L'Equipe a écrit :Rennes est le premier club français à avoir remporté son bras de fer contre deux de ses joueurs désireux de partir cet été (Briand et M'Bia). Ils ont finalement dû se faire une raison face à la détermination de leurs dirigeants. Le club breton est troisième avant son déplacement à Bordeaux, samedi. Rappel des faits et explications avec les principaux intéressés.
Et Ribéry ?
Ribery ca fait un seul joueur
Rennes ils l'ont fait à 2 joueurs en meme temps, ce qui fait que sémantiquement l'Equipe a raison
-- Quand les amoureux se ramassent à la pelle...
-- Toutes les feuilles mortes se marrent entre elles...
Nota : Ce qui déroute le plus les femmes, c'est d'avoir affaire à un éjaculateur précoce qui fait l'autruche.
c'était bien la peine de fanfaronner avant d'en devenir le président pour finalement s'écraser comme les autres devant ses "collègues"
Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
Daniel Zitka, le gardien d'Anderlecht, a vécu un cauchemar contre Dender (2-0). Sur une intervention aérienne dans sa surface, le visage de l'international tchèque percute la tête d'un adversaire. Zitka se casse alors deux dents. En retombant, l'ancien joueur de Lokeren se fracture le péroné et s'arrache les ligaments de la cheville. Le gardien d'Anderlecht est alors évacué sur la civière mais l'un des porteurs fait un malaise en chemin et le joueur tombe alors par terre. Finalement conduit à l'hôpital, Zitka sera bientôt opéré et sera absent de longs mois.
Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
Daniel Zitka, le gardien d'Anderlecht, a vécu un cauchemar contre Dender (2-0). Sur une intervention aérienne dans sa surface, le visage de l'international tchèque percute la tête d'un adversaire. Zitka se casse alors deux dents. En retombant, l'ancien joueur de Lokeren se fracture le péroné et s'arrache les ligaments de la cheville. Le gardien d'Anderlecht est alors évacué sur la civière mais l'un des porteurs fait un malaise en chemin et le joueur tombe alors par terre. Finalement conduit à l'hôpital, Zitka sera bientôt opéré et sera absent de longs mois.
:-|
C'est horrible et énorme à la fois :-|
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Je regrette une chose quand même, c'est qu'il se prend pas de but sur l'action
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Une nouvelle fois la victime d’un journaliste peu scrupuleux, Grégory Coupet a tenu à apporter un démenti aux déclarations qu'on lui a prêtées:
"Je n'ai jamais squeezé le moindre journal par rapport à un autre. J'ai fait ce que je fais comme d'habitude: j'ai répondu, encore. (…) Je n'ai jamais parlé de Karim. Je n'ai jamais cité personne. Ce qui m'embête, c'est qu'on me fasse passer pour quelqu'un d'aigri. Je ne pense pas l'être. J'ai l'impression de faire du mal à des gens que j'apprécie. Mes propos n'étaient donc pas ceux parus dans ce journal". (1)
Manque de chance, le journaliste était peu scrupuleux au point d’enregistrer leur conversation.
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".