Le jour de la sortie en salle de ce « Star Wars » turc, plusieurs centaines d'entre eux, en grande tenue d'apparat, soit en maillot du Besiktas floqué du n°21 et fumigènes en main, ont ainsi envahi les cinémas de ce quartier d'Istanbul.
L'équipe a écrit :
Après les déclarations très critiques de Sidney Govou, Juninho a répondu par presse interposée. En vacances au Brésil, l'ancien international auriverde met les choses au clair et veut une explication. L'ambiance risque d'être tendue lors de la reprise de l'entraînement...
Le retour de vacances risque d'être bouillant à Lyon. Alors que l'OL vient d'enregistrer les signatures de Bodmer et Keita, un autre sujet se charge de remplir les colonnes des quotidiens. Et pas des moindres... Le torchon brule entre deux cadres des sextuples champions de France : Sidney Govou et Juninho. Après avoir été égratiné dans la presse par son coéquipier pour notamment sa starisation, le Brésilien n'a pas tardé à réagir. Et règle ses comptes par voie de presse. "Govou ne doit se cacher derrière les autres et doit dire qui sont ces joueurs. Qu'il donne les noms ( ndrl :des joueurs mécontents)", s'emporte Juni dans le bihebdomadaire France Football.
Petit rappel des faits : dans le mensuel Lyon Mag paru le 8 juin, Sidney Govou avait lâché une vraie bombe. Interrogé sur les tensions au sein du vestiaire rhodanien, le milieu de terrain n'est pas passé par quatre chemins. Et il a désigné un joueur en particulier : son capitaine. "Le club a eu du mal à gérer les ego. D'où plusieurs problèmes relationnels dans l'équipe. Et le plus important concerne le rôle de Juninho", déclare Govou pour expliquer la baisse de régime des Gones au début de l'année 2007. "A partir du début de saison, Gérard Houllier et Jean-Michel Aulas ont décidé de proclamer Juninho star de l'équipe. Moi je m'en fous, mais ça a posé de gros problèmes à beaucoup de joueurs importants de l'équipe" , poursuit-il.
"Qu'il donne des noms"
Du lourd et pourtant l'international tricolore, qui a débuté sous le maillot lyonnais lors de la saison 1999-2000, ne s'est pas arrêté là. Il en a remis une couche : "Depuis des années, on formait une vraie famille à Lyon, mais cette saison, ça n'a plus été le cas. Il y a eu davantage de comportements égoïstes. En grande partie à cause de ce problème autour de Juninho", répète le joueur. Alors bien sûr, au vue de l'ampleur pris par cette affaire, Govou n'a pas tardé à démentir. "Les propos que l'on me prête ne sont que pure invention", assure-t-il. Mais voilà, le mal est fait.
En vacances au Brésil, Juninho n'a pas caché son mécontentement. "Si je le comprends bien, il prétend que certains joueurs seraient jaloux de moi en raison de mon prétendu statut de star (...). Ce n'est pas une mentalité de grand joueur de penser et de dire de telles choses ", a estimé le capitaine rhodanien dans France Football. Et il n'hésite pas à réclamer des explications : "Qu'il donne des noms! L'idéal serait que les joueurs parlent. Il faut écouter le nouvel entraîneur, écouter Govou. Et je le répète: il faut qu'il ait du cran, de la personnalité, et qu'il accepte de venir en public et de donner des noms". La reprise de l'entraînement du 2 juillet s'annonce tendue...
De mieux en mieux....
-- Quand les amoureux se ramassent à la pelle...
-- Toutes les feuilles mortes se marrent entre elles...
Nota : Ce qui déroute le plus les femmes, c'est d'avoir affaire à un éjaculateur précoce qui fait l'autruche.
