Tof a écrit :Lol on a tous plongé comme des bleus bien joué piX

http://www.youtube.com/watch?v=NT3z-WbjO5MTotor a écrit :
Sinon, sacré bordel à Valence avec bastons de folie sur le terrain et dans les vestiaires![]()
[/quote]Joker a écrit :Bon je m'excuse d'avance mais je viens de trouver ça sur OLForum...
Bon c'est minable, pas bien, tout ça...mais là je suis tordu de rire devant mon PC depuis 5 min avec cette phraseaulas la coupe aux grandes oreilles tu peux l'avoir en allant chez ol coiffure
moi chaime bien la violenche dans le footeballch quand c'est fait de cette fachon (en gros pas à la Fred), quand cha commence au rond central pour finir dans les vestiaires (parcontre chaime moins les mecs qui courent comme des lapins pour éviter les coups)Tof a écrit :Quelqu'un sait ce qu'il s'est passé entre Valence et l'Inter pour que ça dégénère ainsi?
Il a vraiment dit ça??beyonder a écrit :Aulas a trouvé la parade. " Les grands sont tombés Barça, l'Inter et nous. " On s'incline face à tant de mauvaise foi.
je sais pas si c'est c'est sérieux mais ce qui est certain c'est que Reveillère est enrhumé aujourd'huipascom a écrit :Sérieux?Tot a écrit :Declaration d'Houiller "Reveillère a commis un crime contre l'équipe, je répète, un crime contre l'équipe."
oui mais en remplaçant "réveillère" par "ginola"pascom a écrit :Sérieux?Tot a écrit :Declaration d'Houiller "Reveillère a commis un crime contre l'équipe, je répète, un crime contre l'équipe."
Foot - C1 - Lyon «La manière laisse perplexe»
mer 07 mar, 01h15
Pour notre consultant Angel Marcos, Lyon a autant manqué son huitième de finale de Ligue des champions que l'AS Roma a gagné le sien (0-2). « La différence était trop grande entre Lyon et Rome, mardi. Rome était plus technique, mieux en place tactiquement, plus à l'aise collectivement et individuellement. La différence était tellement grande qu'on a du mal à croire qu'en face, il s'agissait de Lyon. Avant le match aller, j'avais souligné la qualité de cette équipe romaine en me fondant sur l'observation de son match de Coupe d'Italie contre l'AC Milan (3-1). Mais le manque de motivation de Milan, et le fait que cette équipe laisse plus jouer son adversaire que Lyon, pouvaient en partie expliquer cette emprise sur le jeu. Réaliser la même chose contre Lyon n'était pas gagné d'avance. Pour battre Lyon, il faut presser, l'obliger à jouer long. C'est difficile. A contrario, le Lyon de la première phase semblait capable d'empêcher la Roma de développer ce jeu qui part de loin. Mais les adversaires étaient différents, et cette vérité est cruelle à constater aujourd'hui.
Il y a peu d'équipes qui, comme la Roma, prennent autant de risques très bas dans le terrain. On a vu Mexès, dos au but, réaliser une feinte dans sa propre surface... La Roma a joué dans un état de tranquillité qui l'a rendue injouable. Car non seulement l'équipe fait tourner le ballon, mais en plus elle va au bout de ses actions, comme à l'entraînement. Le plus étonnant, c'est cette impression d'aller lentement, mais cela fonctionne car c'est une équipe technique, adroite, qui manie bien le contrepied, se déplace collectivement, utilise la largeur. Après, il y a la qualité de Totti pour déclencher les attaques grâce à son sens du placement. Lyon était très très loin de pouvoir dérégler tout ça.
Les deux buts illustrent parfaitement cette supériorité. Sur le premier, Mexès prend un risque sur le ballon initial en piquant sa passe au-dessus de Fred, vers Chivu. Celui-ci passe au latéral gauche Tonetto qui centre sur Totti. Trois défenseurs participent à l'action avec précision et prise de risque. Cette action était un risque considérable à 0-0, et pas contre l'équipe du coin. Une telle confiance ne peut se développer qu'avec un entraîneur très exigeant, une vraie philosophie de jeu. Le deuxième but part à 90 mètres du but de Coupet. Pizarro récupère, réalise une feinte de dribble, passe à gauche, puis le jeu change de côté, et on arrive aux dribbles de Mancini. C'est un but sans accélération, le résultat d'une maîtrise collective et d'un savoir-faire étonnants.
