Ben, j'ai trouvé ça quelque peu répétitif. Dans chacun des tomes, on a droit aux mêmes descriptions, aux mêmes rappels... et pour tout dire ça m'a quelque peu gaché le plaisir...
Bref, pas mal mais on reste sur sa faim...
Et puis le trip du gars qui picole des litres et qui n'est jamais soul...
Maintenant, j'me retrouve sans rien à lire !!! ça m'angoisse
-- Quand les amoureux se ramassent à la pelle...
-- Toutes les feuilles mortes se marrent entre elles...
Nota : Ce qui déroute le plus les femmes, c'est d'avoir affaire à un éjaculateur précoce qui fait l'autruche.
Kiskill a écrit :Ca y est, j'ai terminé la trilogie Izzo...
Ben, j'ai trouvé ça quelque peu répétitif. Dans chacun des tomes, on a droit aux mêmes descriptions, aux mêmes rappels... et pour tout dire ça m'a quelque peu gaché le plaisir...
Bref, pas mal mais on reste sur sa faim...
Et puis le trip du gars qui picole des litres et qui n'est jamais soul...
Maintenant, j'me retrouve sans rien à lire !!! ça m'angoisse
Ca me semble bien réducteur tout de même pour qualifier cette trilogie :-| , mais bon, ça reste ton ressenti & donc bien évidemment à chacun ses propres impressions.
Celà dit, je ne saurai trop te déconseiller des auteurs style Calaferte, Bukowski & consorts (bien que eux sont souvent saoûls, & gerbent même parfois ).
Je découvre Paul Auster, via sa trilogie New-Yorkaise, et je n'y comprends rien C'est insupportable, de sentir qu'il y a des sous-textes à ne plus savoir qu'en faire, et d'être incapable de les cerner. Qu'il se foute son postmodernisme au cul, je ne l'ai pas attendu pour me sentir stupide, je retourne lire Marc Levy.
(J'aime bien, sinon Mais j'ai tellement l'impression que c'est pour de mauvaises raisons que ça n'a pas vraiment d'importance)
Jerry a écrit :Ca me semble bien réducteur tout de même pour qualifier cette trilogie :-| , mais bon, ça reste ton ressenti & donc bien évidemment à chacun ses propres impressions.
Celà dit, je ne saurai trop te déconseiller des auteurs style Calaferte, Bukowski & consorts (bien que eux sont souvent saoûls, & gerbent même parfois ).
Bien sur que c'est réducteur... En fait, j'ai bien aimé l'ensemble. Je trouve ca bien écrit, on sent tres bien l'amour pour Marseille et les sujets sont bien documentés...
Cependant, dans les trois tomes on trouve les memes rappels de la vie passée de Montale et comme j'ai lu les 3 dans la foulée, ca m'a un peu saoulé
Sinon, j'adore Bukovski...
-- Quand les amoureux se ramassent à la pelle...
-- Toutes les feuilles mortes se marrent entre elles...
Nota : Ce qui déroute le plus les femmes, c'est d'avoir affaire à un éjaculateur précoce qui fait l'autruche.
" Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance,
en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France,
de l'Europe peut-être. Seulement voilà, il a pris la France et n'en sait rien faire.
Dieu sait pourtant que le Président se démène :
il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant
créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité ; c'est
le mouvement perpétuel ; mais, hélas ! cette roue tourne à vide.
L'homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère
est un carriériste avantageux.
Il aime la gloriole, les paillettes, les grands mots, ce qui sonne, ce qui
brille, toutes les verroteries du pouvoir. Il a pour lui l'argent,
l'agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort. Il a des caprices, il faut
qu'il les satisfasse. Quand on mesure l'homme et qu'on le trouve si petit
et qu'ensuite on mesure le succès et qu'on le trouve énorme, il est
impossible que l'esprit n'éprouve pas quelque surprise. On y
ajoutera le cynisme car, la France, il la foule aux pieds, lui rit au
nez, la brave, la nie, l'insulte et la bafoue ! Triste spectacle que celui
du galop, à travers l'absurde, d'un homme médiocre échappé ".
Victor HUGO, dans " Napoléon, le petit "
Réédité chez Actes Sud
Petit régal lu ce matin
ça m'a fait penser à quelqu'un d'actuel mais impossible de me souvenir de son nom
J'ai bientôt terminé "La part de l'autre" que vous m'aviez conseillé il y a quelques mois mais que je n'ai commencé que la semaine dernière. Livre vraiment intéressant et captivant par moment.
Pour mon prochain livre, je ne savais pas trop quel sujet je pouvais traiter. Finalement, je pense que je vais lire "Racines" d'Alex Haley qui évoque l'esclavagisme Si quelqu'un peut me dire ce qu'il en pense
beyonder a écrit :Suite au de l'ami buk, j'ai lu Viande froide cornichons de Edouard Launet. C'est un recueil de chroniques des suicides les plus ubuesques recensés dans les rapports d'autopsie (y en a des gratinés). L'auteur s'attache à chroniquer les articles des médecins légistes avec un humour à froid qui fait très bien passer la pilule du morbide. Les références et précisions données laissent penser que son travail de recherche est fiable et que ses histoires ne proviennent pas de son imagination ou de légendes urbaines. Dans l'ensemble, c'est assez inégal mais ça se lit sans déplaisir. Et puis dans le genre, rions de la mort, ça se pose là.
Commandé et je le reçois normalement demain, j'ai également pris le "au fond du labo à gauche" du même auteur. Je vous dirais ce que j'en pense et si je dois envoyer mes critiques à Buk et Beyonder
Euh.. on peut lui reprocher plein de choses mais ça.. ses bouquins on y reste scotché du début à la fin relativement facilement
Mais bon je comprends que pour les grandes élites littéraires et leurs fidèles, ça fasse has been et qu'on le dénigre même sur ça
L'aka des mies frencesse doigt mourire madame le corse
J'ai adoré les Fourmis, j'ai adoré les Thanatonautes, j'ai pas trop aimé le reste. Il a un vrai talent d'écrivain pour moi, et un nez certain pour les bonnes histoires. Par contre, effectivement, il fait preuve d'une honnêteté morale relativement contestable, pour ne pas dire qu'il est malhonnête. Il manipule son lectorat, en faisant croire que des théories sont prouvées, et il a une certaine tendance à plagier d'autres ouvrages :-|
Ça relativise pas mal
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
).
Mais j'ai tellement l'impression que c'est pour de mauvaises raisons que ça n'a pas vraiment d'importance)
de l'ami buk, j'ai lu Viande froide cornichons de Edouard Launet. C'est un recueil de chroniques des suicides les plus ubuesques recensés dans les rapports d'autopsie (y en a des gratinés). L'auteur s'attache à chroniquer les articles des médecins légistes avec un humour à froid qui fait très bien passer la pilule du morbide. Les références et précisions données laissent penser que son travail de recherche est fiable et que ses histoires ne proviennent pas de son imagination ou de légendes urbaines. Dans l'ensemble, c'est assez inégal mais ça se lit sans déplaisir. Et puis dans le genre, rions de la mort, ça se pose là.
