Cinéma... Tchi Tcha !

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malachi
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par malachi »

JUAN a écrit :J'aurai besoin de vos avis...
Quand ?
Image "Une action, ça monte et ça descend, c'est comme un ascenceur" Image
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Champoul
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Champoul »

J'ai vu Hooligan 2, la suite de Green Street Hooligan, le premier était nul à chier, mais alors le second mdr3
Je crois que je n'ai jamais vu un film aussi nul, je crois que j'ai même préféré le seigneur des anneaux, et dieu sait que je déteste ça :peur:
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MooM
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par MooM »

Le seigneur des anneaux je n'aime pas non plus.

Un des pires films que j'ai vu c'est Simon Sez avec Dennis Rodman et Filip Nikolic (ex 2be3) :peur: palme d'or du navet intersidéral :beer:
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Bud Wazaa
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Bud Wazaa »

Moi je me souviens, il y a très longtemps dans une galaxie très lointaine, d'un film avec Vanilla Ice (si si !)... ben je pense que c'est... pfiouuu, voilà quoi, y'a même pas de mots ! :tic:
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beyonder
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par beyonder »

JUAN a écrit : Vous avez aimé ou pas ces films ? :???:
Nop.

Avec Clooney, je te propose plutôt de mater l'anti-Ocean Eleven par excellence. Ça s'appelle Bienvenue à Collinwood, il y a William H. Macy, Sam Rockwell et Luiz Guzman et c'est souvent très drôle. :smilej:

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Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Kieros »

JUAN a écrit :J'aurai besoin de vos avis...

Aprem DVD avec ma copine pour regarder la trilogie Ocean's avec Clooney et cie...

On a trouvé ça nul mais nul, le troisième étant le pire de tous, j'avais l'impression de regarder des spots de pub réalisés pour l'amicale des commerçant de Beverly Hills... :-|

Vous avez aimé ou pas ces films ? :???:
J'ai vu que le 1er, beaucoup de style visuel (comme quasi tout le temps chez Soderbergh), le scénario "film de hold-up" est assez moyen mais le final est plutôt bon. Sinon, pas d'autre d'intérêt que la brochette d'acteur en roue libre, un bon divertissement mais que j'ai oublié assez vite, perso.

Je viens de voir Still Walking, par le réalisateur génial (avis perso :smilej: ) de Nobody Knows (bouleversant) et Distance (chiantissime). Un sorte de Voyage à Tokyo d'Ozu des années 2000, une superbe réflexion sur la famille et le deuil; de l'humour, de la férocité, beaucoup de mélancolie et de poésie, le tout servi par une réalisation ouvragée en béton armé. Enorme coup de coeur de ce 1er semestre :beer:
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Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Kieros »

En ce moment sur Paris, sort un inédit de 1988 de Sidney Lumet, Running on Empty . Je pensais voir un film à la tonalité politique (comme souvent chez Lumet) mais ce n'est qu'un point de départ pour dépeindre le traumatisme post-soixante-huitard de l'Amérique des années Reagan. Y'a du Cassavettes dedans, et globalement, c'est le film auquel Will Hunting aurait dû ressembler si Van Sant n'avait pas laissé son talent au vestiaire pour l'occasion. J'ajoute que River Phoenix est bouleversant, et le parallèle funeste avec James Dean n'est vraiment pas usurpé : ce film est aux années 80, ce que La Fureur de Vivre était aux années 50. A croire que ce sont les flammes les plus intenses qui se consument le plus vite. Surtout courrez le voir, achetez-le, louez-le, volez-le, c'est immense.

Image

Sinon, ne vous fiez pas au titre un peu simplet de Rachel se marie, qui est un home movie plus proche de Festen que du Mariage de mon meilleur ami. C'est réalisé avec finesse, subtilement écrit, et Ann Hathaway est éblouissante de talent :smilej:
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beyonder
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Message par beyonder »

C'est noté :beer:

Et puis River :love:
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Nyrod »

Qui a vu le film espagnol "El Rey de la Montaña" (les proies) ?
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".

