Cinéma... Tchi Tcha !

[butterfly15]

[Kieros]

- Tiens, le dernier Batman est une ignoble boursouflure.

J'voulais le voir, mais j'ai dû me tromper de salle : je suis tombé sur Inception 2 avec Joseph Gordon Levitt dans le rôle titre

C'est une sacrée daube (Je détaillerai demain :TeaserDontToutleMondeSeBranle: )

[Kieros]

Donc, en 10 points

Tadaaaam !! Oui, c'est long (TWSS)

1) Mais qu'allaient-ils faire dans cette galère A 2-3 exceptions près, on a tout le cast (technique et surtout acteurs) d'Inception : Gordon-Levitt, Tom Hardy, Cillian Murphy, Cotillard, Michael Caine (déjà présent, certes). Je me demandais toujours si j'allais voir Di Caprio ou Christian Bale au plan suivant

2) Il y a dans ce scénario malade, de quoi faire une (bonne) série de 10 épisodes. Pour un film, c'est indigeste : Nolan Brothers ont mélangés plusieurs histoires des comics Batman, des éléments de Begins et même du Dickens. Outre que tout n'est pas intéressant (la scène d'intro dans l'avion avec l'inutile Dr Pavel / Toutes les parties avec le pauvre Matthew Modine / Les péripéties incohérentes des flics dans les égouts (si encore ils étaient tombés sur les Tortues Ninja, on aurait eu un cross-over sympa ) / Les vraies-fausses interventions de l'armée / le 3/4 des interventions de Gordon-Levitt, surtout quand il explique qu'il A LA HAINE, tout en débitant des lyrics que n'auraient pas reniées Faf Larage / Le "Ah mais en fait c'était moi la méchante !" de Cotillard / L'intérêt de la partie avec Daggett, finalement), le but de Nolan est surtout de faire des minis-twist toutes les 15 minutes pour impressionner certains, alors qu'énoncé clairement, son scénario est d'une simplicité michaelbayienne :
Situation Initiale : Un terroriste veut faire sauter la ville. Élément Perturbateur : Deux femmes séduisent Batman et le font sortir du placard manoir Développement : Batman est trahi par Catwoman et se fait péter le dos, puis par Cotillard et se fait piquer sa bombe nucléaire. Le terroriste prend le contrôle de la ville. Climax : Une colonne vertébrale, ça se répare facilement et Gordon Levitt est le Jean Moulin qui libère Gotham. Catwoman bute le terroriste et Batman désamorce la bombe, aidé par Ned Flanders Garry Oldman. Final : La toupie tombe et Batman va retrouver ses gosses à Florence auprès de Michael Caine. Marion Cotillard se tapera un razzie awards.

3) Nolan est notoirement doué pour deux choses :
a) Premièrement, les travelling circulaires et les contre-plongées de gars en train de marcher (sérieux, par exemple ça fonctionnait très bien avec le Joker, qui est un gros pédestre ). Les autres éléments de mise en scène, c'est pas toujours son fort. Notamment les scènes de combat (celle du Occupy Wall Street est à mon sens totalement ratée - Le premier affrontement contre Bane est en revanche réussi, surtout LA SCÈNE du Knightfall ) ; la mise en scène de la mort, il ne sait pas faire non plus (la mort de Matthew Modine est involontairement comique celle de Cotillard je n'en parle pas - où était la direction d'acteur ? Bane, c'est à peine si on comprend qu'il est mort ) ; Les tunnels d'explications mal intégrés au récit, c'est également une tare du film : "Alors là Batman, je vais t'expliquer des trucs que tu sais déjà, c'est pas pour faire l'ordre du jour de notre réunion, juste parce que Nolan est pas assez doué pour que ça se comprenne naturellement dans sa narration" (cf la scène où Cotillard découvre le réacteur/bombre, par exemple).

