre, elles fonctionnent aussi bien dans les séquences d'exploration que dans les challenges plus orientés plateforme.
La deuxième, c'est que rien n'oblige à ramasser quoique ce soit. Dans Odyssey il faut avoir un nombre minimal de lunes pour passer à la zone suivante, ici il suffit juste de suivre la trame prévue par le jeu. Les bananes servent à débloquer des compétences, mais sur le papier je suppose qu'on doit pouvoir le finir sans en débloquer une seule.
Ce qui crée toutefois un petit paradoxe : ces nouvelles compétences motivent l'exploration "optionnelle" plus que ne pouvaient le faire les lunes de Mario Odyssey, et on est tenté de poncer chaque strate avant d'atteindre la suivante. Sauf que :
- le jeu est long (au moins une quinzaine d'heures en ligne droite, le triple pour le 100%)
- il s'améliore assez spectaculairement dans son dernier tiers (et son final totalement bananza!)
En ayant procédé de la sorte, ce dernier tiers je l'ai atteint en quasi-burn out, je l'aurais probablement mieux apprécié si j'avais su mieux équilibrer le jeu et le post-jeu.

Mais je geins depuis déjà tellement d'années de paragraphes que j'ai le sentiment qu'il me faut quand même l'écrire en toutes lettres. C'est un E.X.C.E.L.L.E.N.T jeu. Top 1%. Il faut s'arrêter un instant et apprécier son prodigieux niveau de finition. Je ne me suis pas attardé sur la dimension destructible du décor, parce que pour être honnête je ne sais pas si c'est vraiment fondamental à l'expérience, mais la manière dont il rend compte de la matière, de la texture, du poids, c'est de la folie. Parler d'un "dessin animé jouable", c'est une tarte à la crème, mais ça ne doit pas empêcher de rendre grâce à toutes les petites attentions qui créent ce feedback cartoonesque et qui constitueux un savoir-faire miraculeux auquel je ne suis peut-être pas assez sensible.

Que j'ai fini. Pas à 100%, mais suffisamment proche du 100% pour savoir que ça ne vaut pas le coup d'aller chercher les 100%. Je n'ai rien à ajouter à mes impressions initiales, mais j'vais quand même le faire.
Je n'ai rien écrit sur le fait que je trouvais le jeu visuellement désagréable, pensant que ça penchait un peu trop du côté de l'opinion pour mérité d'être partagé. Je l'écris aujourd'hui, mais ça n'est encore qu'euphémiser à quel point je le trouve désagréable (il devrait y avoir une catégorie PEGI spécifique aux jeux mettant en scène des autruches bodybuildées en spandex). Ça ne se limite pas qu'au visuel d'ailleurs, les musiques sont la plupart du temps oubliables (et le reste du temps, des reprises de Donkey Kong Country), mais j'ai trouvé les couleurs trop acides, les effets sonores et visuels m'ont rongé les nerfs, et la rareté du ciel, quoiqu'attendue dans un jeu où on creuse jusqu'au centre de la Terre, finit par se faire pesante.

J'ai aussi du mal à trouver une unité à tout ça. Le jeu cherche pourtant à être cohérent, est assez étonnamment écrit (pas dans le sens "son écriture est étonnante" mais dans le sens "il est étonnant qu'il soit écrit"), avec des péripéties, des twists, et même ce qui ressemble à des logs. Du coup ça n'est pas tout à fait injuste que de l'évaluer sur ce plan-là. Et on y croise une peuplade de cailloux anthropomorphes qui se rendent au centre de la terre, des doyens-animaux géants qui sont tous devenus DJ à la retraite, des anguilles géantes avec une discothèque dans l'abdomen (quand je pense à l'énergie dépensée pour que j'atteigne l'âge de 42 ans et qu'à l'âge de 42 j'écrive des trucs comme "des anguilles avec des discothèques dans l'abdomen"), des bananes qui exaucent des voeux. Que le jeu échoue à avoir un grand thème unificateur, ça n'est pas bien grave, ce qui est curieux c'est qu'il semble s'en chercher un.