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butterfly15
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par butterfly15 »

Je connais "Les proies" avec Clint Eastwood, mais ça doit pas être ça :oops:
Image "Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
:lol: :lol: :lol:

:hmm:
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par MooM »

beyonder a écrit :C'est noté :beer:

Et puis River :love:
Pareil :beer:
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Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Kieros »

Les 3 royaumes c'est juste :love:

Je ne pensais pas John Woo capable d'animer une telle fresque épique tout en gardant son style... j'avais pas vu de telles scènes de batailles et un tel souffle depuis le Seigneur des Anneaux :wow: Plein les yeux pendant 2h20 qui passent beaucoup trop vite, pour un film qui se classe sans problème aux côtés des références sino-hongkongaise populaires que sont Il était une fois en Chine de Tsui Hark, Tigre et Dragon de Ang Lee ou Hero de Zhang Yimou. Inutile de le préciser, Tony Leung est encore monumental, et Takeshi Kaneshiro a peine moins bien :smilej:

J'sais pas si quelqu'un avait parlé de Before the Devil Knows You Are Dead de Lumet daté de 2007, mais j'ai beaucoup aimé, et ça m'a agréablement rappelé Fargo ou Le Rêve de Cassandre, pour le theme central du "braquage familial foiré" voire James Gray pour l'album de famille :beer:

edit : ah si :smilej:
beyonder a écrit :Personne est allé voir 7h58 ce samedi-là (titre à la con) pour m'aider à me faire une opinion ? :tic: Une chose est sûre, je ne dirais plus jamais du mal de Ethan Awke de toute ma vie après ce film. Ah ouais, il m'a bien calmé sur le coup. :wow: Je parle même pas de PSH qui livre une performance au-delà des mots. :eek:
Pas mieux :oops: (sauf que j'ai jamais dit du mal d'Ethan)


Sinon au passage, Mutants, c'est pas trop mal, et c'est évidemment le meilleur film de zombie français de tous les temps. Mais quand je lis "mélange de 28 jours plus tard et La Mouche" sur Mad Movies, je me dis qu'on est loin du compte. Déjà, la partie "La Mouche" du film avec son amourette zombiesque, c'est à dire la 1ere demi-heure du film, est franchement médiocre. C'est beaucoup trop bavard, trop français*, trop mal joué (mention spéciale à la fliquette sosie de Tracy Chapman). D'ailleurs, tous les acteurs jouent mal dès qu'il s'agit d'ouvrir la bouche. Heureusement, la partie "28 jours plus tard " se reprend plutôt bien, même si on est encore bien au dessous de la référence citée. Techniquement c'est du bon niveau, la photo est excellente, le real connait ses codes malgré quelques tics "à la Fincher" inutiles, bande son et bruitages réussis et les scènes d'actions sont de bonne tenue (le zombie-catcheur est moyen, quand même). La partie survival est réussie, malgré là encore un acting déplorable de cabotinage (faut voir le Tcheky Karyo-like macher son chewing gum :lol: ). Bref, beaucoup de choses réussies, et quelques passages nanards qui plombent un peu l'ensemble.

*ils ont quand même oser développer le concept de zombie-autiste (un autiste mordu par un zombie), sans doute pour approfondir le côté "drame social" cher à notre cinéma :jazz: On ne se refait pas :french:
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Le Vieux Buk
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Le Vieux Buk »

Kieros a écrit : Mutants, c'est pas trop mal, et c'est évidemment le meilleur film de zombie français de tous les temps.
[...]
Bref, beaucoup de choses réussies, et quelques passages nanards qui plombent un peu l'ensemble.
Oserais-tu aller jusqu'à conseiller un déplacement jusqu'au Rex pour le voir à un couple d'afficionados éclairés et bien sous tous rapports ou quand même n'exagérons rien ? :oops:
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Kieros
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Kieros »