b) Deuxièmement, Nolan (quels que soient ses éditeurs) est ordinairement doué pour le montage (Inception n'est au final que cela, un fantastique film-concept sur le montage alterné ; Mémento traite du montage inversé, Following du montage non-chronologique, Le Prestige est quasiment une réflexion sur le montage et l'illusion). Le Dark Knight Rises traitera lui du montage foiré Je passerai sur la quantité invraisemblable de faux-raccords (je ne suis pas mesquin à ce point ), pour retenir une scène à mon sens emblématique : Batman est en prison, il a une vertèbre qui "sort du dos". Son codétenu le pend par le thorax comme un jambon, il y a différentes scènes qui s’insèrent et 5 minutes après (temps extra-diégétique), il remarche Bon. Après tout, on n'est pas dans Dr House (et puis c'est pas pire que le film de Patrick Sébasten où la victime pardonne à son violeur en 10 minutes, viol et hopital psychiatrique compris ). Je prête un peu plus attention : on est toujours dans un montage alterné. Ellipse de lieu, : A Gotham, Gordon Levitt fait son show, ça doit durer, gros maxi, un jour (en temps diégétique). Scène suivante, retour à la prison : Batman fait des pompes ! :huh: Le montage alterné laisse entendre que deux scènes successives se déroulent dans la même unité de temps diégétique. Comment Batman peut-il avoir le dos bousillé un jour et faire des pompes le lendemain ? Le tout en dix minutes en temps extra-diégétique. C'est pas Armstrong le mec. Ça m'a fait ricaner mais j'étais peut-être le seul. Globalement, il y a pas mal de scènes comme celle-ci, où la temporalité de la narration n'est pas respectée.

4) Plus grave, Nolan foire le propos politique qui avait tout pour être intéressant Montrer les deux idéologies alter-mondialistes dominantes (les 99% et les écolos), leur face vertueuse (pouvoir du peuple revendiqué par Bane, respect de la planète par Cotillard ), les opposer à un héros réac et mal-aimé (Batman), illustrer le peuple de Gotham heureux de l'avènement de ces deux paradigmes puis dévoiler ensuite leurs faces sombres, avec la Terreur de Bane, la menace fasciste de Cotillard, pour que le peuple se range finalement du côté de l'ordre établi avec Batman et les flics Ça aurait eu du sens et le message du film aurait été plus nuancé. Là, c'est uni-dimensionnel : Bane et Cotillard sont des terroristes qui veulent tout détruire parce qu'ils sont très méchants. Leurs revendications ne sont que prétextes et non pas une conviction politique. Bof. On voit d'ailleurs très peu le peuple de Gotham, on saura juste qu'il aime son équipe de foot et l'hymne américain Je pensais que ce Batman avait la capacité de faire le contrepied d'un autre film raté mais au propos plus pertinent, V pour Vendetta.

5) Y'a pas de 5.

6) Tous les dialogues font la course à la punchline, on se croirait dans un buddy-movie façon l'Arme Fatale Quand ce ne sont pas des saillies sarcastiques, ce sont des diatribes sentencieuses et boursouflées. A quelques rares exceptions, c'est grotesque.

7) Nolan ne sait pas écrire ses persos féminins. C'est con, parce que Hattaway est la très bonne surprise du film et Cotillard s'en sort plutôt bien avec son rôle débile (si on oublie évidemment le sketch de la fin)

8) La vraie scène réussie reste pour moi celle de l'adieu entre Bale et Caine (j'ajoute la scène du bal Hattaway-Bale, qui était pleine de promesses :-| )
Jamais je n'ai retrouvé l'ampleur du Dark Knight ou des moments de bravoure équivalents

9) Depuis le début, j'avais deviné que Bruce Wayne était Batman

10) Il est dommage que j'écrive souvent davantage sur les films que je n'ai pas aimés que sur ceux que j'ai aimés

[Kieros]

Je ne serai pas aussi dithyrambique que la presse sur Camille redouble de Noémie Lvovsky, qui manque peut-être un peu d'inventivité à mon goût (on est assez loin d'un Quartier Lointain de Taniguchi pour le côté "ludique" du retour à l'adolescence, par exemple), mais qui réussi pleinement dans la veine nostalgique C'est touchant, très bien incarné (Lvovsky impressionante), le décorum des seventies est bien rendu (je passerai sur la présence d'un maillot du PSG époque Biétry dans un des arrières-plans ) et puis Vincent Lacoste confirme qu'il est un des acteurs les plus drôles du ciné français (ça rappelle forcément Les Beaux Gosses, par moment ). Un chouette film