Le jeu est une épopée julesvernienne, où Donkey Kong et bébé Pauline (a.k.a la Pauline que Donkey Kong kidnappe dans le jeu de 1981, ce qui laisse supposer que leur relation est appelée à fortement se dégrader à l'avenir) se rendent au centre de la Terre, pour demander à la racine de toutes les bananes d'exaucer leur voeur (respectivement "remonter à la surface" et "des bananes"). Il se déroule de strate en strate, où une strate = un biome et un biome = des trucs à ramasser. C'est un Mario Odyssey où l'on saute beaucoup moins et où l'on détruit beaucoup plus, sachant que les sols ont différentes propriétés et différents usages. Au cours de l'aventure, on débloque différentes transformations et leurs pouvoirs associés (le vol, la course, tout casser, etc)

Ces transformations sont une des deux améliorations notables (trois si on compte la carte super lisible et super pratique) de ce jeu par rapport à Super Mario Odyssey : elles remplacent avantageusement les possessions d'ennemis, dont l'usage était plus circonstanciel : on n'y avait accès que quand le jeu et le level design le décidaient, et on y faisait appel quand il le fallait plutôt que dès qu'on le pouvait. Dans Bananza on peut se transformer à peu près tout le temps, et le décor n'est pas profilé spécifiquement pour qu'on les utilise. En outre, elles fonctionnent aussi bien dans les séquences d'exploration que dans les challenges plus orientés plateforme.
La deuxième, c'est que rien n'oblige à ramasser quoique ce soit. Dans Odyssey il faut avoir un nombre minimal de lunes pour passer à la zone suivante, ici il suffit juste de suivre la trame prévue par le jeu. Les bananes servent à débloquer des compétences, mais sur le papier je suppose qu'on doit pouvoir le finir sans en débloquer une seule.
Ce qui crée toutefois un petit paradoxe : ces nouvelles compétences motivent l'exploration "optionnelle" plus que ne pouvaient le faire les lunes de Mario Odyssey, et on est tenté de poncer chaque strate avant d'atteindre la suivante. Sauf que :
- le jeu est long (au moins une quinzaine d'heures en ligne droite, le triple pour le 100%)
- il s'améliore assez spectaculairement dans son dernier tiers (et son final totalement bananza!)
En ayant procédé de la sorte, ce dernier tiers je l'ai atteint en quasi-burn out, je l'aurais probablement mieux apprécié si j'avais su mieux équilibrer le jeu et le post-jeu.

Mais je geins depuis déjà tellement d'années de paragraphes que j'ai le sentiment qu'il me faut quand même l'écrire en toutes lettres. C'est un E.X.C.E.L.L.E.N.T jeu. Top 1%. Il faut s'arrêter un instant et apprécier son prodigieux niveau de finition. Je ne me suis pas attardé sur la dimension destructible du décor, parce que pour être honnête je ne sais pas si c'est vraiment fondamental à l'expérience, mais la manière dont il rend compte de la matière, de la texture, du poids, c'est de la folie. Parler d'un "dessin animé jouable", c'est une tarte à la crème, mais ça ne doit pas empêcher de rendre grâce à toutes les petites attentions qui créent ce feedback cartoonesque et qui constitueux un savoir-faire miraculeux auquel je ne suis peut-être pas assez sensible.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Tellement nul que je préfère écrire sur Alarmo.
Soit le réveil par Nintendo, que j'ai acheté parce que 1) il me fallait un réveil 2) je ne veux plus utiliser mon smartphone comme réveil 3) je suis stupide.
Il faut le calibrer au démarrage, de manière à lui indiquer sa position par rapport au lit, et les dimensions dudit lit. Ce qui lui permet d'analyser votre activité nocturne d'une manière assez rudimentaire (historique de vos mouvements, de votre temps de sommeil, de votre heure de réveil).
Il peut aussi jouer des son relaxants passée une certaine heure, quand il détecte une absence de mouvements (= quand vous décidez qu'il est l'heure de faire dodo).
C'est évidemment un réveil : il sonne à l'heure voulue, les jours voulus.
C'est évidemment un réveil Nintendo : on peut choisir si l'on veut se réveiller au son de la musique de Zelda, Mario, Splatoon, etc.