Je pense que le couple d'aficionados, nourri aux meilleures références, sera forcément déçu, car le film n'apporte rien de nouveau au genre :grinj: Si il n'était pas français, il ne serait au fond qu'un film de zombie bien propret (si je puis dire) mais sans grand intérêt, dont la seule originalité, à savoir l'atmosphère d'un lieu enneigé façon Shining ou The Thing, est finalement assez sous-exploitée. Mais perso je regrette pas, car ça faisait un moment que j'avais pas poutré du zombie :faim: (depuis le bien marrant Zombie Honeymoon, en fait :lol: )
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Kieros »

Kieros a écrit :
G.bedecarrax a écrit :piqûre de rappel :love: :

Image
Demain. pas cher. Dans 3 salles (soit 2 de plus que "Loft", tout de même), planquées dans des ruelles infâmes où même les cinémas pornos ne vont plus.
Faudrait absolument que je le vois un jour celui-là :cry2:

Ainsi que Kaïro :sad: et Jellyfish :sad:
Fait pour Kaïro :caid:

Ce film de fantômes socialo-horrifique m'a totalement déprimé :deg: Mais l'idée de Kurosowa de lier les spectres des kwaidans traditionnels aux thèmes de la solitude, de l'indifférence et de la déshumanisation du Japon moderne, est absolument lumineuse :smilej:
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par beyonder »

J'ai vu Gran Torino. Clint Eastwood dans le rôle de Al Bundy, fallait y penser. :lol:

Ça sera tout, vous pouvez disposer.
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Hyde »

Je viens de regarder un des films les plus déplaisants qui soient : Un conte de Noël de Despleschin. Une sombre histoire de greffe et de retrouvailles familiales qui ressemble à une psychanalyse ratée, enrobé dans des métaphores lourdaingues, des envolées de traits de violon stridents, un montage prétentieux, un salmigondis de dialogues qui sonnent faux (la mère qui annonce un cancer du sang comme on dirait à des amis que c'est nous qui apportons le dessert, le frère qui dit que ça aurait été "plus simple" si son frère avait simplement couché avec sa soeur, j'en passe), une impression de contempler une sorte de machin monstrueux et vide à la fois. Et surtout l'impression que ça ne finira jamais. 2 (ou 5, je n'ai plus compté ) heures précieuses de perdues.
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Message par Pachakuti »

Despleschin, mon dieu, tout ce que je déteste dans le cinéma français... je ne me suis jamais remis de "comment je me suis disputé (ma vie sexuelle)".
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Hyde »

Moi depuis que j'ai vu Rois et Reines je déteste Emmanuelle Devos. Je pensais que c'était peut être ce film particulier de Desplechin que je détestais, mais non en fait c'est lui :grinj:
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par JUAN »

J'ai également regardé hier soir "Un conte de Noël" et j'ai un avis plus nuancé. C'est un film entre la bouse parfumée au Chanel et le simple chef d'oeuvre.

Quelques critiques de spectateurs dont je partage plus ou moin l'avis, d'un extrème à un autre :peur:
Les enfants à leur père: "où est Maman?", "Elle couche avec Tonton, elle ne voulait pas nous déranger...". On est très snob, on se gausse du désamour qu'on a pour son fils (qu'est ce qu'elle est mauvaise Catherine Deneuve...) et le fils en rigole car c'est réciproque ah ah ah. Le personnage central: la Haine.. oui mais on sait pas pourquoi, même celle qui hait ne sait pas, celui qui est haï, sait lui pourquoi elle le hait, mais il ne le lui dira pas, na na na na, ouin dis le moi! c'est un vilain lui, le frère (spider man), il joue à pile ou face avec mère et il ne veut même pas dire si elle a gagné ou perdu, il garde la pièce cachée dans sa main, d'ailleurs le spectateur ne saura pas non plus quel était l'enjeu et si la mère le savait elle-même.
Là on ne peut que difficilement être d'un avis contraire. Cette histoire de ménage à 3 nage en plein fantasme refoulé et les scènes décrites ensuite sont effectivement à la limite :tic: du grotesque.
Pendant 2h30, on nous montre une famille déchirée (pourquoi ?) à noel : des coups de gueule (pourquoi ?), des larmes (pourquoi ?), des haines (pourquoi ?) et des rires (ah non). Autour de cela, on greffe (désolé pour le jeu de mots), une histoire de greffe, mais qui apparemment pose problème (pourquoi ?). Frustration d'avoir des questions qui s'empilent pendant le film sans jamais obtenir les réponses (comment Devos retrouve-t-elle Deneuve dans le musée? Pourquoi Consigny soigne-t-elle son 'banni' de façon délicate quand il dit des horreurs sur elle (!) et qu'il se fait bastonner, alors qu'elle le fuit pendant tout le film???) En conclusion, un film sans aucun intérêt, à réserver à une certaine élite du cinéma.
Je pense que si on cherche à tout comprendre, c'est foutu. Ce film s'apparente un peu à un documentaire. J'ai justement bien aimé cette impression d'être un personnage du film qui découvre en temps réel cette famille qui vous ne vous confiera que ce qu'elle veut bien vous dire.

