*The Book Of The Week*

[MooM]

Le livre est vraiment mieux. C'est bourré de détails, vraiment excellent. Je l'avais lu avant de voir le film (qui effectivement est très bien).

[si-ma-tante-en-avait]

On va dire que je chipote mais j'avais trouvé la fin un peu molle. J'ai l'image du type assis le dos contre un bureau je crois, avec le sang de sa victime sur sa tronche. Il chialait je crois, putain les souvenirs sont vagues. Après y'a une lumiere qui arrive, un peu comme dans Ghost mais c'était un hélico de la police.

[beyonder]

Le film American Psycho souffre énormément de sa comparaison avec le livre. Rien à voir, tant le bouquin va infiniment plus loin dans la profondeur du personnage et la cruauté de sa psyché. Vraiment, le film n'en est qu'une tiède caricature.

[si-ma-tante-en-avait]

Tu peux me faire une fiche de lecture alors ??

[beyonder]

Me tente pas

[Le Vieux Buk]

Le film American Psycho souffre énormément de sa comparaison avec le livre. Rien à voir, tant le bouquin va infiniment plus loin dans la profondeur du personnage et la cruauté de sa psyché. Vraiment, le film n'en est qu'une tiède caricature.

+1000000000, comme écriraient les djeuns

[Jerry]

Tu veux de l'obsédé ? Lis Existe en blanc de Bertrand Blier.

La mécanique des femmes - L.Calaferte

Dans le style, c'est plutôt hardcore aussi je dirai.

Quant à "Les Particules Elementaires", je ne me rappelle pas de quelque chose de particulièrement trash, pas souvenir d'avoir être quelque peu choqué par ce bouquin.

[si-ma-tante-en-avait]

Après avoir simulé sa mort accidentelle, Patrick Lanigan, un avocat brillant, s'est volatilisé avec les 90 millions de dollars destinés à ses associés. Un coup de maître que ses ennemis ne sont pas près de lui pardonner. Au bout de quatre années de cavale, il est rattrapé et torturé par ses poursuivants avant de tomber entre les mains de la justice. Tout le monde veut la peau de Patrick Lanigan, à n'importe quel prix. Mais dans son plan machiavélique, l'avocat a tout prévu... ou presque. "

Me suis payé ce bouquin cet aprèm. Bon à Carrouf y'a pas beaucoup de choix et j'avais la flemme d'aller à la Fnac

[beyonder]

On va dire que je chipote mais j'avais trouvé la fin un peu molle. J'ai l'image du type assis le dos contre un bureau je crois, avec le sang de sa victime sur sa tronche. Il chialait je crois, putain les souvenirs sont vagues. Après y'a une lumiere qui arrive, un peu comme dans Ghost mais c'était un hélico de la police.

C'est une fin ouverte. Il y a un gros doute sur la réalité de ces crimes. Ce qui colle assez avec la thématique de Bret Easton Ellis. Je crois avoir lu une critique qui relève les indices distillés tout au long du livre. En gros, Batemane est un mythomane.

[Le Vieux Buk]

C'est une fin ouverte. Il y a un gros doute sur la réalité de ces crimes. Ce qui colle assez avec la thématique de Bret Easton Ellis. Je crois avoir lu une critique qui relève les indices distillés tout au long du livre. En gros, Batemane est un mythomane.

Pour ma part, je l'avais senti comme ça, en tous cas.

[si-ma-tante-en-avait]

J'ai pas ressenti ça en matant le film. J'attends tjs les fiches de lecture

[G.bédécarrax]

Super bouquin! Mais quelle imagination, aucun être humain ne peut faire des choses si terribles!

[si-ma-tante-en-avait]

Toi t'as jamais assisté à une séance tactique avec Albert Emon

[Le Vieux Buk]

Je ne sais pas qui se cache derrière le pseudo de Ricardo, mais il est évident qu'il a un humour presque digne de celui d'un modo :Cendrillon: :Zorro: :Hommemasqué: :CaptainAmazing:

[Kiskill]

Oui, mais p't'être qu'il sait qui est l'auteur de the house of the rising sun

[Le Vieux Buk]

Tu es cré cré meuchante en Xena

[Kiskill]

IL faut c'qu'il faut pour plaire à House

[Le Vieux Buk]

pas totalement faux

[si-ma-tante-en-avait]

Question du jour : Qu'est ce que la 4iem de couverture ??

[La Baronne]

C'est le cul du bouquin

[beyonder]

Je ne résiste au plaisir de vous faire partager un passage du livre de Luis qui m'a beaucoup amusé. (Si, si, je me permets d'insister)

La période Tapie est un choc. On découvre la corruption ! Mon idéal en prend un sacré coup. Je lis les journaux et découvre ces affaires. Tapie est en plus un type politique, un type qui est censé être un exemple. Et il entraîne des joueurs dans son vice. Je trouve ça terrible. Ce qui se passe à ce moment-là, les affaires, c'est très loin de mes idées. (...) Moi, je reste dans mon monde où par définition tout est beau, tout est propre. (...) Dans le foot français, Tapie correspond pour moi à la fin de beaucoup de d'illusions.

