Merci parce que j'ai encore fait un bidesi-ma-tante-en-avait a écrit :Je quoteThe Big Blue de malibu a écrit :Allah Krachbar

attila2001 a écrit :le libération du jour a écrit :Un pharmacien au chevet de l'OM
Par Gilles DHERS
Financièrement assainie, la Ligue 1 deviendrait-elle capitalistiquement attractive ? Selon l'Equipe de samedi, la DNCG, cet organisme de contrôle de gestion que la France souhaiterait voir exporter dans toute l'Europe, s'apprêterait à accorder un satisfecit à la Ligue 1 qui, globalement, présenterait un résultat net comptable positif (25 millions d'euros) à l'issue de la saison dernière, après cinq ans passés dans un rouge parfois vif (plus de 150 millions d'euros de déficit pour 2002-2003). Les 600 millions d'euros annuels mis sur la table par Canal + depuis la saison dernière, en échange de l'exclusivité des droits télé de Ligue 1, expliquent en grande partie cette santé financière retrouvée. Bon, comme il ne faut quand même pas déconner, l'OM et le PSG ne sont pas concernés, qui affichaient, à l'issue de la saison dernière, des pertes respectives de 10 et 12 millions d'euros.
Effarés. L'OM et le PSG, agents d'ambiance du championnat de France, font justement l'objet de rumeurs de reprise. Quoique, concernant le PSG, il ne s'agisse pas de rumeurs ni à proprement parler de reprise. En rachetant le club en début d'année, Colony Capital, Morgan Stanley et Butler Capital Partners avaient annoncé qu'ils chercheraient rapidement de nouveaux actionnaires. En attendant de trouver des pigeons prêts à investir dans un club qui collectionne les résultats que l'on sait avec les supporteurs que l'on connaît, les nouveaux actionnaires du club ont découvert, un peu effarés, que dans le foot français on payait les joueurs pour jouer et pas pour gagner. Ils ont décidé de changer les règles du jeu, comme le révélait Libération samedi.
Pour l'OM, on est bien sûr dans le plus théâtral, le plus mystérieux, le plus grand-guignolesque, le plus marseillais quoi, puisque, après y avoir perdu à peu près 200 millions d'euros et sa crédibilité, et y avoir gagné une condamnation à de la prison avec sursis dans le procès des comptes du club, Robert Louis-Dreyfus songerait à abandonner le barnum. A qui ? A quel prix ? Mystère. Un mafieux russe ? Un émir aux poches pleines de pétrodollars ? Un trader yankee ? Un tycoon poméranien ? A l'Association amicale des amateurs d'andouillette authentique ?
Pharmacie. Non, à la lecture de l'Equipe d'hier, on apprend que le candidat jugé le plus sérieux par Louis-Dreyfus serait un Canadien nommé Jack Kachkar, PDG d'une société de produits pharmaceutiques (bonjour l'image de marque dans le sport), qui viendrait avec Sven-Göran Eriksson, ex-coach de l'Angleterre, dans ses bagages. Et si, finalement, l'investisseur le plus évident pour Marseille, celui qui présentait le plus de synergie avec l'OM, était tout simplement Disneyland...
Je pensais à ça aujourd'hui, je me disais qu'un bon ruskov des familles a certainement de quoi tenir tête à tous les parasites qui nuisent au club. Il déboulerait avec sa propre mafia et renverrait tout un tas de connards briser leur mer ailleurs.Boor a écrit :
En revanche, si le repreneur a fait ses preuves dans le pétrole en Russie, je crois que la question ne se pose pas
bon ca vaut ce que ca vaut, desolé, j'assumerai mon carton si j'en ai un :
voila, entendu sur RMC a la mi temps de lyon-nancy : Thierry De La Brosse, directeur financier de l'OM, aurait confirmé que le club était à vendre : 150 millions d'euros pour l'achat + 150 autres en investissements dans le club seraient les conditions de cession du club par RLD...
Alors que c'est plutôt 70 et que s'il le revend, il va se faire une marge énorme avec tous les contrats qu'il en a retiréJester a écrit :Vous rigolez mais dans l'esprit des gens et au vue de ce que raconte les médias je connais des tas d'amoureux de l'OM qui pensent que RLD a PERDU 200M€ dans l'OM
En attendant ça sent le fumier pour anigo, qui reste pourtant officiellement confiant sur les intentions sexuelles de RLDRobert Louis-Dreyfus, l'actionnaire principal de l'OM, prend son temps pour étudier les offres. Sa préférence irait bien vers le Canadien Jack Kachkar. La décision pourrait intervenir courant janvier.