Victoire de Boca (3-0 , 2-0) en finale de la Libertadores
L'équipe a écrit :Et de six ! Boca Juniors a remporté pour la sixième fois de son histoire (1977, 1978, 2000, 2001, 2003 et 2007) la Copa Libertadores après sa victoire mercredi soir à Porto Alegre contre le Gremio en finale retour (2-0). Au match aller, le club argentin l'avait déjà largement emporté (3-0). L'Argentine s'octroye ainsi le trophée pour la 21e fois et le club Xeneize se rapproche à une victoire d'Indepediente, tenant du record avec sept succès.
Alors qu'une réaction voir même un renversement de vapeur du Gremio était attendu au Stade Olympique de Porto Alegre par 50 000 supporters, c'est Boca qui a encore fait la loi. Une nouvelle fois, le meneur de jeu de Boca Juan Roman Riquelme a été le grand artisan de la victoire. Buteur et passeur décisif il y a une semaine à La Bombonera, il a encore été le grand homme du match. En forme internationale, l'ancien joueur du Barça pourrait refaire son retour en équipe nationale, lui qui avait mis un terme à sa carrière avec l'Albiceleste en juillet dernier après la Coupe du monde. Sa participation à la Copa America, qui débute le 26 juin au Venezuela, serait même envisagée.
Riquelme a fait plier la concurrence avec un doublé à la clé pour son dernier match avec Boca avant son retour de prêt prévu à Villarreal. Il a donc offert une victoire de prestige à son club de coeur et a inscrit le premier but à vingt minutes de la fin. Son premier but est un petit bijou du genre. A l'entrée de la surface et excentré côté droit, Riquelme a trompé la vigilance du gardien du Gremio d'un tir puissant en pleine lucarne (69e). Il a récidivé pas moins de neuf minutes plus tard en reprennant aux six mètres un centre venu de la droite de Rodrigo Palacio (78e), inscrivant au passage son huitième but dans cette compétition.
L'addition aurait pu être plus lourde pour le club brésilien si le capitaine de Boca Martin Palermo n'avait pas manqué un penalty à la 85e minute. Palermo n'excelle décidément pas dans cet exercice, lui qui est bien connu pour avoir raté trois penalties lors d'un match de la Copa America contre la Colombie en 1999. Nerveux, les joueurs du Gremio n'ont jamais su se hisser à la hauteur de l'événement. La meilleure occasion des Brésiliens est à mettre au profit de Diego Souza, qui a trouvé la transversale juste avant la pause. - D. Mi.
"Lorsque le conseil de surveillance lui demanda pourquoi Mandanda gagnait plus que Samassa alors qu'il avait marqué moins de buts que lui, Pape Diouf fut soudain pris d'une grande lassitude..."CDF
La meilleure recrue de lens c'est Guy Roux. J'etais tres curieux de voir ce qu'il pouvait faire ailleurs qu'a Auxerre. C'est fait. C'est bien. (un peu comme Seb)
Un article intéressant sur les cahiers du foot, imaginant une Ligue 1 Orange à la mode Argentine, mode selon laquelle on aurait gagné un titre l'année dernière
Foot - DNCG - Angers et Sannois rétrogradés Angers venait d'obtenir sportivement son ticket pour la L2. La Direction nationale du contrôle de gestion en a décidé autrement. Le club a été rétrogradé administrativement en CFA vendredi. Même sanction pour un autre club de National, Sannois-Saint-Gratien. Dans un communiqué publié sur le site de la Fédération française, la DNCG n'a pas précisé les raisons de la sanction. Le club d'Angers, qui a fait appel de cette décision, doit passer devant la commission d'appel le 28 juin.
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
C'est dommage pour le département de Maine-et-Loire car c'est une vrai terre de foot avec d'excellents clubs amateurs que ce soit à Saumur, Doué ou Longué, des équipes de jeunes très performantes et surtout des installations partout très au-dessus de la moyenne.
Hollande champion d'Europe des - de 21 ans Pas mal de bons joeuurs sur cette compét' suivi sur Eurosport anglais ( sans commentaires! ).
Ca jouait pas mal