Dans le cas qui nous concerne, il faut reconnaître que les cousins ont une part de responsabilitéLe Vieux Buk a écrit :Que c'est mignon et moral de penser que ce sont les branleurs abrutis pas toujours honnêtes qui ne trouvent pas de boulot
Kieros a écrit :En effet
En plus, je ne comprends pas pourquoi il a voulu prendre sa voiture, lui qui défend toujours les transports en commun.
Ouais, t'as pompé ta métaphore sur Cain et Abel, en faiturba a écrit :Dans le cas qui nous concerne, il faut reconnaître que les cousins ont une part de responsabilitéLe Vieux Buk a écrit :Que c'est mignon et moral de penser que ce sont les branleurs abrutis pas toujours honnêtes qui ne trouvent pas de boulot
Ne tirons pas de généralités hâtives
:bernardwerber: 
Métaphore
La métaphore recouvre par sa forme raccourcie tous les usages de l'image en se différenciant de la comparaison (entendue au sens stylistique) par l'absence d'outil de rapprochement (« comme, ressembler à, pareil à... ») qui rend plus forte l'association des deux termes et souligne une équivalence dans la métaphore annoncée avec comparé et comparant, (par exemple : « Bergère, ô tour Eiffel », Apollinaire, Zone), ou emploi du verbe être, (« La nature est un temple », Baudelaire, Correspondances), qui peut aller jusqu'à la substitution dans la métaphore directe avec le comparant seul qui rend l'explicitation plus difficile et fait appel au contexte (« Ceux qui sont chauves à l'intérieur de la tête », Prévert Dîner de têtes - « J'ai vu l'enfer des femmes là-bas », Rimbaud Une saison en enfer).
La métaphore, se retrouve donc naturellement dans la littérature et particulièrement dans l'expression poétique, mais elle est d'un usage quotidien dans l'emploi d'épithètes (« un cadeau royal » – « une ruse de Sioux »...), de personnification (« Nadal, roi de Roland-Garros ! »), d'invention verbale (« les poulets » = gendarmes) ou de formes lexicalisées (« les bras d'un fauteuil »)... Elle est également utilisée par les spécialistes qui veulent à la fois conceptualiser un phénomène et le vulgariser (le Big Bang, la double spirale de l'ADN, le serpent monétaire, l'empire ottoman, homme malade de l'Europe au XIXe siècle...).
Elle est aussi fréquente dans la représentation graphique (peinture, sculpture, caricature...), souvent sous la forme codifiée de l'allégorie comme Cupidon figurant l'amour
Qu'appelles-tu "suceur de l'OM" ?stambroise a écrit : alors que des suceurs de l'OM...
)
stambroise a écrit :Cher cousin,
Je me permettrais juste de te rappeller que, certes, je n'ai pas décroché LE job de consultant dans une banque d'affaire comme notre cousin lyonnais (qui va pas tarder à perdre son CDI pasqu'il parait d'ailleurs qu'ils licencient à cause des subprimes dans sa boite) mais que j'enchaine les petits boulots régulièrement et que j'arrive à faire vivre ma famille honnêtement moi ! J'en suis pas réduit à toucher les ASSEDIC depuis 16 ans en promettant tous les mois à mon conseiller ANPE que je vais me décider à chercher un taf alors que je suis retourné crêcher chez ma mère depuis que ma start-up à coulé pour malversation au début des 90's et que je me lève jamais avant 11h du matin !
Sur ce, fais quand même une bise à tata Diouf de ma part !
Ton cousin qui t'aime quand même!
Le Vieux Buk a écrit :Non, ne me remercie pasMétaphore
La métaphore recouvre par sa forme raccourcie tous les usages de l'image en se différenciant de la comparaison (entendue au sens stylistique) par l'absence d'outil de rapprochement (« comme, ressembler à, pareil à... ») qui rend plus forte l'association des deux termes et souligne une équivalence dans la métaphore annoncée avec comparé et comparant, (par exemple : « Bergère, ô tour Eiffel », Apollinaire, Zone), ou emploi du verbe être, (« La nature est un temple », Baudelaire, Correspondances), qui peut aller jusqu'à la substitution dans la métaphore directe avec le comparant seul qui rend l'explicitation plus difficile et fait appel au contexte (« Ceux qui sont chauves à l'intérieur de la tête », Prévert Dîner de têtes - « J'ai vu l'enfer des femmes là-bas », Rimbaud Une saison en enfer).
