



Anigo à la sécurité pour remplacer Caza et lutter contre les fumisLe Vieux Buk a écrit : Je salue en revanche le courage de José qui s'est spontanément proposé pour aller au feu et assurer l'interim."
Erreur qui est un corollaire de la tentation toujours vivace à l'OM de donner les pleins pouvoirs à l'entraineur, ce qui est toujours désastreux dans un club au budget moyen comme le notre, même quand l'entraineur en question est aussi brillant que Deschamps.attila2001 a écrit :grossière erreur des dirigeants: avoir enlevé a deschamps son rôle de père fouettard, ça conduit tous les joueurs ayant une valeur a aller au clash sachant qu'à 99 % les "financiers" leur donneront in fine ce qui veulent... ils ont cédé sur niang et devraient céder pour ben arfa
L'Equipe papier a écrit :DIDIER DESCHAMPS répond à Hatem Ben Arfa et s’inquiète du retard pris dans le recrutement marseillais.
Mamadou Niang est parti, Hatem Ben Arfa veut lui emboîter le pas. Dix-huitième et relégable au classement, l’OM a perdu ses deux premiers matches, son recrutement n’avance pas et les dissensions au sommet du club se font jour. Didier Deschamps, qui a préféré rester à Marseille malgré les appels du pied de Liverpool cet été, veut croire en des jours meilleurs pour son équipe. Mais il aimerait que ses dirigeants se décident à recruter. C’est ce qu’il nous a confié hier après-midi, au lendemain du revers valenciennois (2-3).
MARSEILLE – de notre envoyé spécial permanent
« LE DOSSIER CHAUD, c’est Ben Arfa. Va-t-il partir ?
Ce n’est pas moi qui décide, mais le président. Le récupérer me semble très difficile vu sa position radicale, son attitude. Ce n’est pas une bonne chose, ni pour lui, ni pour le groupe, de rater des entraînements.
Il ne veut plus travailler sous votre direction. Qu’en pensez-vous ?
La saison passée, il a joué beaucoup de matches (29 en L 1). J’estime que j’ai fait beaucoup pour lui. Il a du talent mais des insuffisances, aussi. Je lui souhaite de réussir sa carrière. J’ai passé beaucoup, beaucoup de temps à parler avec Hatem. Je lui ai dit beaucoup de choses. Il en a retenu certaines, pas d’autres. Jeudi dernier, il a refusé de parler avec moi. C’est peut-être mieux, vu son état de nervosité.
Après lui avoir cherché un club, l’OM veut le retenir. Vous ne vouliez plus de lui ?
Mon idée, à l’origine, c’était qu’Hatem, pour des raisons sportives, trouve une solution ailleurs. Mais Niang devait rester. Et les perspectives pour Hatem n’étaient pas les mêmes, car ils jouent dans la même position. Après, il y a des offres ou pas. Qui correspondent ou pas. Je n’ai jamais dit que je ne voulais plus de lui.
Deux matches, deux défaites. Votre début de Championnat est catastrophique.
Je ne suis pas inquiet. Je le serais si j’avais tous les joueurs à disposition. Attention, je ne me dis pas que nous avons le temps. On a perdu six points en deux journées. L’urgence est là. Contre Lorient, samedi, les trois points seront très importants.
Vos deux premiers matches ont révélé des manques évidents.
Les absences et les blessures compliquent la donne. Brandao, c’est quand il est absent qu’on souligne son importance. Moi, je sais qu’il est important dans notre système. Contre Caen (1-2, le 7 août), les vingt-cinq premières minutes sont intéressantes. Après, notre jeu s’effiloche mais on s’accroche malgré les disparités sur le plan athlétique. À Valenciennes (2-3), les intentions sont là. On aurait dû mener à la mi-temps. On a commis beaucoup d’erreurs défensives, mais on a cherché à revenir. Si j’avais eu le choix, je n’aurais pas fait jouer Niang. Sa principale préoccupation, c’était de ne pas se blesser. C’est humain.