[G.bédécarrax]

Oui, il y a une somme d'imprécisions et d'anachronismes assez surprenante : le maillot PSG Opel tosgra en effet, plus un morceau de The Shins en soirée, des sacs Eastpak alors que leur mode date des années 90, et il y a je crois également un truc qui cloche avec l'élection d'Obama. Des détails certes sans aucune importance, mais ils sont si flagrants, un tel manque de rigueur est assez embarrassant. Bizarrement, c'est aussi un avantage, car le film évite ainsi l'écueil du portrait générationnel et ce fétichisme un peu factice, un peu "maison de poupée" qui l'accompagne parfois. Sinon, le film est globalement très sympathique, oui
Je suis à chaque fois bluffé de constater à quel point Yolande Moreau est une excellente actrice

[pimpam]

mais Yolande Moreau est une grande actrice, dans Louise Michel, elle est magnifique

[Kieros]

Ok elle fait 1m90 mais sinon elle est plutôt moche.

[Ksix]

elle a de beaux yeux

[Champoul]

De beaux yeux d'bourrins

[si-ma-tante-en-avait]

Hier j'ai vu Prometheus et franchement j'ai aimé. A part deux ou trois conneries

La mort de Charlize Theron est conne. Fallait s'écarter de la route du vaisseau. Le coup de la croix, un peu lourd alors qu'elle sait que les Ingénieurs sont à l'origine de la vie.

[Ksix]

et dire qu'en 37 ans j'ai raté ça

[si-ma-tante-en-avait]

6 balles, 3 trou (qui arrivent en décalé).

[si-ma-tante-en-avait]

Le commissaire Charles Dreyfus est mort



Petite précision pour certains, il n'a rien à voir avec la famille RLD

[Ksix]

et avec le centre d'entrainement de l'OM ?

[urba]

Dans 10 ans, je vous annoncerai en exclusivité que si !

[Kieros]

Fuck yeah Killer Joe Je pourrais développer, vous dire que ce pseudo-film noir texan est en fait un tableau de Norman Rockwell qu'on passe à tabac, à fond dans le grotesque, à fond dans le cash (le film s'ouvre quand même sur un plan de CHATTE, hop là, comme ça, gratos), réjouissant comme un mollard, et mû du même jmenfoutisme qui électrisait déjà le dernier Coppola. Je ferais un détour par les acteurs et leurs personnages, tous délicieusement ambigûs, à commencer par ce Killer Joe éponyme, campé par un McConaughey qui compose autour de l'orbite de sa bogossitude et j'offre une crèpe Wahoo! à quiconque comprend ce que je veux dire par là et comme j'ai pas du tout mais alors pas DU TOUT ENVIE de finir cette phrase j'ajouterais qu'il faudrait créer une nouvelle catégorie aux oscars pour le genre de performance que sert ici Gina Gershon

et l'oscar de la meilleure fellation sur batonnet KFC va à

et que je suis bien embarrassé parce qu'elle a beau embarquer un peu tout ce qui peut me repousser chez une femme, son style fashion faussement destroy regarde moi et mes collants déchirés en couvertures de Be, n'empêche que je la baiserais bien, Juno Temple.
Mais pourquoi faire ? Rien ne résume mieux le film, et le sourire d'homme dérangé qu'il a gravé sur mon visage, que fuck yeah - putain oui Killer Joe

C'est totalement tordu (et le mot est faible)

Ça faisait très longtemps que je n'avais pas vu un film aussi dérangeant, peut-être depuis Funny Games de Hanneke. Tueurs Nés, c'est les Bisounours à côté. McConaughey est extraordinaire (quelle voix !), son style m'a un peu rappelé Rourke dans La Maison des Otages, avec cette ambiguité entre séduction et sadisme. J'ai trouvé Emile Hirsch complètement HS par contre, jamais crédible (sauf peut-être quand il se fait péter les dents ). La peinture réaliste de la famille texanne est une grande réussite à mon sens, on dirait du Affreux Sales et Mechants version US (Excellent Thomas Haden Church, j'ai mis du temps à le remettre )