Sa texture plastique est vraiment super, rebondie, agréable au toucher, un vrai feeling de jouet. Et pourtant, il n'est pas là pour rigoler.
Si je mets un réveil à 7h, il sonnera à 7h. Et ça n'est pas un bouton qui lui intimera d'arrêter de sonner, c'est mon attitude. Le volume de la sonnerie est inversement proportionnelle à ma quantité de mouvements. Tant qu'il me saura au lit, il sonnera. Si je cesse de bouger, c'est que je me rendors : il sonnera plus fort. Une fois levé, lui s'assoupira.
Mais il ne dort que d'un oeil ! Pendant un certain temps il va vérifier que je ne me recouche pas. Pour l'expérience, je me suis recouché. Apparaît alors une jauge sur l'écran du réveil, qui se remplit tant que je reste au lit. Une fois pleine, se lance alors une alarme spécifique à ce scénario-là. Dans mon cas de figure, c'était les sons d'un essaim d'abeilles (d'abeilles Animal Crossing, c'est pas exactement The Wicker Man non plus). Alors je me suis re-levé. Et toutes les dix minutes, je passais une tête dans ma chambre, voir si j'avais le droit de retourner dormir.
Voilà, j'ai un maton Nintendo. Il est merveilleux. Il ne lui manque que l'allemand.
Soit le réveil par Nintendo, que j'ai acheté parce que 1) il me fallait un réveil 2) je ne veux plus utiliser mon smartphone comme réveil 3) je suis stupide.
Il faut le calibrer au démarrage, de manière à lui indiquer sa position par rapport au lit, et les dimensions dudit lit. Ce qui lui permet d'analyser votre activité nocturne d'une manière assez rudimentaire (historique de vos mouvements, de votre temps de sommeil, de votre heure de réveil).
Il peut aussi jouer des son relaxants passée une certaine heure, quand il détecte une absence de mouvements (= quand vous décidez qu'il est l'heure de faire dodo).
C'est évidemment un réveil : il sonne à l'heure voulue, les jours voulus.
C'est évidemment un réveil Nintendo : on peut choisir si l'on veut se réveiller au son de la musique de Zelda, Mario, Splatoon, etc.
Sa texture plastique est vraiment super, rebondie, agréable au toucher, un vrai feeling de jouet. Et pourtant, il n'est pas là pour rigoler.
Si je mets un réveil à 7h, il sonnera à 7h. Et ça n'est pas un bouton qui lui intimera d'arrêter de sonner, c'est mon attitude. Le volume de la sonnerie est inversement proportionnelle à ma quantité de mouvements. Tant qu'il me saura au lit, il sonnera. Si je cesse de bouger, c'est que je me rendors : il sonnera plus fort. Une fois levé, lui s'assoupira.
Mais il ne dort que d'un oeil ! Pendant un certain temps il va vérifier que je ne me recouche pas. Pour l'expérience, je me suis recouché. Apparaît alors une jauge sur l'écran du réveil, qui se remplit tant que je reste au lit. Une fois pleine, se lance alors une alarme spécifique à ce scénario-là. Dans mon cas de figure, c'était les sons d'un essaim d'abeilles (d'abeilles Animal Crossing, c'est pas exactement The Wicker Man non plus). Alors je me suis re-levé. Et toutes les dix minutes, je passais une tête dans ma chambre, voir si j'avais le droit de retourner dormir.
Voilà, j'ai un maton Nintendo. Il est merveilleux. Il ne lui manque que l'allemand.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...