Avez-vous digéré son transfert à Fenerbahçe ?
Cet épisode nous fait mal. Je voulais le garder et mettre une recrue à côté de lui. Si l’été dernier “Mamade” a signé une prolongation (jusqu’en 2014) avec, à la clé, un salaire que tout le monde connaît (320 000 euros), c’était bien pour qu’il reste. Je peux comprendre la volonté de le vendre pour des raisons économiques. Mais il aurait fallu pouvoir anticiper son départ. Le laisser partir à quelques jours de la reprise, c’est désastreux.
Le jugez-vous irremplaçable ?
On parle du meilleur buteur du Championnat. Et puis, c’est un élément très important dans le groupe. Même s’il n’a pas toujours été exemplaire, “Mamade” était apprécié pour ses qualités. C’était LE capitaine. Les joueurs peuvent comprendre qu’à trente ans passés, un beau contrat, c’est tentant. Moi aussi d’ailleurs. Mais ils savent très bien que c’est le meilleur attaquant qui va s’en aller.
Ne regrettez-vous pas, à titre personnel, de ne pas avoir approfondi la piste Liverpool ?
Je n’ai pas de regrets. Avec l’OM, la part affective est très importante. Alors, j’assume. J’ai préféré rester là et prolonger (jusqu’en 2012) plutôt que de choisir une autre destination. J’ai fait ce choix parce que j’étais convaincu, vu ce que nous avions réalisé avec les joueurs, que nous pouvions avoir l’ambition de faire aussi bien ou même mieux. Par rapport à mes attentes, mais aussi aux exigences de Marseille et de son public, cette ambition nécessitait de renforcer l’équipe en qualité plus qu’en quantité, avec l’apport de trois ou quatre éléments.
Pourquoi le recrutement n’avance-t-il pas ?
La qualité prime. Elle a un prix. Je sais que nous sommes dans une période difficile sur le plan économique, que nous sommes en France. Mais j’étais convaincu que nous pourrions garder les joueurs sur lesquels je compte et recruter. Lyon, par exemple, a su dégager des moyens importants pour rendre son équipe plus compétitive à chaque fois qu’il a été champion.
N’êtes-vous pas trop exigeant ?
Si c’est pour faire quelqu’un, histoire de faire quelqu’un, ça ne résoudra pas nos problèmes. Je cherche des profils qui s’adaptent à notre système et aux joueurs que j’ai déjà. Nous avons des repères, des automatismes et des affinités. Je ne me vois pas tout bouleverser. Ça prendrait beaucoup de temps.
Quel est votre plan de bataille ?
On est dans l’urgence. Ce n’est pas une bonne chose. Il faut pourtant trouver des solutions pour avoir l’équipe la plus compétitive possible par rapport à nos moyens. J’ai une position claire depuis le début. Si Niang était resté, je souhaitais un attaquant et un milieu défensif. La situation d’Hatem réduit encore notre potentiel offensif. S’il partait, il faudrait une solution de plus devant, soit deux attaquants, sans négliger pour autant l’apport d’un milieu défensif.
L’état-major du club ne semble pas très soudé ces derniers temps...
C’est difficile. L’OM est un club à part dans son fonctionnement. On n’est pas obligés d’être amis pour penser ensemble à l’intérêt commun, l’OM. Les divergences de vue créent des tensions que les joueurs ressentent. Il faut que chacun fasse en sorte de mettre l’équipe dans les meilleures dispositions possibles.
Avec le titre, on pensait que votre pouvoir au club s’élargirait. Est-ce le cas ?