Réglements de compte, nous dit le synopsis, il n'y a que des pseudo-conflits entre bobos ininteressants. Desplechin filme avec prétention. Catherine Deneuve que d'aucun diront qu'elle est en parfaite retenue n'en branle effectivement pas une. Il y également une constante stupéfiante chez ce genre de cinéastes, c'est qu'ils appuient tellement certaines choses qu'elles en deviennent presque parodiques. Par exemple, cette manie de donner à des personnages qui se veulent "torturés" une cigarette à fumer à chaque plan, une fiole d'alcool à boire à chaque scène "d'introspection"???
Alors là je ne suis pas d'accord du tout dans le sens où un film bobo c'est pour moi un film d'Emmanuelle Thompson. Avec des parisiens BCBG avec leurs petits problèmes, leurs pulls Zadig et Voltaire et pour qui le mot "merde" est si transgressif qu'il en est excitant. On a pas non plus à faire avec une famille bourgeoise façon Chatillez. Au contraire, je trouve que le réalisateur met en scène une famille de classe moyenne tout à fait convaincante. Et pas une famille bourgeoise comme j'ai pu le lire à droite et à gauche.

Tout à fait d'acord avec le reste même s'il me semble que la présence de la cigarette et de l'alcool à chaque plan est une réelle volonté parodique et non pas un détail qui devient parodique.
Autant annoncer la couleur : je ne vois pas l'intérêt de ce "Conte de Noël." Des personnages torturés, égocentriques et issus d'une famille bourgeoise intellectuelle se haïssent les uns les autres. De façon parfois gratuite. 2h30 pour raconter leurs tourments, j'ai trouvé ça long et prétentieux. Je donne quand même une étoile pour quelques scènes bien jouées qui parsèment le film.
C’est justement là tout l’intérêt. Voir enfin des personnages torturés et egocentriques. C’est ça que j’ai trouvé génial, cette famille est détestable mais on a envie d’en faire partie.
Là encore je suis d’accord sur le côté prétentieux du film mais je ne sais pas si je l’aurai aimé si je ne l’avais pas ressenti. A vrai dire, on se délecte un peu de cette volonté de dénigrer un public qui va voir deux ou trois fois «Les chtis » au cinéma et qui en ressort avec le sentiment d’avoir vu un film magnifique.
Les films de Desplechin tracent toujours le portait sans concession et sans guère d’enthousiasme, de personnages en guerre contre les autres ou eux-mêmes et en quête d’équilibre, ou pas. Un conte de Noël n’échappant pas à ces règles immuables, il s’agit là d’une comédie dramatique chorale qui comporte autant de richesse narrative construite autour d’individus évidemment très différents que de lenteurs récurrentes et d’absence coupable d’implication du spectateur. Les maux, les cicatrices et autres séquelles morales ou physiques qui gangrènent la famille et ses ramifications sont authentiques et méticuleusement divulgués, mais le ton, glacial, et la mise en scène, austère, sont des facteurs de détachement du récit. Le plus grand mérite de Desplechin est d’avoir osé placer ses protagonistes dans un contexte qui n’est ni parisien, ni bourgeois. Ça n’a pas l’air comme ça, mais combien de mélodrames français