La métaphore, se retrouve donc naturellement dans la littérature et particulièrement dans l'expression poétique, mais elle est d'un usage quotidien dans l'emploi d'épithètes (« un cadeau royal » – « une ruse de Sioux »...), de personnification (« Nadal, roi de Roland-Garros ! »), d'invention verbale (« les poulets » = gendarmes) ou de formes lexicalisées (« les bras d'un fauteuil »)... Elle est également utilisée par les spécialistes qui veulent à la fois conceptualiser un phénomène et le vulgariser (le Big Bang, la double spirale de l'ADN, le serpent monétaire, l'empire ottoman, homme malade de l'Europe au XIXe siècle...).
Elle est aussi fréquente dans la représentation graphique (peinture, sculpture, caricature...), souvent sous la forme codifiée de l'allégorie comme Cupidon figurant l'amour
stambroise a écrit :Cher cousin,
Je me permettrais juste de te rappeller que, certes, je n'ai pas décroché LE job de consultant dans une banque d'affaire comme notre cousin lyonnais (qui va pas tarder à perdre son CDI pasqu'il parait d'ailleurs qu'ils licencient à cause des subprimes dans sa boite) mais que j'enchaine les petits boulots régulièrement et que j'arrive à faire vivre ma famille honnêtement moi ! J'en suis pas réduit à toucher les ASSEDIC depuis 16 ans en promettant tous les mois à mon conseiller ANPE que je vais me décider à chercher un taf alors que je suis retourné crêcher chez ma mère depuis que ma start-up à coulé pour malversation au début des 90's et que je me lève jamais avant 11h du matin !
Sur ce, fais quand même une bise à tata Diouf de ma part !
Ton cousin qui t'aime quand même!
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Quand je vois qu'on y parle du mariage de Cana, ça me motive pas tropKieros a écrit :Tu devrais lire la Bible, ça t'aiderait à comprendre l'OM
Moi aussi salaudurba a écrit :Ça fait des années que j'attendais de pouvoir la placer
Kieros a écrit :Suffisait de demanderKieros a écrit :Faut dire que, vu que leur club ne gagne plus et que le notre ne perd plus, ils ont plus trop d'occases de faire la fêteBud Wazaa a écrit :Vous voulez pas appeler scalpette pour qu'il vienne nous dire qu'il est content et qu'il préfère Bordeaux que nous ? Je crois qu'il nous en faut encore un pour bien comprendre !
). Exactement ce que je fais sur planetepsg
Ha mais on se cache pas hein !
C'est clairement du voyeurisme malsain, ça fait 2/3 ans que mes rares lectures correspondent à des défaites, à des nuls suite à des fautes flagrantes d'arbitrage, à des victoires de vos adversaires, voir aux notres injustes (généralement y'a tjrs 4/5 mecs pour hurler et dire qu'on est des merdes avec trop de chance, voir qu'on est le club le plus chanceux du monde
Ca rate jamais, j'ai tjrs le droit à 2/3 pages de types qui gueulent contre tout et n'importe quoi .... entraineur, arbitre, joueurs, LFP, Lyon ... et moi .... J'ADORE CA !
Ils trouvent que c'est "une honte pour l'histoire du club" 
Et c'est avec ce genre de remarques que tu comprends encore mieux que pour 80% des supps de lyon l'histoire du foot a commencé au début des années 2000 
Ambiance du match
Selon les forces de Police, certains supporters Lyonnais seraient déjà en train de quitter leur tribune pour rentrer chez eux. Une image forte à l'image de leur dépit.
Dépêche
LYON : DES SUPPORTERS QUITTENT NUNGESSER
© ol Lyon : Des supporters quittent Nungesser
Rédaction 365
samedi 02 mai 2009 - 19h40
Alors que les Lyonnais étaient déjà menés par deux buts d'écart, certains supporters rhodaniens ont quitté les travées de Nungesser dès la demi-heure de jeu.
Déjà mené par deux buts d'écart dès la demi-heure de jeu (doublé de Johan Audel), l'Olympique Lyonnais a aussi perdu le soutien de certains de ses supporters. Une poignée d'entre eux a, en effet, quitté les travées de Nungesser dès la demi-heure de jeu.
Ok, nous on l'a déjà fait aussi, mais c'était lors d'un match où on était à la lutte pour pas descendre, qu'on jouait face à un de nos ennemis historiques, qu'on prenait une vraie valoche (4-0 à la mi-temps), et qu'on s'était fait méchamment chambrer par leur buteur du soir et par le stade tout entier (ceci dit nous on avait arraché quelques sièges en sus :jemenvaiscommeunprince: ) 
Winnie a écrit :(ceci dit nous on avait arraché quelques sièges en sus :jemenvaiscommeunprince:
Les sièges avaient déjà été arraché pour se protéger des oeufs que lançaient les stéphanois en début de match. Y'avait plus qu'à les jeter ensuite.