Je n’ai pas demandé plus de pouvoir. Ce serait trop facile de dire : « J’ai gagné, laissez-moi faire. » Je suis dans mon rôle d’entraîneur. Je ne suis pas l’ultime décideur. J’ai mes positions sportives. Il m’arrive de me tromper. Et je n’ai pas de problème à le reconnaître. »
RAPHAËL RAYMOND
La Provence papier a écrit :Hier, la journée de Didier Deschamps a été particulièrement dense. Deux entrainements étaient inscrits au programme des Olympiens. Entre deux séances, le coach de champions de France a pris part à diverses réunions de travail consacrées au mercato, avec Jean-Claude Dassier, José Anigo et Antoine Veyrat. Le technicien a tout de même trouvé le temps de recevoir La Provence dans le courant de l'après-midi pour faire le point sur la situation actuelle. Entretien...
Il y a trois mois, vous défiliez avec votre équipe sur le Vieux-Port, en brandissant l'Hexagoal. Aujourd'hui, l'OM est relégable après deux défaites en deux matches. Tout bascule très vite...
Si on regarde le classement, c'est vrai. De toute façon, il y a toujours dans une saison des périodes difficiles, même si je ne pensais pas qu'on allait la connaitre maintenant. Certes, il y a eu beaucoup d'éléments négatifs, mais ce n'est pas pour ça que l'on ne doit pas obtenir des résultats devant Caen et même à Valenciennes.
Vous parliez d'éléments négatifs. Un mercato hésitant jusqu'ici est incompatible avec un rendement sportif de premier ordre ?
Evidemment, comme tout entraineur, je préfère disposer de tous les joueurs le plus tot possible. Malheureusement, cela n'a pas été le cas. De plus, des joueurs importants sont partis, dont mon capitaine (Niang). Il a également fallu composer avec la suspension de Brandao, des blessures (Diawara, M'Bia) et le retour des internationaux.
Reconnaissez-vous qu'il y a eu certains ratés durant ce mercato à l'OM ? On songe notamment au départ de Mamadou Niang qui n'a visiblement pas été anticipé...
Oui, si vous voulez. Je peux aussi comprendre la volonté de "Mamade". C'est vrai, on aurait pu anticipé, mais mais pas comme ça s'est passé, c'est à dire à la reprise du championnat. Dès lors, forcement, cela a eu des conséquences sportives, car "Mamade", c'est 18 buts, 6 passes décisives. C'était mon capitaine ; il avait un role prépondérant auprès de ses coéquipiers. C'est un joueur à part, même s'il n'a pas été efficace lors de ses deux derniers matches. Mais là, il s'agissait de son cousin!
Donc, son départ n'a pas été anticipé, alors qu'un deal semblait, pourtant avoir été établi avec lui en fin de saison dernière en cas d'offre suffisamment interessante émanant d'un club...
Je ne sais pas. Moi, ma position est sportive. Mais je comprends aussi la position économique. En tout cas, mon idée première consistait à garder Niang et à l'associer à un grand attaquant. Bon, voilà, il est parti. Maintenant, je ne vais pas pleurer non plus. C'est comme ça. Des raisons - et peu importe la nature à la limite - l'ont emporté, mais la réalité, c'est que j'ai perdu mon meilleur buteur et mon meilleur attaquant.
En tout cas, vous vous retrouvez avec deux attaquants en moins (Niang, Ben Arfa) et Luis Fabiano, sur lequel vous comptiez beaucoup, ne viendra pas. Quel est votre sentiment ?
Mon iddée de départ, c'était de recruter trois ou quatre joueurs. On a engagé Azpilicueta car il y a eu un soucis avec "Lolo" Bonnart, même si je voulais le conserver. Ensuite, je pensais m'appuyer encore sur "Mamade" et enroler un grand attaquant sachant que j'ai pleinement confiance, aussi, en Brandao. Enfin, je souhaitais un milieu de terrain. Je partais de ce principe-là. Il y avait également une forte attente de la part des supporters. Je connais bien Marseille ! Malheureusement, tout n'a pas été possible. Attention, je ne suis pas là pour dire : "Je me fous du prix et peu importe ce qui arrive par la suite au club". Mais, sans faire injure aux joueurs de qualité qui vont arriver, il y avait un standing, une expérience et un niveau international à prendre en compte.
