Plus grotesque encore que le naming pour moi c'est le gazon synthétique.
Là s'illustre vraiment le raisonnement de si-ma-tante.Un stade moderne coûte trop cher aujourd'hui en-dessous d'une certaine taille (petits championnat, petits clubs) s'il est utilisé que pour le football. Pour le rentabiliser il faut pouvoir mettre n'importe quoi dessus sans abîmer la pelouse et encore mieux pouvoir le fermer. Impossible à moins de trop gros coûts avec du gazon naturel. Et les frais de changer la pelouse sont élevés, même les gros clubs commencent à le calculer.
Gentiment on va réussir à nous expliquer que, malgré qu'il n'y ait jamais eu autant d'argent dans le foot, le foot sur gazon naturel coûte trop cher aujourd'hui. Le naming je peux comprendre dans une certaine limite. Le problème c'est qu'il n'y a jamais de limites à la logique business à court terme.
si-ma-tante-en-avait a écrit :Le naming est le moyen de moderniser les stades, le seul moyen d'ailleurs. Si on refuse le naming, on restera avec ce Vélodrome qui est d'une mocheté.
Tu détestes tellement nos dirigeants que tu commences à trop idôlatrer le père Aulas

C'est quoi le pourcentage que rapporte le naming par rapport à la construction et l'entretien d'un stade moderne? Tu exagères énormément ici pour moi. Ce qui permet de construire un stade généralement c'est plus l'immoblier que le naming qui reste un apport secondaire. Quand au frais de fonctionnement, naming ou pas, le prix des billets augmente.