Cinéma... Tchi Tcha !
- beyonder
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Le pire de Penn demeure quand même cette chose infame qu'est L'interprète. Après Mystic a des arguments, même si j'ai du mal avec le côté grimacieux de sa performance. Et ouaich, n'est pas Daniel Day Lewis qui veut. Mais je veux bien tout pardonner à Sean Penn, parce que comme réalisateur, c'est un faiseur de miracles.
Telle était sa malédiction : né idiot mais pas assez idiot pour garder espoir.
- si-ma-tante-en-avait
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Bon, je vous ai déjà suffisamment fatigués avec Nanarland et cie mais cette fois, ca concerne notre club 
Résumé des épisodes précédents : Turkish Star Wars, nanar de S.F turc improbable et fauché, peuplé de mannequins en mousse, de sbires biomanesques, de musiques d'Indiana Jones et de turcs bondissants, devenu culte à peu près partout.
25 ans plus tard, et alors que plus personne n'y croyait, vient à sortir sa suite. Apparemment moins fauchée et candide (car parodie volontaire du nanar involontaire qu'était le premier volet), elle ne vaut visiblement pas tripette à quelque degré que ce soit ...
... Sauf que :!: Au milieu d'ex-futures gloires et de futures ex-stars du cinéma turc, un jeune acteur français fait ses premiers pas de comédien. Et ce jeune acteur devrait suffire à multiplier par 1000 le coefficient nanardesque du film, puisque ce n'est autre que ...

Manque de bol, ce film risque de rester bien longtemps introuvable, et la Ligue 1 Orange va ignorer sa plus grande réussite

Résumé des épisodes précédents : Turkish Star Wars, nanar de S.F turc improbable et fauché, peuplé de mannequins en mousse, de sbires biomanesques, de musiques d'Indiana Jones et de turcs bondissants, devenu culte à peu près partout.
25 ans plus tard, et alors que plus personne n'y croyait, vient à sortir sa suite. Apparemment moins fauchée et candide (car parodie volontaire du nanar involontaire qu'était le premier volet), elle ne vaut visiblement pas tripette à quelque degré que ce soit ...
... Sauf que :!: Au milieu d'ex-futures gloires et de futures ex-stars du cinéma turc, un jeune acteur français fait ses premiers pas de comédien. Et ce jeune acteur devrait suffire à multiplier par 1000 le coefficient nanardesque du film, puisque ce n'est autre que ...


Manque de bol, ce film risque de rester bien longtemps introuvable, et la Ligue 1 Orange va ignorer sa plus grande réussite

- Kieros
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[merci google] 'Tain, c'est pas des conneries en plus
[/merci google]
J'viens de voir la bande annonce sur leur site officiel, il a une voix de gonzesse c'est émorme
On dirait Chris Tucker dans Le 5ème Element
Nouma



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G.Bédécarrax a écrit :Bon, je vous ai déjà suffisamment fatigués avec Nanarland et cie mais cette fois, ca concerne notre club
Résumé des épisodes précédents : Turkish Star Wars, nanar de S.F turc :




Je me suis procuré de façon illicite le Star Wars turc mais quand j'ai commencé à regarder des extraits ça m'avait l'air tellement mauvais que je suis pas allé plus loin. Alors un nanar ok, mais il y a des limites à ne pas depasser.



- Kieros
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Regarde juste les 5 premières minutes, avec les "pilotes" sur les tabourets devant l'écran de Star Wars, le reste n'a aucun interet



- malachi
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Mouai j'ai vu aussi The Host et j'ai été plutôt déçu, la première apparition du monstre est plutôt pas mal mais sinon...
A part ça je voulais me commander A Bittersweet life en DVD avec mon bon de réduction de 5 euros (
) sur 2xmoinscher valable sois disant jusqu'au 31 décembre mais ils me disent qu'il est perimé 

A part ça je voulais me commander A Bittersweet life en DVD avec mon bon de réduction de 5 euros (