Vous vous opposiez au départ de Niang, il est parti. Vous vouliez l'arrivée de Luis Fabiano, il ne viendra pas. Un entraineur champions de France n'a pas forcément plus de poids que ça en fait...
Je suis entraineur ; je n'ai pas dit : "J'ai gagné, poussez-vous, c'est moi qui décide de tout". Je ne suis que le coach ; j'ai une position sportive et les ultimes décisions ne me reviennent pas. Ensuite, évidemment, je préfere que ma position sportive soit importante. Après, que l'on puisse faire ce recrutement ou pas, c'est autre chose. On a les moyens qui sont les notres et forcement cela limitent les possibilités de choix.
Certes, mais en tant qu'entraineur, vous avez encore des objectifs à atteindre cette saison : confirmer le titre de champion et franchir un palier supplémentaire en Ligue des champions. Avez-vous l'effectif pour y répondre ?
Evidemment, là, on a perdu beaucoup de joueurs. Je vais faire avec l'effectif dont je disposerai au 31 aout à minuit. Mais d'ici à cette date, on aura déjà joué quatre matches de championnat. En Ligue des champions, on a l'ambition de franchir une étape, mais il faudra tenir compte des impondérables, au premier rang desquels le tirage au sort.
Une nouvelle défaite face à Lorient, samedi, pourrait-elle plonger le club dans la crise ?
Une crise des résultats peut-être. Après, crise... De toute façon , à Marseille, même quand ça va , il y a la crise aussi. Je ne pense pas à tout ça. Avec mon staff, on prépare l'équipe pour la meilleure performance possible.
Ensuite, on ne maitrise pas les éléments aléatoires comme les décisions arbitrales par exemple. A Valenciennes, Mathieu (Valbuena) a été victime d'une agression et l'arbitre aurait du exclure le joueur. En général, j'ai remarqué que lors des périodes difficiles, rien ne tourne vraiment en notre faveur.
Le mercato est également marqué par le blocage avec Hatem Ben Arfa...
Blocage... Hatem a dit ce qu'il avait à dire, mais moi, aussi, j'en ai des arguments. Il a quand même été impliqué dans 40 matches la saison passée. Je connais ses qualités. Il a cependant un problème de continuité et d'implication dans le travail. Hatem, c'est un joueur atypique. C'est forcement un gros souci pour les entraineurs. Il peut faire la difference à tout moment, mais lorsqu'il a commencé certains matches, il n'a pas eu la même influence. Dès lors, je l'ai utilisé comme joker parce qu'il n'avait pas les jambes pour accomplir tout un match.
Il a décidé de s'en aller, c'est son choix, même si je le reconnais, j'avais prévu qu'il parte sans pour autant lui avoir fermement déclaré que je ne comptais pas sur lui. Au bout d'un moment, il faut bien trouver une solution. Par rapport à tout ce qui s'était passé et ce qui l'attendait - le contexte notamment -, il avait peut-être besion d'autre chose. Niang partant, il aurait cependant pu nourrir d'autres ambitions au club. Mais il s'est mis dans la tête de partir et de ne plus travailler avec moi. Il est sous contrat avec le club et il n'est pas là depuis cinq jours, ça, c'est la réalité, même si je pense que ce n'est pas une bonne situation pour lui d'agir ainsi.
Quand on parlait de blocaque, on faisait référence notamment à l'insulte que Ben Arfa avait proférée à votre encontre ("Tu me casses les couilles") en novembre 2009. Cet épisode vous a-t-il marqué par la suite au point d'influencer votre attitude vis-à-vis de lui ?