La scène du tête à tête entre McCo et Juno Temple, j'ai trouvé ça bien foiré par contre. D'abord, qui peut croire que Temple à 12 ans ? Il y avait d'autres actrices à prendre pour le rôle, surtout si la subversion était un but. Ensuite, parce que je n'ai rien compris à la "chorégraphie" de McCo, tout psychopathe qu'il est La scène m'a paru très longue et très molle, comme la bite du Killer Joe impuissant (c'est, je pense, l'explication freudienne à son comportement - pimpam, à vous ! )

Sacré film en tout cas, Friedkin n'est pas mort (ça m'a donné envie de voir Bug, que j'avais totalement raté)

[G.bédécarrax]

Hum, étrange film que ce The Secret. Mauvais film, surtout, rythmé chelou (quelque chose comme 3 pré-génériques ???), et dont la condition de film d'épouvante semble un peu laborieuse (tantôt jump-scare, tantôt gamin bizarre/maman courage, tantôt survival), presque plus une minuterie scénaristique jusqu'au twist de circonstance. C'est ce twist qui, bien qu'assez prévisible, surprend de par sa précocité mais surtout sa radicalité, très peu MOMForum-compliant

(gros gros spoiler, évidemment)

L'héroïne kidnappe donc tous ces mômes dont les parents sont de gros bouseux demeurés, pauvres et alcoolo et qui, selon elle, sont condamnés à reproduire "le cycle" qui perpétue cette médiocrité et cette souffrance. Elle les kidnappe et les envoie dans un super-orphelinat où ils seront reconditionnés à la richesse au bonheur. La thèse du film est à rapprocher du permis d'enfanter que certains défendent par ici.

[Kieros]

Ce film fait pas mal de bruit (sans doute l'effet Laugier). Il mérite pas vraiment d'être vu alors ?

[G.bédécarrax]

Non. Le gros problème du film pour moi, c'est qu'il semble n'être un film d'horreur que par dépit, en trainant des pieds, juste parce que Laugier ne sait pas faire autre chose, et enchaine machinalement les figures imposées en attendant d'entrer dans le vif du sujet. D'où une regrettable désynchronisation entre le genre du film et son sujet, rendant le tout ennuyeux et dispensable.

[Kieros]

Entendu

J'ai fini par voir Cloclo, de Florent-Emilio Siri.
Formellement, un excellent film, rien à redire là-dessus. Rythmé, vraiment bien réalisé, atmosphère bien rendue, personnages incarnés, j'ai été dedans pendant 2h30 Il a de plus le mérite d'être largement iconoclaste, parti-pris courageux face à l'hagiographie habituelle des biopics. C'est la vertu du film, mais aussi sa faiblesse : derrière les paillettes et la maestria visuelle de Siri, le quotidien du chanteur est dévoilé comme quelconque et la narration peine à trouver un point de vue et des rebondissements.

C'est finalement en creux que le film est intéressant : la déconstruction de Claude François montre à la fois l'origine du mythe (un plagieur de génie) mais aussi sa bassesse humaine (mesquinerie et jalousie crasse). Je n'en suis pas ressorti en ayant appris grand chose (je savais déjà qu'il ne fallait pas toucher une ampoule, les pieds mouillés), juste l'impression d'avoir vu un réquisitoire sévère mais juste sur un sorte de demi-faussaire. "Si la légende est plus belle que la réalité, imprime la légende" ; Siri a fait le choix d'imprimer la réalité, dommage pour lui que la réalité d'un Cloclo ne soit pas aussi profonde que celle d'un Johnny Cash.

PS : j'aurais adoré que le film vire au slasher avec Cloclo en serial killer : il était tellement névrosé que y'avait surement un angle à trouver (les scènes avec son dictaphone sont flippantes, De Palma t'écrirait tout un film, rien qu'avec ça)

[Kieros]

J'ai vu le dernier MIB3. Comme ça gratuitement, par plaisir (Fallait bien qu'j'me défoule un p'tit peu, j'étais énervé). Le film possède ce charme suranné des blockbusters des années 80, avec leurs plotholes abyssaux, leurs personnages unidimensionnels et écrits façon buddy movie, leurs punchlines qui foirent un coup sur deux, leurs rythmes aussi cahoteux que la phrase que vous êtes en train de lire. Rien de moins. Mais on y est habitué et le très bon casting aidant, la nostalgie du 1er opus aussi, ça se laisse regarder tranquillement. Jusqu'à l'ultime et efficace scène d'action, aussi ludique que sans surprise.