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The Departed est un film de mauvais garçons. On y parle de travers, on se cogne pour un rien et on se flingue sans sommation. Dans cet univers pourri jusqu'à la moelle, la différence entre flics et truands ne saute pas franchement aux yeux. Et la lutte contre le crime organisé prend des airs de querelles de boutiquiers. Comme l'assène Costello dans une réplique dogmatique " when you're facing a loaded gun, what's the difference ? " Les connections sont troubles, les relations ambigues et la frontière entre bien et mal sur laquelle Costigan et Sullivan livrent leur numéro de funambules, s'avère des plus ténues.
Comme pour Infernal Affairs, le premier tiers du film présente les enjeux dans un salmigondis de scénettes décousues où les personnages surnagent tant bien que mal en se marchant sur la tronche les uns des autres. C'est à celui qui existera le mieux ou le plus, au détour de scènes affligeantes, torchées à la truelle (Dignam pétomane sponsorisé par Bigard.) La musique envahissante n'aide pas à prendre cette bouillie au sérieux et la trivialité des dialogues apportent une tonalité puérile à l'ensemble, comme des gosses dans une cour de récré qui rivalisent d'obscénité pour paraître plus durs qu'ils ne le sont. Et pour ne pas enfoncer le clou rouillé trop profond dans cette planche pourrie, je passe rapidement sur les incohérences criardes qui font passer Costello pour un débile profond, sur le triangle amoureux indigne d'un Hollywood Night ou encore sur le petit jeu du chat et de la souris entre Sullivan et Costigan, qui prend des airs de Itchy et Scratchy tant la subilité a un train de retard.
Finalement, il ressort que The Departed est trop long. Que la majorité des personnages ne sert à rien. Que toutes tentatives de suspense ou d'intrigue glisse comme un pet sur de la toile cirée. Que Nicholson ne sait décidément pas jouer. Que le final confine à l'absurde et que le film tout entier est dépourvu de la moindre portée dramatique. The Departed, premier cartoon live où les personnages se trucident pour de faux et ou le public se fait chier pour de vrai.

Comme pour Infernal Affairs, le premier tiers du film présente les enjeux dans un salmigondis de scénettes décousues où les personnages surnagent tant bien que mal en se marchant sur la tronche les uns des autres. C'est à celui qui existera le mieux ou le plus, au détour de scènes affligeantes, torchées à la truelle (Dignam pétomane sponsorisé par Bigard.) La musique envahissante n'aide pas à prendre cette bouillie au sérieux et la trivialité des dialogues apportent une tonalité puérile à l'ensemble, comme des gosses dans une cour de récré qui rivalisent d'obscénité pour paraître plus durs qu'ils ne le sont. Et pour ne pas enfoncer le clou rouillé trop profond dans cette planche pourrie, je passe rapidement sur les incohérences criardes qui font passer Costello pour un débile profond, sur le triangle amoureux indigne d'un Hollywood Night ou encore sur le petit jeu du chat et de la souris entre Sullivan et Costigan, qui prend des airs de Itchy et Scratchy tant la subilité a un train de retard.
Finalement, il ressort que The Departed est trop long. Que la majorité des personnages ne sert à rien. Que toutes tentatives de suspense ou d'intrigue glisse comme un pet sur de la toile cirée. Que Nicholson ne sait décidément pas jouer. Que le final confine à l'absurde et que le film tout entier est dépourvu de la moindre portée dramatique. The Departed, premier cartoon live où les personnages se trucident pour de faux et ou le public se fait chier pour de vrai.