Pas du tout. Je l'avais vaguement entendu. je lui ai demandé de repeter ; il ne l'a pas fait. Mais bon, des joueurs qui disent des noms d'oiseau à leur entraineur, ça existe tous les jours. Si cela avait été de manière frontale, cela aurait été different. De toute manière, ce fait-là n'a eu aucune influence. Sinon, je n'aurais je n'aurais jamais fait jouer Mathieu (Valbuena qui s'était plaint publiquement de sa situation en décenbre 2009) non plus. Je suis dans une logique sportive. Si j'estime qu'un joueur doit être aligné - et même si je l'apprecie moins qu'un autre -, il est sur le terrain. L'affectif n'entre pas dans mes choix professionnels.
Jean-Pierre Bernès est votre agent. Il aurait une influence dans certaines décisions et notamment dans celles liées à la campagne de recrutement...
Quand on attaque Jean-Pierre, c'est comme si on m'attaquait. C'est mon agent et mon ami. On parle beaucoup de football, il aime ce club. A aucun moment il y a eu des interférences ou du business organisé. Il m'aide et me conseille. En début d'année, j'ai pris la décision de ne pas avoir de contact avec les agents de joueurs, quels qu'ils soient. Je ne discute pas avec eux, ce n'est pas mon travail. Mais Jean-Pierre n'intervient jamais pour un quelconque interet ! On discute tous les deux, mais il ne le fait jamais à l'encontre du club ou pour compliquer les dossiers, bien au contraire.
Vous sentez-vous pleinement écouté par votre direction ?
Ecouté ? Je pense qu'elle m'écoute. Qu'elle m'entende ? C'est autre chose. C'est different ! (sourire).
Si vos dirigeants ne vous entendent pas parfois, c'est parce qu'ils n'ont pas toujours les moyens de répondre à vos attentes...
Oui, peut-être aussi. Les aspects sportifs et économiques sont liés. Avec l'ambition qui est la mienne et celle des joueurs, j'étais convaincu qu'il était possible de faire quelque chose de bien, voire de très bien. Ce n'est pas le cas. Voilà. Ce n'est pas moi qui mène les discussions et qui signe les contrats. Moi, je peux dire : "Ce joueur m'interesse". Si on ne peut pas le recruter, eh bien, on ne peut pas.
On vous met souvent en opposition avec José Anigo. Est-ce que vous entretenez des relations franches et constructives avec lui ?
Avant même que j'arrive, on avait déjà cherché à nous opposer. José était là avant moi ; il sera là après moi. Ca, c'est clair. Tous les deux, on a une relation professionnelle et concrète. On n'est pas obligé d'être amis. Il me respecte dans notre travail. C'est le directeur sportif. On fait en sorte que ça fonctionne dans l'interet du club. On peut avoir des divergences de vue, ça existe, mais on est chacun dans notre role. Moi, je n'outrepasse pas le mien. J'ai toujours respecté l'organigramme. Ce n'est pas parce que j'ai gagné, avec les joueurs, des titres la saison dernière que je vais réclamer un pouvoir supplementaire.
Il n'y a donc aucune guerre de clans...
En aucun cas. J'ai vraiment d'autres choses essentielles à m'occuper.
Ouch !!!butterfly15 a écrit :La Provence papier a écrit : Mais, sans faire injure aux joueurs de qualité qui vont arriver, il y avait un standing, une expérience et un niveau international à prendre en compte.
double ouch !!!Vous sentez-vous pleinement écouté par votre direction ?
Ecouté ? Je pense qu'elle m'écoute. Qu'elle m'entende ? C'est autre chose. C'est different ! (sourire).
allez je tente ma chance, "on n'est pas obligés d'être amis" ?si-ma-tante-en-avait a écrit :Y'a même un triple ouch mais je laisse aux lecteurs d'omforum, le soin de le trouver
triple ouch !!!Jean-Pierre n’intervient jamais pour un quelconque intérêt ! On discute tous les deux, mais il ne le fait jamais à l’encontre du club ou pour compliquer les dossiers, bien au contraire.