Le tournant de ce duel est intervenu sur le plan psychologique à la première mi-temps du match aller. Au début, la Roma avait peur de Lyon. Elle jouait de façon timorée. Puis elle a vite compris que ça valait la peine de tenter. Elle a pris le ballon en deuxième période, sans se créer de vraie occasion, mais cela lui a donné la certitude qu'elle pouvait maîtriser les événements contre l'OL. Et à Lyon, elle a fait une démonstration. Difficile de dire dans quelle mesure Lyon a raté son match, mais l'équipe s'est heurtée, tout de suite, à un problème de rythme. Lyon n'a jamais imposé le sien, a été nerveux et impatient dès le départ. Avec un bon arbitre, l'OL terminait à neuf. Son jeu était poussif. L'équipe a étalé une incapacité à contrer les actions de la Roma au départ. Lyon n'a jamais pu jouer dans les quarante derniers mètres comme c'était nécessaire. Il faut bien constater qu'en dehors de son match contre Saint-Etienne (3-1), Lyon n'y arrivait plus, récemment.
Lyon peut constater que se faire éliminer à ce niveau, ça peut arriver. Barcelone subit la même chose. Mais la manière laisse perplexe. Au bout de dix minutes, j'ai revécu les mauvais moments de Lyon - PSV Eindhoven, il y a deux ans (1-1), quand l'adversaire maîtrisait le rythme du jeu et que Lyon était contraint à pousser, plutôt qu'à véritablement jouer. C'était encore plus net cette fois, car la qualité de la Roma semble supérieure. Lyon a toujours réagi après ses précédentes éliminations, mais celle-ci est plus inquiétante que les autres. »
Espérons qu'Emon arrivera à surmonter cette difficulté d'ici dimancheA. Marcos a écrit :Pour battre Lyon, il faut presser, l'obliger à jouer long. C'est difficile.
C'etait une boutade evidemment en reference a Ginola 1993pascom a écrit :Sérieux?Tot a écrit :Declaration d'Houiller "Reveillère a commis un crime contre l'équipe, je répète, un crime contre l'équipe."
( http://www.football365.fr/infos_clubs/l ... ins-.shtml )Ils sont fous ces Romains !
mercredi 07 mars 2007 - 02 h 48 - David AIELLO
Comme ses joueurs, le public de Gerland n'a pas été à la hauteur de l'événement face à la Roma. Malgré une belle réaction après le but de Totti, les supporters de l’OL n'ont jamais transcendé leur équipe.
C'est un grand classique : Lyon a la réputation d'être une ville froide. On espérait donc qu'à l'occasion de cet alléchant OL-AS Rome, la cité du président Aulas saurait se transcender pour porter son équipe vers le grand huit européen. Mais les clichés ont la peau dure et il aura fallu attendre l'ouverture du score des Romains pour que les Lyonnais se décident enfin à jouer leur rôle de douzième homme dans cette rencontre.
Avant cela ? Une ambiance feutrée en tribune latérale et deux virages présents, mais sans plus. En témoigne la présentation des équipes. A l'applaudimètre, seuls Juninho et Cris ont droit à un accueil remarquable. Tout comme Francesco Totti, « accueilli » en star internationale et, sans doute, en danger numéro un par le Kop virage Nord. Mais il en faudrait bien plus pour impressionner le capitaine de la Roma, habitué des ambiances volcaniques de la Série A. Pas sûr non plus que l'orignal mais présomptueux tifo « Veni, Vedi e Perdi » des Bad Gones ait eu un quelconque effet sur l'idole de l'Olimpico. Son coup de tête rageur de la 23eme minute a en tout cas eu le mérite de réveiller Gerland... Pour un temps.
Car l'ahurissant but de Mancini juste avant le repos aura lui l'effet inverse. Sauf bien sûr pour les 2 500 supporters romains (dont 300 sont curieusement positionnés dans le Bloc A, en compagnie d'un public lyonnais familial) qui peuvent alors exploser et exhiber une banderole flanquée du sigle historique de la ville : SPQR. Sa signification contemporaine ? Sono Pazzi Questi Romani. En français dans le texte : ils sont fous ces Romains. Ca ne s'invente pas et les beuglements incessants des journalistes italiens en tribune de presse en sont la preuve. Au retour des vestiaires, la folie est enfin lyonnaise sur le terrain mais hélas, le public ne suit que par intermittence. Dommage, l'OL aurait bien eu besoin du soutien inconditionnel des 39 260 spectateurs présents pour ébranler la Roma.