Telle était sa malédiction : né idiot mais pas assez idiot pour garder espoir.
- butterfly15
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Copain de Beyonder
- Je rentre à la maison je bouffe un truc vite fait et je vais au ciné pour la séance de 20H30. Je vais sans doute voir The Departed, t'en penses quoi??
Beyonder qui répond
-The Departed est un film de mauvais garçons. On y parle de travers, on se cogne pour un rien et on se flingue sans sommation. Dans cet univers pourri jusqu'à la moelle, la différence entre flics et truands ne saute pas franchement aux yeux. Et la lutte contre le crime organisé prend des airs de querelles de boutiquiers. Comme l'assène Costello dans une réplique dogmatique " when you're facing a loaded gun, what's the difference ? " Les connections sont troubles, les relations ambigues et la frontière entre bien et mal sur laquelle Costigan et Sullivan livrent leur numéro de funambules, s'avère des plus ténues.
Comme pour Infernal Affairs, le premier tiers du film présente les enjeux dans un salmigondis de scénettes décousues où les personnages surnagent tant bien que mal en se marchant sur la tronche les uns des autres. C'est à celui qui existera le mieux ou le plus, au détour de scènes affligeantes, torchées à la truelle (Dignam pétomane sponsorisé par Bigard.) La musique envahissante n'aide pas à prendre cette bouillie au sérieux et la trivialité des dialogues apportent une tonalité puérile à l'ensemble, comme des gosses dans une cour de récré qui rivalisent d'obscénité pour paraître plus durs qu'ils ne le sont. Et pour ne pas enfoncer le clou rouillé trop profond dans cette planche pourrie, je passe rapidement sur les incohérences criardes qui font passer Costello pour un débile profond, sur le triangle amoureux indigne d'un Hollywood Night ou encore sur le petit jeu du chat et de la souris entre Sullivan et Costigan, qui prend des airs de Itchy et Scratchy tant la subilité a un train de retard.
Finalement, il ressort que The Departed est trop long. Que la majorité des personnages ne sert à rien. Que toutes tentatives de suspense ou d'intrigue glisse comme un pet sur de la toile cirée. Que Nicholson ne sait décidément pas jouer. Que le final confine à l'absurde et que le film tout entier est dépourvu de la moindre portée dramatique. The Departed, premier cartoon live où les personnages se trucident pour de faux et ou le public se fait chier pour de vrai.
copain de Beyonder
- Ah quand meme, il est déja minuit passé dis donc.
- Je rentre à la maison je bouffe un truc vite fait et je vais au ciné pour la séance de 20H30. Je vais sans doute voir The Departed, t'en penses quoi??
Beyonder qui répond
-The Departed est un film de mauvais garçons. On y parle de travers, on se cogne pour un rien et on se flingue sans sommation. Dans cet univers pourri jusqu'à la moelle, la différence entre flics et truands ne saute pas franchement aux yeux. Et la lutte contre le crime organisé prend des airs de querelles de boutiquiers. Comme l'assène Costello dans une réplique dogmatique " when you're facing a loaded gun, what's the difference ? " Les connections sont troubles, les relations ambigues et la frontière entre bien et mal sur laquelle Costigan et Sullivan livrent leur numéro de funambules, s'avère des plus ténues.
Comme pour Infernal Affairs, le premier tiers du film présente les enjeux dans un salmigondis de scénettes décousues où les personnages surnagent tant bien que mal en se marchant sur la tronche les uns des autres. C'est à celui qui existera le mieux ou le plus, au détour de scènes affligeantes, torchées à la truelle (Dignam pétomane sponsorisé par Bigard.) La musique envahissante n'aide pas à prendre cette bouillie au sérieux et la trivialité des dialogues apportent une tonalité puérile à l'ensemble, comme des gosses dans une cour de récré qui rivalisent d'obscénité pour paraître plus durs qu'ils ne le sont. Et pour ne pas enfoncer le clou rouillé trop profond dans cette planche pourrie, je passe rapidement sur les incohérences criardes qui font passer Costello pour un débile profond, sur le triangle amoureux indigne d'un Hollywood Night ou encore sur le petit jeu du chat et de la souris entre Sullivan et Costigan, qui prend des airs de Itchy et Scratchy tant la subilité a un train de retard.
Finalement, il ressort que The Departed est trop long. Que la majorité des personnages ne sert à rien. Que toutes tentatives de suspense ou d'intrigue glisse comme un pet sur de la toile cirée. Que Nicholson ne sait décidément pas jouer. Que le final confine à l'absurde et que le film tout entier est dépourvu de la moindre portée dramatique. The Departed, premier cartoon live où les personnages se trucident pour de faux et ou le public se fait chier pour de vrai.
copain de Beyonder
- Ah quand meme, il est déja minuit passé dis donc.
- beyonder
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- Localisation : Ardecha liura !
Pareil, le 6 est vraiment horriblesi-ma-tante-en-avait a écrit :1, 2, 3 et 4, un pur régal. J'étais à fond et je pense que je pourrais encore les revoir avec plaisir mais le 5 avec Tommy Morrison (champion du monde éphémere malade du sida le pauvre) fut à mes yeux une belle daube.
Le dernier Rocky est dans la meme lignée.

Avec un deroulement du combat toujours plus réaliste

La technique de Stallone encore plus poussée: crochet du droit, crochet du droit et... crochet du droit, une garde déjà morte qui ne se rend pas, un jeu de jambe.. euh non

Et ca ferait presque oublier les merveilleuses repliques stalloniennes, toujours aussi fournies en allégories très recherchées sur.. la boxe

AMHA - ⠠⠁ ⠠⠍⠕⠝ ⠠⠓⠥⠍⠃⠇⠑ ⠠⠏⠥⠞⠁⠊⠝ ⠙⠄⠠⠁⠧⠊⠎