J'ai dû passer à côté de l'ironie du propos


Le bouquin pondu sous forme d'interview - ô combien complaisante - est une sorte d'audit du football, illustré d'anecdotes personnelles. Luis raconte son enfance, son parcours et distribue quelques gentils coups de griffes (Jacquet, l'équipe, Henry, Ronnie, Ginola, Denisot..). Parfois, on se surprend à relire une phrase en essayant d'imaginer Luis la prononcer. Et force est de constater que ça colle pas du tout. Il y a dû avoir un colossal travail de réécriture derrière.
Sinon, il n'y a pas que des conneries dans ce livre, mais disons que ça enfonce des portes grandes ouvertes. J'ai bien aimé le passage où Luis raconte que Platini lui a passé un savon terrible à la mi-temps de France-Brésil 86, à cause d'un ballon perdu qui a failli donner but. Ça rend leur accolade finale d'autant plus touchante.

[Niko]

est ce qu'il est jouor aussi

[G.bédécarrax]

Le bouquin pondu sous forme d'interview - ô combien complaisante -

Le ""journaliste"" responsable de l'interview étant mon grand ami Riolo, difficile d'être surpris

Sinon, on s'en fout mais je lis actuellement la nouvelle de Stephen King dont est issu le film The Mist, nouvelle sans grand intérêt d'ailleurs, et si le titre en est déjà un indice suffisant, c'est vraiment une influence majeure de l'univers de Silent Hill, puisqu'en plus d'une ville de campagne plongée dans la brume, on y trouve une partie du bestiaire (les espèces de ptérodactyles), des personnages (la vieille bigote) et l'idée des routes effondrées donnant sur un précipice. Du coup, ça m'a donné envie de me replonger dans les jeux, ce qui n'est pas une bonne nouvelle

[si-ma-tante-en-avait]

Tu veux nous faire comprendre que ce roman est une fuMISTerie ???

[G.bédécarrax]

Visiblement, j'ai déjà échoué à vous faire comprendre que ce n'était pas un roman

[Le Vieux Buk]

Brume (La Faucheuse et Paranoia) me rappelle de mauvais souvenirs : une sombre histoire de rédaction que j'avais écrite au début des années 80 et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à une nouvelle d'un des 2 bouquins (pas encore sorti à l'époque, donc je ne risquais pas d'avoir pu m'en inspirer)... (c'est à dire : c'est la nouvelle de King qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à ma rédac' )

Même que ma rédac' s'intitulait "le miroir récalcitrant" ... 'men souviens encore...


Quel plagiaire ce SK

[si-ma-tante-en-avait]

J'avais moi aussi écris une rédaction au collège et l'histoire ressemblait furieusement à Tom Sawyer

[G.bédécarrax]

Et ça parlait de quoi, le miroir récalcitrant ?

Moi c'était en 6eme, je m'étais fendu d'un plagiat minable du Petit Prince (qui se finissait par quelque chose comme "je ne l'ai jamais revu, mais il sera mon ami à jamais" ) qui m'avait valu un 18/20, une lecture à toute la classe et les railleries de mes camarades ("Woé la tapette!"). J'en ai toujours honte.

Du coup quelques années plus tard au lycée et en cours d'anglais, j'avais exorcisé ce démon via une rédaction intitulée "The Little Prince's Dying Wish" où je racontais que son père, en plus de le violer régulièrement, le traitait comme un animal de compagnie, au point qu'il vivait nu dans une niche. Rebelotte, lecture au reste de la classe, sauf qu'après ça personne ne s'est foutu de ma gueule. En fait, ils n'étaient plus nombreux à m'adresser la parole

[Le Vieux Buk]

eh oh moi c'était pas un plagiat
(les plagiats, j'en ai fait des tonnes cependant, notamment en détournant des millions de phrases d'Achille Talon qui m'ont fait passer pendant des plombes pour un lettré surnaturel auprès des profs non fans de BD )

... Bref.
(soupir nostalgique)
aaaaaaaaah la lecture de la rédac' devant toute la classe
J'y ai eu droit toute ma scolarité, à chaque fois, et j'avoue que même maintenant je ressens des frissons d'horreur en y repensant
(curieusement, pas du tout parce que j'étais timide-évidemment pas spécialement modeste :-| :peticonva: , ou parce que j'avais peur de la réaction des camarades, en fait c'est juste que je trouvais mes écrits nullissimes et que ça me tuait d'entendre ça à haute voix, j'avais l'impression d'écouter une litanie de maladresses et de poncifs, ça me rendait fou)
(d'ailleurs, c'était certainement une litanie de maladresses et de poncifs, mais borgne, royaume des aveugles, tout ça...)




(Comme on le voit, depuis j'ai beaucoup progressé et j'ai renoncé à ma manie de mettre un maximum de phrases entre parenthèses. :volontédefer: :jarrêtequandjeveux: :pasbaisédepuis83: )
(sauf que non. )



EDIT :

(qui se finissait par quelque chose comme "je ne l'ai jamais revu, mais il sera mon ami à jamais" )

That's good, Dexter, trying to fit in. That's good, son.

[Kiskill]

Brume (La Faucheuse et Paranoia) me rappelle de mauvais souvenirs : une sombre histoire de rédaction que j'avais écrite au début des années 80 et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à une nouvelle d'un des 2 bouquins (pas encore sorti à l'époque, donc je ne risquais pas d'avoir pu m'en inspirer)... (c'est à dire : c'est la nouvelle de King qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à ma rédac' )

Même que ma rédac' s'intitulait "le miroir récalcitrant" ... 'men souviens encore...


Quel plagiaire ce SK

Toi t'as regardé Fenêtre secrete hier

Greg "Shooter" House