ne reprennent pas au moins un des ces poncifs? Vraiment très peu. L’action se déroule ainsi à Roubaix au cœur d’une famille dite de classe moyenne, et sans clichés. Seul point de discrédit sur cet environnement: la présence de Deneuve dans la peau d’une quadruple parturiente ayant été mère au foyer toute sa vie. La grande Catherine qui s’est toujours vue reprocher d’être froide et sophistiquée côté cour comme côté jardin est fidèle à cette image. On a bien du mal à croire qu’elle a pu être la ménagère méritante qu’elle est censée incarner. Surtout lorsqu’assise sur son fauteuil devant la télévision et entourée de son petit monde, elle fume une cigarette, les jambes royalement croisées et l’air carrément matriarcal. En résumé, Un conte de Noël est digeste mais se déguste avec modération.
Rien à dire sinon qu’en effet, on du mal avec Deneuve dans ce rôle là. Elle est plutôt bien au moment de l’action mais difficile à replacer dans sa vie antérieure.
Film maniéré, théâtreux, languissant, sur les rapports des "membres" d'une famille bourgeoise torturée, névrosée (entre autres à cause d'un bébé qui n'a pas pu être sauvé), déglinguée, décomposée... mais retenue par les liens du sang... et qui se réunit autour de la figure-totem de la matriarche, Junon Vuillard (pour l'ambiance "mythologie romaine" et sa cruauté). Ce n'est un conte que par ironie. On peut trouver l'atmosphère, nombriliste, facilement antipathique: à la fois lourde et légère, limpide et acérée. La mère qui couche avec son beau-frère, le calcul des chances de survivre à la maladie: liberté de ton totale, cynisme, décalage... on n'est plus à ça près. On semble tout pouvoir se balancer mais on cache quelque chose... On paraît transparent... il reste un masque. Bien sûr, la télévision n'existe pas, Internet non plus donc (coupure du divertissement comme de la communication). Dans cette maison, les personnages fonctionnent en vase clos, déconnectés de la réalité, en pleine représentation théâtrale Bien que le fond psychologique se veuille complexe, la touche intello-hermétique fait prétentieux ; Scène d'hôpital ultra creuse. Il n'y a pas d'émotion. On parle de cancer... mais ils se détruisent, autant cérébralement qu'organiquement, avec leurs drogues (cigarettes pour tout le monde, alcool et anti-dépresseurs)! Lamentable! Musique pas trop mal. Intriguant, certes, mais aussi gonflant, étouffant et peu touchant.
Assez d’accord jusqu’au reproche de l’émotion. Je trouve que c’est tout l’intérêt du film, il n’y a pas d’émotion.
Son film commence comme une farce et l'on devine qu'il s'achemine vers quelque-chose de plus sombre, ou peut-être de plus sourd. Mais une mise en scène magistrale, un montage habile, des dialogues intelligents ne suffisent pas à faire naître l'émotion. On reste sur le bord, étranger à cette famille qui ne nous parle pas, dont on ne comprend pas tous les mystères. Et pourtant rien n'est raté, tout fonctionne. Mais la plupart du temps l'émotion ne passe pas. Tout cela est-il trop cérébral ? Faut-il être sensible au destin des familles bancales pour être touché ?
Toujours l’émotion…