Om.net a écrit :Le coach revient sur le passage de Morientes
OMtv 18/08/10 13:48
S’il estime ne pas s’être «trompé» sur le mercato estival de la saison passée, Didier Deschamps a reconnu dans les «Experts OM» sur OMtv que le passage de Morientes à l’OM n’a pas fonctionné comme il l’avait prévu. «Je savais qu’il y avait un risque. On avait besoin de quelqu’un et par rapport à nos moyens, Morientes était libre, explique-t-il, je connais Nando humainement et je l’apprécie énormément mais ca ne m’a pas empêché de ne pas le mettre et le laisser en tribune. J’ai une logique sportive et malgré ses 4 Ligue des Champions, le jour du match il vient et fait du travail physique. C’est un pro et il a été exemplaire.»
«Alors ok, il a eu un coût et je l’assume mais il fut le premier malheureux et il ne se voyait pas repartir une deuxième saison comme ça car il respecte trop le foot, ajoute-t-il, sa résiliation a eu un coût mais ça n’a pas plombé les finances du club.»
Mais le jeu en vaut la chandelleLe Vieux Buk a écrit :C'est toujours le danger, ça, quand on met Butty en "ignoré"![]()
voila qui va lui donner une énorme envie de venirDeschamps : "Gignac, pas forcément mon choix"
6 contributions Publié le jeudi 19 août 2010 à 13H12
Interrogé sur l'arrivée probable d'André-Pierre Gignac à l'OM, Didier Deschamps ne s'est pas étendu sur le sujet ce jeudi au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus. "Ce n'est pas forcément mon choix. Je suis obligé de faire en fonction de l'aspect économique. Mais j'ai toujours considéré qu'il est celui qui a le meilleur potentiel en Ligue 1 dans le rôle d'avant-centre.
En même temps si Gignac se croit capable de rivaliser avec les Suarez, Fabiano et consorts, je préfère ne pas le voir venir nous faire ses melonnades.Ksix a écrit :voila qui va lui donner une énorme envie de venirDeschamps : "Gignac, pas forcément mon choix"
6 contributions Publié le jeudi 19 août 2010 à 13H12
Interrogé sur l'arrivée probable d'André-Pierre Gignac à l'OM, Didier Deschamps ne s'est pas étendu sur le sujet ce jeudi au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus. "Ce n'est pas forcément mon choix. Je suis obligé de faire en fonction de l'aspect économique. Mais j'ai toujours considéré qu'il est celui qui a le meilleur potentiel en Ligue 1 dans le rôle d'avant-centre.
Et Gerets is backA la fin de la saison, il se tire.
c'est vrai que devant toi je ne peux égaler dans la discussion... ô grand bédé maitre de l'intelligence sur ce forum...G.bédécarrax a écrit :Ah, ces nouveaux, ils sont touchants de naïveté, ils imaginent qu'une discussion avec blood peut-être constructive ...
Disons que je trouve limite la façon dont il a procédé. Il commence à gémir dès la fin de l'hiver et se cherche déjà une porte de sortie.pep a écrit :Tu ne peux pas comparer la situation d'un entraîneur et d'un joueur![]()
Un entraîneur peut se faire virer beaucoup plus facilement, et quand tu as une opportunité un peu avant la fin de saison ailleurs, mieux vaut être sur de ton coup. Soit tu prolonges, soit tu finis par signer ailleurs.
D'autant plus que sa prolongation aurait eu un effet bénéfique sur le groupe au moment où il l'a demandé, mais c'est une histoire passée...
Calme-toi, c'était juste une vanne (avec desBlood a écrit :c'est vrai que devant toi je ne peux égaler dans la discussion... ô grand bédé maitre de l'intelligence sur ce forum...G.bédécarrax a écrit :Ah, ces nouveaux, ils sont touchants de naïveté, ils imaginent qu'une discussion avec blood peut-être constructive ...![]()