Au terme de laquelle, on se prend un monumental coup de théâtre dans la gueule, sans vraiment comprendre d'où il vient, tant rien ne le laissait présager

Et on se dit que, tout mal branlé qu'il soit, ce film est finalement plutôt pas mal

[Le Vieux Buk]

J'ai trouvé ça atrocement nul.


Sinon, je ne suis pas tout à fait d'accord avec Bédé sur The Tall Man Secret, mais c'est sans doute parce que je n'ai pas cru une seconde aux âneries de la com' nous le vendant comme un film d'épouvante (et encore un grand bravo aux attardés qui changent le titre pour en mettre un autre en anglais aussi, mais plus naze.), ce que ce n'est absolument pas. Peut-être aussi parce que la thèse du film, j'y adhère un max . La gestion du rythme est, comme toujours chez Laugier, fascinante de ce qu'elle est à l'envers de tout ce qu'on apprend. C'est moins fort que Martyr, aussi bancal que St Ange, mais j'ai largement préféré the Secret à "sa première pelloche", comme disent les pires connards (j'ai pas vérifié si là j'insultais un forumiste, mais a priori personne n'a jamais employé cette expression ici. Si c'est le cas, désolé, qui que tu sois, je t'aime quand même il faut oublier tout peut s'oublier )


En ce qui concerne les films français, mon classement de coeur pour septembre : Camille redouble > David et Mme Hansen > Cherchez Hortense > le reste ('tain, j'ai failli me suicider devant d'Ormesson en président. L'idée de casting aurait été géniale il y 10 ans, mais même à ce moment-là, on peut craindre qu'il aurait joué comme une patate. Il joue comme une patate. une patate pas douée pour le cinéma.)


Killer Joe doit être vu, en effet. Mais je suis resté extérieur à ce bidule du début à la fin. C'est peut-être voulu, je sais pas.



Ah, et j'ai vu un sacret paquets de pièces ce mois-ci, à Paris, il n'y a pas de sujet là-dessus, mais c'est pas c'est pas grave puisque : 1) personne ne va au théâtre 2) cette rentrée théâtrale accomplit l'incroyable exploit d'être encore plus minable que la précédente.

[Kieros]

J'ai trouvé ça atrocement nul.

Oui mais moi je suis un ignoble vendu à Will Smith

David et Mme Hansen mieux que Cherchez Hortense ? T'aurais pu le dire plus tôt 'foiré, j'ai fait l'impasse en partie à cause de toi

[urba]

Ah, et j'ai vu un sacret paquets de pièces ce mois-ci, à Paris, il n'y a pas de sujet là-dessus, mais c'est pas c'est pas grave puisque : 1) personne ne va au théâtre:

Parce que y'a pas de théâtre

[Ksix]

cadeau pour les amateurs du genre

de rien

[Le Vieux Buk]

rhooo oui !!!!
Les amateurs du genre ont même déjà parlé du film ici

c'est Tokyo Gore Police, un film que Framboise et moi avions vu avec jubilation (et désarroi, aussi)

(ce passage est mythique, et d'ailleurs tout le passage dans la boîte de "strip tease de freaks" est mythique )(si je me rappelle bien, juste avant cette scène, il y a eu une golden shower assez immonde)

[urba]

c'est Tokyo Gore Police, un film que Framboise et moi avions vu avec jubilation (et désarroi, aussi)

Une soirée deux couples ?

[Le Vieux Buk]

On en parlait dans un autre sujet : je savais que cette réponse serait postée, et je savais que ce serait par toi.

[G.bédécarrax]

Vous êtes moins des modérateurs que des précogs, en fait

[Le Vieux Buk]

U-Na-Gi.