Et finalement les avis dont je suis le plus proche.
-Tu ne m’aimes toujours pas ?: -Je ne t’ai jamais aimé . -Moi non plus . Voilà, ils sont francs, libérés des conventions, complètement dénudés des apparences qu’on essaye toujours de porter. Ici les personnages s’aiment et se détestent sans complexes, mais c’est peut être finalement cela qui créé un lien fort entre eux, cette capacité a éviter les silences et les sourires hypocrites qu’on subi souvent en famille. Ici pas de perte de temps, pas de gène pas de malaise, on peut dire à son fils qu’on ne l’aime pas, appeler son neveu « le fou » ou dire qu’il est « complètement stupide » : Henri se sait haï par sa sœur, mais ne se cache pas, il vient et prend toute la place. Ivre, il met en évidence les difficultés relationnelles que rencontre sa sœur, jusqu’à se prendre un coup de poing par son beau-frère. Mais là encore, pas de gène, le beau-frère souri, satisfait et s’en va. Quant à la copine d’Henri, elle s’amuse même du spectacle de son amant le visage ensanglanté. La haine et l’amour se mêlent et déclenchent les mêmes sourires complices entre les personnages. On dirait une grande mise en scène : Junon évoque sa maladie avec un sourire presque confiant, tandis que son mari et son gendre tentent d’établir ses chances de survie, c’est un ballet d’illusions que met en scène Arnaud Desplechin avec aisance . On ne sait plus ou s’arrête le conte et ou commence la réalité, on se laisse guider par ces acteurs, sans se soucier de la crédibilité de leurs histoires. Puisque après tout, la vie n’est elle pas parfois aussi incroyable que le conte ? Le film soulève beaucoup de questions et ne donne finalement que peu de réponses, (ce qui pourrait irriter certaines personnes amateurs de concret), le réalisateur préfère laisser le spectateur libre d’y réfléchir à loisir. Ainsi Un Conte de Noêl est un film qu’il faut avoir la patience de regarder, car certains y trouveront des longueurs, et un film peut être déconseillé aux amateurs d’actions et de rebondissements spectaculaire.
J'ai vu un conte de noël, il y a un petit moment, et j'ai vraiment aimé le film. Un film qui parle de la famille et de l’autre de manière artistique. J'aime la fragmentation permanente et les effets de ruptures dans ce film (le "chaos" apparent) liés aux changements de points de vue, d'objectifs (l’objectif circulaire) et de musique (On passe du jazz, au classique en passant par les chants de noël). L'utilisation de la musique et des mouvements de caméra donne un effet hypnotique à certaines scènes, comme la scène du gymnase. J'apprécie cette proximité de la caméra avec les personnages, ce qui permet de garder l'émotion. J'aime beaucoup l'importance de la parole, des récits (et de l'écrit) dans le film.
Acteurs tous à leur point culminant, Anne Consigny à gifler, Mathieu Amalric toujours aussi craquant dans sa transgression, Deneuve et Roussillon font corps avec la demeure où tout converge, le neveu Paul comme engourdi, les deux petits garçons au contraire pleins de fraîcheur...
La demeure du film est un personnage à elle toute seule, quasi hantée et vivante d’une certaine façon
En cette période de consensus mou et de gentillesse dégoulinante, un cinéaste qui prétend s'intéresser au ressentiment ou à l'indifférence, voila qui attire le respect. Voila pour le fond de l'affaire ...mais la forme est elle à la hauteur? Au final oui : bien écrit, bien dialogué et bien interprété, le film singulier et personnel tient la route malgré quelques afféteries. Certes cette famille qui aborde le deuil de manière décalée, qui manie le langage et la confidence avec grande facilité peut nous être étangère, mais cela fonctionne. En tout cas le couple de parents, dont la complicité crève l'écran. L'épisode Mastroianni est en revanche assez superficiel
Pas plus emballé que ça par la bande-annonce, le film se révèle une excellente suprise. Conforme aux éloges des critiques, ce film est souvent passionnant, parfois longuet mais qu'est-ce qu'on est bien dans cette famille ! Chaque personnage a une dimension dramatique. C'est un film sur la liberté de se dire, de tout se dire et qui fait s'interroger chacun d'entre nous sur ce rapport complexe qu'est la famille




Bref globalement j'ai plutôt aimé :smilej:


Pour autant je ne résiste pas à vous faire partager cet avis, certainement d'un petit merdeux à peine sorti de l'adolescence dont le père et la mère sont critiques à Télérama :lol:
C'est un excellent film mais je ne lui mets pas quatre étoiles parce qu'il se veut trop élitiste. C'est flagrant. Les dialogues sont géniaux mais complétement hors du temps, c'est du théâtre philosophique et ce n'est pas ça qui va attirer les foules, je veux dire qu'il exclut derechef toute une catégorie des spectateurs en ne s'adressant qu'à une patie de la population: la cultivé, la lettrée. Les acteurs sont tous excellents, et encore une fois mention spéciale au ptit Mathieu Amalaric qui déchire vraiment ses camarades de jeu. Ce film est exceptionnel dans les rapports humain mais tellement hors du temsp par son côté iréel des dialogues, c'est dommage oui et non, j'ai pris mon pied à déguster les répliques mais c'est quand même de l'auto-suffisance dont j'avais un peu honte. On ne peut pas classer ce film grand public mais plutôt grande élite.Citer Nietzsche... quand même... Y'a un énorme travail dans ce film et l'auteur fait tout ce qu'il peut pour rendre ce film proche de chacun d'entre nous mais les répliques rappellent sans cesse qu'on est dans une fiction.
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par White Label »

ma copine voulait regarder ça. je l'ai laissée seule dans la chambre.

j'ai regardé SWAT. J'ai adoré. et je vous merde, bande d'intellos.

talalin, talalin, talalin

:i'mfitlikefarrel: :michellejetegodelecul: :samuelçacestunvraiacteur:
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stramboise
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par stramboise »

Moi je n'y connais rien en ciné hein. Mais je me pose juste 1 ou 2 questions. Est-ce qu'avoir aimé les ch'tis veut dire qu'on trouve ce film "magnifique"? Ou qu'on ne peut pas réserver ce qualificatif à un autre genre de film? Est-ce que les films de Desplechin ou Chéreau sont forcément "intelligents"? Est-ce qu'il existe une échelle graduée permettant de mesurer la profondeur d'un film (genre de "completement con" à "complètement snob") et donc de situer les ch'tis ou "ceux qui m'aiment prendront le train" ? Et est-ce que par une habile transposition cette même échelle peut permettre de catégoriser les spectateurs ? Est-ce que la catégorie sociale des personnage d'un film (prolo, bobo, bourgeois de province ou autre) permet en soi de classer un film dans une catégorie ou une autre? Ou n'est-ce pas plutôt la pertinence ou la vraisemmblance de leurs rapports (dans le cas d'un film se voulant réaliste) ou leur invraissemblance (dans le cas d'un film se voulant fantaisiste) qui devrait guider notre jugement ? Et ou se situe Conte de Noël dans ce cas? Et quid des films qui n'ont pour but que de servir de base à des tentatives de performances d'acteurs? (je classe "ceux qui m'aiment..." dans cette catégorie par exemple) Sont-ils condamnables pour autant ?

Bon, c'est tout. Merci. :beer:
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par JUAN »

La réponse d'un pas plus pro ou passionné... :beer:
stambroise a écrit :Est-ce qu'avoir aimé les ch'tis veut dire qu'on trouve ce film "magnifique"?
Non. Pour ma part j'ai aimé. Mais c'est pas un film magnifique.
Est-ce que les films de Desplechin ou Chéreau sont forcément "intelligents"?
Je soupçonne fort que ce soit leur ambition en tous cas. Quoiqu'il en soit, c'est pas non plus réservé à une élite comme je l'ai lu. Toutefois, la façon dont cela est filmé et mis en scène laisse à penser qu'il y a volonté. A mon sens et celui de beaucoup de gens visiblement.
Est-ce qu'il existe une échelle graduée permettant de mesurer la profondeur d'un film (genre de "completement con" à "complètement snob") et donc de situer les ch'tis ou "ceux qui m'aiment prendront le train" ?


Oui, celle de tout à chacun je pense.

Par exemple j'ai trouvé "Le code a changé", complétement plat, con et snob. :grinj:

Les ch'tis c'était juste un téléfilm divertissant.