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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Alors perso j'en suis encore qu'à ce que je pense être la moitié du jeu pour Bananza (j'ai passé la strate de la "jonction"), ce que je peux en dire par rapport à tes points :
- Bon personnellement sur le plan artistique/visuel je le trouve plutôt réussi moi, ce que tu décris comme "désagréable" relève plutôt pour moi du côté foutraque qu'ont pas mal de jeux DK et qui pour moi est plutôt bien retranscrit
- Pas tout à fait d'accord avec les transformations qui seraient mieux fichues que celles de Mario Odyssey ; perso je trouve justement que le côté plus ponctuel/situationnel des transfos de Odyssey participe à renforcer l'identité de chaque niveau et à renouveler le gameplay, là où Bananza tourne un peu plus en rond dès le démarrage (je commence à réviser un peu mon avis initial sur le fait que ce dernier ne se renouvellerait pas assez cela dit, c'est plus la faute au design des premières strates en particulier j'ai l'impression), d'autant que comme tu le dis un peu les transformations sont pas vraiment nécessaires hors des quelques segments de la "quête principale" spécialement conçus pour leur utilisation (ce qui fait qu'au final mis à part pour chasser des coffres au trésor en cassant tout ce qui va beaucoup plus vite avec le super Kong je pense assez peu à utiliser les transfos)
J'ajouterais aussi que le bestiaire tourne pas mal en rond et innove principalement en enduisant les ennemis de nouvelles couches de matériaux plus difficiles à détruire plutôt que par les ennemis eux-mêmes, autre défaut vs Odyssey qui lui se renouvelle vraiment (et y est par ailleurs un peu obligé avec sa mécanique de possession)
Bref, j'attends de voir ce que réserve la fin du jeu, mais globalement je rejoins plus ou moins le consensus qui a l'air de se dégager autour du fait que c'est "Odyssey en moins bien" (ce qui suffit à en faire un excellent jeu que j'ai bien du mal à lâcher une fois que je suis immergé dedans)
- Bon personnellement sur le plan artistique/visuel je le trouve plutôt réussi moi, ce que tu décris comme "désagréable" relève plutôt pour moi du côté foutraque qu'ont pas mal de jeux DK et qui pour moi est plutôt bien retranscrit
- Pas tout à fait d'accord avec les transformations qui seraient mieux fichues que celles de Mario Odyssey ; perso je trouve justement que le côté plus ponctuel/situationnel des transfos de Odyssey participe à renforcer l'identité de chaque niveau et à renouveler le gameplay, là où Bananza tourne un peu plus en rond dès le démarrage (je commence à réviser un peu mon avis initial sur le fait que ce dernier ne se renouvellerait pas assez cela dit, c'est plus la faute au design des premières strates en particulier j'ai l'impression), d'autant que comme tu le dis un peu les transformations sont pas vraiment nécessaires hors des quelques segments de la "quête principale" spécialement conçus pour leur utilisation (ce qui fait qu'au final mis à part pour chasser des coffres au trésor en cassant tout ce qui va beaucoup plus vite avec le super Kong je pense assez peu à utiliser les transfos)
J'ajouterais aussi que le bestiaire tourne pas mal en rond et innove principalement en enduisant les ennemis de nouvelles couches de matériaux plus difficiles à détruire plutôt que par les ennemis eux-mêmes, autre défaut vs Odyssey qui lui se renouvelle vraiment (et y est par ailleurs un peu obligé avec sa mécanique de possession)
Bref, j'attends de voir ce que réserve la fin du jeu, mais globalement je rejoins plus ou moins le consensus qui a l'air de se dégager autour du fait que c'est "Odyssey en moins bien" (ce qui suffit à en faire un excellent jeu que j'ai bien du mal à lâcher une fois que je suis immergé dedans)
Pilier de bar selon Francis Perrin
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Je me suis chié dessus pendant tout le prologue, et puis.bueno_coco a écrit : ↑mer. juil. 30, 2025 14:31 Je l'avais commencé sans jamais le finir mais c'était plus à cause de la difficulté et parce que je me chiais dessus que parce qu'il était nul![]()
Et puis j'ai passé 1H face au premier boss (qui se trouve aussi être le premier ennemi, OK Dark Souls).
Et puis j'ai passé 1H à essayer d'échapper à un barbu tout en essayant de comprendre quel script je suis censé déclencher (et aussi pourquoi mon personnage se refuse à courir plus de 3 secondes).
Et puis je vais sûrement passer les heures qui viennent sur youtube, en vitesse x2, pour voir la fin de l'histoire.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
J'ai l'impression de voir mes critiques râleuses d'Odyssey pendant que j'y jouais avant de me rendre à l'évidence le lendemain de l'avoir fini à 100% : C'était le meilleur jeu du monde et heureusement que je n'avais rien écrit pendant que j'y jouais. Je me demande si Bananza te fera la même chose, Bédé.
