Conchita Martinez
Arantxa Sanchez
Bon, je ne voulais pas en parler sur ce forum, de peur de froisser Stella, mais puisqu'on fleurte avec le sujet depuis quelques pages et que je vois mal Stella parcourir un sujet où on ne parlera pas de question déco, je me vois dans l'obligation d'exposer ici une théorie perso esquissée de la soirée Almodovar sur France 4.
Les espagnols sont des gens laids. C'est vrai pour leurs hommes, qui déjà souffrent de ces abominables cernes qui ressemblent à des poches pour bébé oeil, et qui ont des cheveux comme des stalagtites d'huile. En plus, ils attrapent leur première ride à six ans. Dans "Abre los ojos", Eduardo Noriega n'est pas défiguré non, juste pas maquillé. Quant à leurs femmes, c'est peut-être l'air salé du grand large, mais elles ont en moyenne la tronche qu'aura le pic de Gibraltar après encore trois millénaires d'érosion. Vous aussi allez me citer le contre exemple Penelope Cruz, mais rendez vous à l'évidence, Penelope, son bolso de piel marrón y ses zapatos de tacón n'est pas très jolie. On peut lui trouver un charme tout animal, et beaucoup de présence, il n'en reste pas moins qu'en terme d'harmonie, les traits de son visage sont une insulte au nombre d'or, qui du coup est parti se planquer derrière la 425ème décimale de Pi. Et faut-il
vraiment que je dégaine ma carte Rossy de Palma ?
On se gargarise de Picasso et de son cubisme, mais il n'a fait que peindre ce qu'il avait autour de lui : des espagnols, anguleux et calcaires. Guernica, c'est jamais qu'une image satellite d'une terrasse de café un Samedi après-midi. Picasso, qui avait d'ailleurs un crâne et un visage étonnamment ronds. Comme quoi, il est facile de reconnaître un espagnol exceptionnel (que n'est pas Rafael Nadal, la presqu-île qui lui sert de menton trahit son patrimoine génétique, lui qui depuis son plus jeune âge est nourri aux hormones de Josh Hartnett)
J'hésite un peu à m'engager sur un terrain politique autrement plus glissant, en constatant que le peuple ibère a toujours été à la pointe du fascisme. L'inquisition, le franquisme, puis plus tard l'Atletico de Madrid, des résultantes d'une veille intense et d'investissements colossaux en recherche et développement (Rappel : le terme "fuite des cerveaux" est apparu pour la première fois dans la littérature pour évoquer le transfert de J.I Guillotin au F.C Castille). Il y a peut-être en rapport entre la laideur de cette nation et celle de ses habitants. Moi aussi, quand j'étais laid, j'en voulais au monde entier, ce qu'expliquent peut-être mes origines espagnoles. C'est un pays usé, névrosé, et qui relativement épargné par l'Histoire n'a jamais eu à regarder ses démons en face. L'Allemagne s'en veut pour l'Holocauste : ils ont Heidi Klum! On regrette la colonisation : *BIM*,
Corinne Touzet Virginie Ledoyen! Contre quelques
memorials en souvenir des apaches, les ricains ont récupéré Megan Fox. En revanche, personne n'en veut aux espagnols, du coup, pourquoi s'en voudraient-ils ? Et voilà comment on se retrouve à avoir comme idéal Andrès Iniesta, la déclinaison albinos de Satan.
La semaine prochaine, je vous expliquerai pourquoi les italiennes vieillissent mal.