canto2001 a écrit :ta vie au boulot est un film de jim carrey
Pour l'instant, ca ressemble plus à "un jour sans fin" en fait Du coup, je ne cracherais pas sur des pouvoirs divins ou des pulsions schizophrènes pour pimenter un peu tout ça
Ouah, je viens de découvrir une feature d'enfer! Je voulais rajouter à mon message le quote du texte de canto après que Specie a répondu à celui de squal, et c'est fait automatiquement en cliquant sur "citer" dans les quelques messages d'apercu du sujet
nan mais en fait quand tu racontes ta journée, je t'imagine avec la tete de carrey dans ton box comme dans les films americains, a regarder au dessus discretement
Ralala, les gros clichés sur l'informaticien moyen Dans deux minutes tu vas me dire que je suis gros, mal rasé, célibataire et que les restes froids de la pizza d'hier soir que j'ai embarqué au boulot trainent majestueusement sur mon bureau, entre deux canettes de coca vides et un bouquin de fantasy
C'est plutôt à la cantine ça (pardon, au R.I.E). J'ai surtout la trouille d'une nana qui était vraisemblablement dans ma classe au lycée (ce qui est plutôt improbable, je bosse à 1h30 de mon lycée et elle était trop conne pour bosser dans un domaine où on met des tailleurs ), je vis à chaque fois dans la peur qu'elle me reconnaisse quand je me dirige vers le stand des steack-frites
Heureusement, elle à l'air de m'avoir oublié (ca arrive ), et en plus, ca occupe mes repas de me demander s'il s'agit d'une soeur jumelle ou si elle est juste devenue amnésique.
La Baronne a écrit :Bon les jeunes, moi j'vais me faire mon Koh-Lanta à moi...
Demain, j'passe des sélections avec Nagui...
J'vais devenir plus célèbre que le plus célèbre des gens de ce forum...
Wish me good luck...
Hé ! J'avais voulu participer aussi, mais fallait monter à Paris, au dernier moment, c'était trop galère.
Bonne chance ! Surtout que je suis bientôt de nouveau au chômage, je vais pouvoir suivre assidûment tes exploits !
J'avais lu un truc, hoax or not, qui disait que le lien de soutien pour l'emission était en fait un paravent pour un réseau de prostitution albanais. Si tu aimes l'emission mais aussi les putes, n'hésite pas à cliquer.
edit: bien entendu ce message ne concerne pas Tatt's vu qu'il aime les putes, l'emission et Cana
J'ai mieux... niveau grève. Semaine du transport dans la région cette semaine avec normalement transport en bus gratuit dans les agglos qui ne le font pas déjà. Préavis de grève pour Jeudi...
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçait la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adorait les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.
II
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre,
Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre
A poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois,
Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois,
Sans ses deux louveteaux la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
A ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.
Hélas ! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes,
Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes !
Comment on doit quitter la vie et tous ses maux,
C'est vous qui le savez, sublimes animaux !
A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse
Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! je t'ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. "
stella a écrit :Un p'tit bonjour en passant
J'ai déjà envie d'être en vacances, c'est normal? et même pas un petit jour de grève de prévu à l'horizon tout se perd
ca sort de 2 voir 3 mois ded vacances et ca se plaint ah elle est belle l'education nationale, je ne vous félicite pas madame
Ah nan mais c'est mort là, elle tourne en boucle depuis 5 minutes et parti comme c'est, elle va me faire la semaine Et pourtant, Dieu ce que j'ai pu détester les colo ...