Sinon, c'est l'heure des complaintes MarioKartiennes de PoF :
Aujourd'hui, grosse mise à jour du jeu !! Tenez vous BIEN : Nintendo a fait MACHINE ARRIÈRE et a changé les paramètres du jeu en ligne afin qu'il y ait davantage de "lap-type courses" (sic. fou rire.).
Eh bien croyez-le ou non, le jeu est redevenu super ! Non c'est pas vrai. La probabilité de tomber en ligne sur des lap-type courses est passée de 5% à 5.1%. C'est un désastre, ça n'a absolument rien changé et ils pourront désormais dire "nous avons écouté les joueurs !". Je pense que le jeu est probablement foutu.
HEUREUSEMENT, pour les vrais fans de Mario Kart, il reste une façon de jouer au jeu normalement : rejoindre ce Discord, aller dans le salon "room-codes" et avec les codes obtenus, rejoindre des parties privées en ligne. Celles-ci sont toujours pleines (toute la putain de journée) et comme ce sont des rooms personnalisées, tout le monde choisit juste des courses à 3 tours et on joue au jeu normalement.
Désavantages :
- C'est très facile de noter un code et de l'entrer dans le jeu mais ça reste une démarche plus laborieuse que de jouer juste en ligne vite fait.
- C'est très "niche", même si ces salles sont ouvertes à tous, ça reste des trucs de nerds qui maitrisent tous les sHrOoMLeSs sHoRtCuTs, le niveau est très élevé et il est très rare que je finisse à une autre place que seizième.
- Il n'y a pas de classement, en général ce sont des "tournois" de 6 courses et ça n'a aucune influence sur le classement en ligne (qui stagne de toute façon à partir de 8000).
Avantages :
- On peut jouer normalement à Mario Kart.
- Dans le vote pour la course suivante, on choisit la course qu'on veut dans tout le jeu. Par conséquent, outre le fait de ne jamais faire d'intermissions, ça élimine aussi les courses relou genre Koopa Beach.
- On peut jouer normalement à Mario Kart.
- Il y a un chat sur le Discord et les gens commentent les parties en temps réel, c'est amusant quand il se passe un truc cool dans la course de voir les gens commenter et rigoler ensuite.
- On peut jouer normalement à Mario Kart.
Sinon, c'est l'heure des complaintes MarioKartiennes de PoF :
Aujourd'hui, grosse mise à jour du jeu !! Tenez vous BIEN : Nintendo a fait MACHINE ARRIÈRE et a changé les paramètres du jeu en ligne afin qu'il y ait davantage de "lap-type courses" (sic. fou rire.).
Eh bien croyez-le ou non, le jeu est redevenu super ! Non c'est pas vrai. La probabilité de tomber en ligne sur des lap-type courses est passée de 5% à 5.1%. C'est un désastre, ça n'a absolument rien changé et ils pourront désormais dire "nous avons écouté les joueurs !". Je pense que le jeu est probablement foutu.
HEUREUSEMENT, pour les vrais fans de Mario Kart, il reste une façon de jouer au jeu normalement : rejoindre ce Discord, aller dans le salon "room-codes" et avec les codes obtenus, rejoindre des parties privées en ligne. Celles-ci sont toujours pleines (toute la putain de journée) et comme ce sont des rooms personnalisées, tout le monde choisit juste des courses à 3 tours et on joue au jeu normalement.
Désavantages :
- C'est très facile de noter un code et de l'entrer dans le jeu mais ça reste une démarche plus laborieuse que de jouer juste en ligne vite fait.
- C'est très "niche", même si ces salles sont ouvertes à tous, ça reste des trucs de nerds qui maitrisent tous les sHrOoMLeSs sHoRtCuTs, le niveau est très élevé et il est très rare que je finisse à une autre place que seizième.
- Il n'y a pas de classement, en général ce sont des "tournois" de 6 courses et ça n'a aucune influence sur le classement en ligne (qui stagne de toute façon à partir de 8000).
