
BREAKING NEWS : Je viens de le retrouver

Si ce n'est déjà fait, je te conseille de lire Journal d'un oiseau de nuit (que j'ai évoqué quelque part dans les limbes de ce topic.) La filiation avec Moins que zéro de BEE est une évidence.G.bédécarrax a écrit : - Moins que Zero (Brett Easton Ellis). Genre pour la cinquième fois; et à chaque fois j'ai l'impression d'écouter un morceau de Joy Division. Ce rythme syncopé, toute cette rage planquée derrière un quotidien anesthésiant de grand blasé revenu de tout, et puis "People are afraid to merge on freeways in Los Angeles", on croirait entendre un refrain. D'ailleurs, s'en est devenu un. Le postulat de base est pourtant assez peu fédérateur (ouais on est riche et on se fait chier), les personnages tous antipathiques et tous interchangeables, mais il touche à la Vérité avec un grand V taggé en rouge. Il l'a écrit, il avait quelque chose comme 21 ans, et à chaque fois son bouquin me file une envie de ne pas pleurer absolument déprimante.
Je vous avais dit que mon beau-père était, en plus, dentiste ?urba a écrit :Excellent ouvrage de psychologie sociale, très bien expliqué et accessible au vulgum pecus (ou couillon de base pour les latinophobes). Cela vous aidera franchement à comprendre les outils de manipulation, à se défendre efficacement (si vous êtes un honnête personnage) ou à les utiliser (si vous êtes un agent immobilier ou un dentiste, je déteste les dentistes).
Et pour les latinophobes, ça signifie quoiJUAN a écrit : inné-acquis toussa
S'ils ne l'ont pas lu, je leur conseille la lecture de "une ordure" d'Irvine Welsh. Classique, mais pas mal écrit (attention, rude en vo, plutôt à lire en français, je pense).
Je l'ai lu il y a quelques temps, j'avais aimé mais beaucoup moins. J'ai moins accroché au style de l'auteur (qui, sorti de l'astuce d'écrire le bouquin à la deuxième personne, est nettement moins typé). Par contre, à la lecture de la description de son job, j'avais le mêmebeyonder a écrit :Si ce n'est déjà fait, je te conseille de lire Journal d'un oiseau de nuit (que j'ai évoqué quelque part dans les limbes de ce topic.) La filiation avec Moins que zéro de BEE est une évidence.G.bédécarrax a écrit : - Moins que Zero (Brett Easton Ellis). Genre pour la cinquième fois; et à chaque fois j'ai l'impression d'écouter un morceau de Joy Division. Ce rythme syncopé, toute cette rage planquée derrière un quotidien anesthésiant de grand blasé revenu de tout, et puis "People are afraid to merge on freeways in Los Angeles", on croirait entendre un refrain. D'ailleurs, s'en est devenu un. Le postulat de base est pourtant assez peu fédérateur (ouais on est riche et on se fait chier), les personnages tous antipathiques et tous interchangeables, mais il touche à la Vérité avec un grand V taggé en rouge. Il l'a écrit, il avait quelque chose comme 21 ans, et à chaque fois son bouquin me file une envie de ne pas pleurer absolument déprimante.
d'accord avec toiHyde a écrit :Y a quand même Jeanne Moreau qui à elle toute seule relève la série. Elle est terrible en vilaine empoisonneuse...
Après les réponses précédentes (merci Framboise via BukKieros a écrit :Ami théatreux, je sollicite vos lumieres.
Dans le théâtre classique, je cherche des rôles féminins du registre comique. J'en vois dans Molière (Tartuffe, Femmes Savantes, Ecole des Femmes...), mais that's all.
Des idées ?
D'avance, merci
J'avais trouvé ça sympaPachakuti a écrit :je suis en train de lire le "petit guide de survie en territoire zombie" c'est très instructif, je ne peux que le recommander.
je vais m'empresser de l'acheter!Le Vieux Buk a écrit :J'avais trouvé ça sympaPachakuti a écrit :je suis en train de lire le "petit guide de survie en territoire zombie" c'est très instructif, je ne peux que le recommander., mais très sincèrement, du même auteur, et sur le même sujet, "World War Z" est 100 fois mieux, touchant, malin, je te le conseille véhémentement
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EDIT : Kieros, tu fais chier![]()
(j'ai quand même posé la question à Framboise, elle lâché dans un soupir "oh lala... Après 1950, qui soit souvent joué ou que tout le monde connaisse, y en a pas trop, des grands rôles féminins")
en revanche, on est d'accord, chez Tenesse Williams il y en a des tonnes (et là, pas besoin de Framboise pour le savoir)