

Champoul a écrit :o fet g une Q de newbies ( normal jen suis 1 lol ) comment on fé pr mettre un gif ou une image a goche svp ???
Ce n'est pas la question (sur laquelle je n'ai personnellement pas d'avis tranché) : un jeu interdit aux moins de 18 ans, comme Resident Evil 5, comme GTA IV, n'a pas à être accessible à tout le monde. Ce serait le même problème si la FNAC diffusait Hostel au rayon DVD (et elle l'a probablement fait). Combien d'enfants de 12 ans voit-on acheter GTA IV ?Champoule de séoul a écrit :Mouai![]()
J'ai joué à RE, regardé des films de boules etc. avant mes 10 ans et je ne suis pourtant pas devenu ni tueur en série, ni violeur![]()
Bon par contre je fais parti d'un club de cannibalisme
Le problème à la base est plutôt : le jeu n'est pas interdit au moins de 18 ans. La signalétique +18 n'est qu'une "information". Il n'existe pas de Loi qui condamnerait cette pratique au sein de la Fnac.MooM de khartoum a écrit :Je trouve pas ça marrant en fait![]()
Le problème à la base est : un jeu interdit aux moins de 18 ans en démo accessible à n'importe qui, je pense que le responsable du magasin peut se retrouver dans la merde à cause de ça
Idemnicom de vendôme a écrit :Je suis d'accord avec Gégé
Je suis plutôt d'accord avec çaWhite label de babel a écrit :Je pense plus largementque de toute façon, internet nous a fat définitivement perdre cette guerre, que les enfants malins dotés d'un PC auront de toute façon accès à tout et n'importe quoi dès 8 ans, et que le plus important c'est de les éduquer face à ça (ça c'est bien/ça c'est mal, ne met jamais les dents qd tu suces-après 16 ans bien sur
) plutot que de tenter de controler ce à quoi ils ont accès....
Pourtant il a raisonKieros de biscarosse a écrit :M'insulte pas steuplait
etUne fillette victime d'une nouvelle maladie liée aux jeux vidéo
LEMONDE.FR avec AFP | 25.02.09 | 16h43
Des médecins suisses ont prescrit à une fillette de 12 ans un arrêt total de jeu vidéo durant une dizaine de jours pour venir à bout d'une inflammation de la peau des mains causée par l'utilisation excessive d'une manette de jeu.
La nouvelle affection a été baptisée "Palmare PlayStation Hidradenitis" et a été décrite dans le magazine spécialisé British Journal of Dermatology par le professeur Vincent Piguet, des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). L'adolescente présentait des lésions douloureuses sur la paume des mains depuis quatre semaines. "Il s'agissait de gros nodules rouges très spectaculaires", a expliqué le Pr Piguet à l'agence de presse suisse ATS.
Il a fallu mener une enquête approfondie pour découvrir l'origine de la maladie : la fillette cachait en effet à ses parents qu'elle jouait pendant des heures avec sa console de jeu. Le Pr Piguet et son équipe sont arrivés à la conclusion que la crispation des mains sur la manette et l'appui frénétique sur les touches ont provoqué de minuscules blessures cutanées. Celles-ci ont pu s'aggraver avec la transpiration.
La fillette s'est vu imposer dix jours d'abstinence de PlayStation et les lésions ont disparu spontanément. Ce cas est le seul répertorié à ce jour.
Deux sentences peut-être un peu disproportionnées, mais justice est faiteLe fondateur de la FNAC est mort
LEMONDE.FR avec AFP | 25.02.09 | 14h32 • Mis à jour le 25.02.09 | 17h43
Max Théret, fondateur de l'enseigne de high-tech et de loisirs FNAC, est décédé dans la nuit de mardi à mercredi 25 février à l'âge de 96 ans et sera incinéré au cimetière du Père Lachaise à Paris le 3 mars, a-t-on appris mercredi auprès de sa famille.
Max Théret avait fondé la FNAC en 1954, avec son ami André Essel, tous deux militants de gauche. Il s'agissait à l'époque de l'ouverture d'un club de vente de matériel de photo dans un appartement parisien. Les deux hommes pensaient que l'"action pour le consommateur complète l'action politique", via des produits moins chers.
Bien avant la naissance des grandes surfaces, ils se focalisent sur les achats groupés et se distinguent en ouvrant leur première librairie à Paris en 1974, où les livres sont vendus au rabais. Cette politique a contribué paradoxalement à la loi Lang de 1981 sur le prix unique du livre, visant à défendre les petites librairies de la concurrence de la FNAC et des hypermarchés.
La FNAC, à l'origine enseigne culturelle et "agitateur d'idées", s'est repositionnée au début des années 2000 sur les produits high-tech, plus rentables, qui représentent désormais près de 60 % de ses ventes, contre seulement 18 % pour les livres. Avec 4,58 milliards d'euros enregistré en 2008, la FNAC est désormais la première activité de PPR.