Avantages :
- On peut jouer normalement à Mario Kart.
- Dans le vote pour la course suivante, on choisit la course qu'on veut dans tout le jeu. Par conséquent, outre le fait de ne jamais faire d'intermissions, ça élimine aussi les courses relou genre Koopa Beach.
- On peut jouer normalement à Mario Kart.
- Il y a un chat sur le Discord et les gens commentent les parties en temps réel, c'est amusant quand il se passe un truc cool dans la course de voir les gens commenter et rigoler ensuite.
- On peut jouer normalement à Mario Kart.
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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Ma fille voulait un réveil, donc j'ai évidemment pris AlarmoG.bédécarrax a écrit : ↑mer. juil. 30, 2025 16:11 Il peut aussi jouer des son relaxants passée une certaine heure, quand il détecte une absence de mouvements (= quand vous décidez qu'il est l'heure de faire dodo).

L'option dont tu parles, c'est plutôt : jouer un son relaxant dès qu'il detecte un mouvement (passé une certaine heure).
Et ça marche bien oui effectivement : ça me fait sursauter tous les soirs quand je vais fermer les volets

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Re: T'as rien à dire sur les jeux vidéo ? T'es ici chez toi...
Alors moi c'est pas tout à fait ça : pour qu'il déclenche la musique relaxante, il faut qu'il détecte 1) que tu es au lit 2) que tu es au lit immobile.
Finalement pas si affreux RE7. Je ne sais pas ce qui leur a pris d'ouvrir le jeu de la sorte, ça s'améliore ensuite (puis ça s'écroule sur la fin, c'est donc bien un Resident Evil).
Ma plus grande surprise a finalement été de découvrir que malgré son cadrage "réaliste" (dû en premier lieu à cette vue à la première personne dont il ne se départira jamais) le jeu ne garde pas son sérieux très longtemps (c'est la première fois dans un Resident Evil que je meurs de rire, tandis que Jack Baker fait du drift dans son garage). Je savais que la référence principale était Massacre à la tronçonneuse, je ne savais pas que c'était Massacre à la tronçonneuse 2.
Le ryhme est assez bizarre, j'ai l'impression d'avoir affronté plus de boss que d'ennemis normaux (et les boss sont dans les standards de la série, c'est à dire pas terribles). C'est que le jeu conditionne assez vite à fuir, et comme on a de toute façon pris depuis le premier épisode l'habitude d'économiser tout ce qui est économisable, on passe le plus clair de notre temps à courir et à slalomer, en sachant qu'il est plus rentable de consommer un objet de soin qu'un chargeur de shotgun.
(Quand il est terrifiant, il est terrifiant, j'ai même eu l'impression qu'il se retenait : certains passages auraient pu être insoutenables. Dire qu'il est existe en VR
)
Finalement pas si affreux RE7. Je ne sais pas ce qui leur a pris d'ouvrir le jeu de la sorte, ça s'améliore ensuite (puis ça s'écroule sur la fin, c'est donc bien un Resident Evil).
Ma plus grande surprise a finalement été de découvrir que malgré son cadrage "réaliste" (dû en premier lieu à cette vue à la première personne dont il ne se départira jamais) le jeu ne garde pas son sérieux très longtemps (c'est la première fois dans un Resident Evil que je meurs de rire, tandis que Jack Baker fait du drift dans son garage). Je savais que la référence principale était Massacre à la tronçonneuse, je ne savais pas que c'était Massacre à la tronçonneuse 2.
Le ryhme est assez bizarre, j'ai l'impression d'avoir affronté plus de boss que d'ennemis normaux (et les boss sont dans les standards de la série, c'est à dire pas terribles). C'est que le jeu conditionne assez vite à fuir, et comme on a de toute façon pris depuis le premier épisode l'habitude d'économiser tout ce qui est économisable, on passe le plus clair de notre temps à courir et à slalomer, en sachant qu'il est plus rentable de consommer un objet de soin qu'un chargeur de shotgun.
(Quand il est terrifiant, il est terrifiant, j'ai même eu l'impression qu'il se retenait : certains passages auraient pu être insoutenables. Dire qu'il est existe en VR
