Heroes 2.01 et 2.02 :
Mouais. bof (comme d'hab). Du plagiat permanent et de plus en plus manifeste d'aînés du genre X-men, Buffy, etc... (comme d'hab bis).
Mais ça se laisse toujours regarder, ceci dit, c'est rythmé, pas mal joué, structuré... Et on a quand même un peu envie de savoir de quoi il retourne.
note annexe : Oh Peter, cousing, t'es cong ou quoi (comme d'hab ter) ? quand ton nouvel "Oïrish Froïnd" te fait son chantage en carton pâte avec la boîte, qu'est-ce qui t'empêche d'envoyer valdinguer ce crétin à travers la pièce et de prendre (ou télékinésifier) la boîte avant qu'elle crame ???
Dexter 2.01 et 2.02 :

Dans la droite ligne de la saison 1, toujours fascinant sur le fond et la forme. Man diou qusé beuon !
Mention spéciale sur toute la fin du 2.02 : "Yes, I Have an addiction" et la réaction de Rita
How i met your mother 3.01 et 3.02 :
Le countdown

...et Robin avec Robin dans ses rêves

...et, bien entendu, toujours autant "d'emprunts" à Friends.
Prison Break 3.01, 3.02, et 3.03 :
Déjà, il faut se dire que c'est la saison 1 d'un show appelé "Prison Break" pour accepter de regarder. Parce que si je repense à ce qui précède dans la storyline, j'ai plus envie d'aller cracher à la gueule de scénaristes qui ont atteint le sommet du foutage de gueule il y a quelques mois (Beyonder avait magnifiquement résumé tout ça, à l'époque)...
Donc, avec ce présupposé "en fait ça c'est la saison 1, la saison 2 il faut oublier, tout peut s'oublier", c'est plutôt correct.
Sauf qu'on m'a dit que Seven avait appelé parce qu'il n'était pas content.
Reaper 1.01 et 1.02
Evidemment, mes potes, Framboise, et moi attendions avec impatience la série fantastico-blaguesque adoubée par Kevin Smith..
...Eh bien, disons qu'on est clairement dans le 3ème degré. Dans le "metageekisme", quoi. A la limite de la mise en abyme, niveau références sur références en références en plans empruntés qui se moquent de plans empruntés, etc... ("'morning Linda Blair..."). Dialogues d'ailleurs ouvertement "Kevin-Smithien-pour-les-networks".
sinon, a priori, la structure narrative et l'argument louchent quand même franchement du côté de Buffy (encore).
Plaisant pour l'instant; à voir si ça va s'améliorer (lire : creuser dans la mythologie de la série et la psychologie des personnages), se dégrader (lire : s'empêtrer dans la hype geek qui se dessine chez tous les blaireaux du monde occidental depuis quelques mois, et s'en contenter

), ou s'éteindre (lire : que la série ne revienne pas après les sweeps).