Et est-ce que par une habile transposition cette même échelle peut permettre de catégoriser les spectateurs ?


Ma foi, il suffit de voir les critiques (professionnelles ou amateurs) accompagnant tel ou tel film pour se rendre compte que la catégorisation est un phénomène majoritaire. A mon sens hein...
Est-ce que la catégorie sociale des personnage d'un film (prolo, bobo, bourgeois de province ou autre) permet en soi de classer un film dans une catégorie ou une autre?
Non

Ou n'est-ce pas plutôt la pertinence ou la vraisemmblance de leurs rapports (dans le cas d'un film se voulant réaliste) ou leur invraissemblance (dans le cas d'un film se voulant fantaisiste) qui devrait guider notre jugement ?
Stéphanie de Monaco.
Et ou se situe Conte de Noël dans ce cas? Et quid des films qui n'ont pour but que de servir de base à des tentatives de performances d'acteurs? (je classe "ceux qui m'aiment..." dans cette catégorie par exemple) Sont-ils condamnables pour autant ?
Conte de Noël est un film qui fait snob qui l'est parfois mais pas autant qu'il a été dit. L'histoire qui met en scène Yvan, sa femme et Simon est de trop et plutôt conne.

Pour les autres, je n'ai pas assez de connaissances.
Hum
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par saiimon »

y a le nouveau film de ken loach "looking for eric" avec cantona qui joue son propre role. :beer:

Et vendredi, seance special au varieté suivie de debat et discussion en presence de canto :smilej:

Les place sont deja en prevente, j'ai pris les miennes tout a l'heure, j'ai bien envie de voir le personnage :smilej:
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par beyonder »

saiimon a écrit :y a le nouveau film de ken loach "looking for eric" avec cantona qui joue son propre role. :beer:
A t-il déjà joué autre chose :???:
Telle était sa malédiction : né idiot mais pas assez idiot pour garder espoir.
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par MooM »

Oui dans le téléfilm papillon noir qui est plutôt bon !
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par saiimon »

je dirais meme :
Au terme d'une importante carrière de joueur de football, Eric Cantona entre dans le cinéma par la grande porte en 1995, avec l'un des rôles principaux du Bonheur est dans le pré, réalisé par et Michel Serrault et Eddy Mitchell comme vedettes. Après un petit rôle dans le film d'époque Elizabeth, il incarne un boxeur dans la comédie Mookie, aux côtés de Jacques Villeret.

En 1998, Eric Cantona s'illustre dans Les Enfants du marais, film doux-amer de Jean Becker où il retrouve Michel Serrault et Jacques Villeret. Il tient aussi la vedette, auprès de Rachida Brakni, de L' Outremangeur (2003), où il campe un commissaire obèse de près de 160 kilos. Cantona retrouve plus tard l'actrice dans Lisa et le pilote d'avion. Outre quelques rôles dans des films relativement confidentiels tels La Vie est à nous ! de Gérard Krawczyk, Eric Cantona réapparait dans la nouvelle version du Deuxième souffle de José Giovanni, par Alain Corneau (2007). En 2009, Eric Cantona est dirigé par le très engagé Ken Loach dans Looking for Eric. Avec ce film, le cinéaste, fan de ballon rond, rend hommage à celui que l'on a pendant longtemps surnommé "The King" pour ses prouesses footballistiques.
Donc en fait il n'a jamais joué son propre role :hmm:
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Pachakuti
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Pachakuti »

beyonder tu es un incompris :grinj:
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San Siro
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par San Siro »

Je viens de voir qu'il est sorti encore un "Terminator" baptisé "Renaissance". Le 3 je l'avais trouvé naze je me demande de quel accabit est le dernier sorti. :tic: Il y en a qui l'on vu ?
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Bud Wazaa
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Re: Cinéma... Tchi Tcha !

Message par Bud Wazaa »

Bof, un cyborg surarmé qui va maraver la gueule de Leonard de Vinci et Christophe Colomb je vois pas trop l'intérêt ! :oops:
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