"Le principe de la vente est acquis. La décision sera prise... S'il y a un repreneur solide !" Un proche de l'OM résumait ainsi hier soir l'avancement des tractations autour de la reprise du club phocéen. D'après nos dernières informations, la piste menant à l'homme d'affaires américain George N. Gillett n'aurait pas les faveurs de Robert Louis-Dreyfus, comme de ses principaux conseillers. Plusieurs offres de rachat ont bel et bien été adressées depuis les derniers mois. Avec en particulier celle émanant du Canadien Jack Kachkar, PDG d'une société de produits pharmaceutiques. "C'est bien lui qui a les faveurs de Robert Louis-Dreyfus", confirme ce proche, à Marseille, de l'actionnaire principal de l'OM.
"Pour nous, il n'y a rien de concret"
"Le dossier Gillett a surtout été relayé par l'entraîneur Sven-Goran Eriksson (ancien sélectionneur de l'Angleterre). Lui, comme son entourage, ont fait la publicité autour pour que l'on en parle ! Mais je peux vous assurer qu'il n'est pas le choix de Louis-Dreyfus. Autre précision, Robert n'a pas mis le club à la vente ! Mais il étudie toute proposition intéressante. A ce titre, celle de Kachkar lui apparaît pour l'instant la plus solide.
Mais il prendra tout son temps. Il ne passera pas la main à n'importe qui ! Il faudra au préalable vérifier l'étendue et l'origine des garanties bancaires présentées. A partir de là, le dossier avancera. Sûrement courant janvier."
Pape tout d’abord nous vous renouvelons toutes nos condoléances car vous avez eu la douleur de perdre votre mère en début de semaine. Les témoignages de sympathie qui vous étaient destinés ont été très nombreux. Tous n’ont pas pu vous parvenir au Sénégal mais sachez que c’est bien d’un véritable élan dont il s’est agit…
J’ai été informé de cet élan de soutien dont j’ai été l’objet. Je remercie tous ceux qui ont pensé à moi puisque c’est une épreuve qui ne fût pas facile quand on sait la place que tient la maman dans la famille africaine. Ce fût très douloureux pour moi mais ces soutiens très larges, très généreux et très précieux m’ont fait beaucoup de bien.
Malgré l’éloignement vous avez naturellement suivi tout ce qui s’est dit et écrit en France ces derniers jours, la presse s’est fait le relais de nombreuses rumeurs allant même jusqu’à annoncer une décision de vente du club avant la fin de l’année. Quelle est votre réaction ?
Ma réaction est toujours la même. Je n’ai pas pour habitude de commenter des supputations et des interprétations. Je ne pense pas que ce soit Robert Louis-Dreyfus lui-même qui ait annoncé ou confirmé cette vente. Que Robert Louis-Dreyfus soit périodiquement l’objet de sollicitations allant dans ce sens, c’est possible et il me l’a lui-même confirmé. Que cette fois-ci, il ait été l’objet de cette sollicitation, c’est vrai mais on est très loin de la coupe aux lèvres.
D’abord, c’est l’entraîneur suédois Eriksson qui en a parlé et qui a été à la base de cette information. Mais ce que je peux confirmer pour en avoir discuté avec Robert Louis-Dreyfus, c’est que tout cela n’est aujourd’hui que supputations et rien ne peut amener qui que ce soit à parler d’une vente de l’OM et encore moins à fixer des prix. Pour ma part, et c’est un sentiment personnel, je peux dire que Robert Louis-Dreyfus a beaucoup donné à ce club en heures, en énergie et en argent. Je peux concevoir qu’un jour et pour des raisons qui lui sont propres, il soit amené à s’éloigner un peu du club et à envisager la vente. Mais ce dont je suis certain, car je le tiens de lui-même, c’est que s’il devait partir un jour, ce serait d’abord avec la certitude que les acquéreurs feront tout pour donner à l’OM un nouvel élan. Ceci en apportant un investissement considérable qui permettrait au club de prendre une autre envergure.
La deuxième certitude, c’est que Robert fera tout ce qui est en son pouvoir pour que ceux qui ont travaillé pour le club soient préservés dans leur intégralité et leur intégrité professionnelle. Ce sont des points sur lesquels Robert Louis-Dreyfus ne va pas transiger et je peux, sans trahir sa pensée, le dire et le redire ici.
Toujours dans la presse, on a aussi pu prendre connaissance du nom du prochain entraîneur de l’OM, un entraîneur dont on peut dire qu’il a un sacré flair puisqu’il a déjà annoncé qu’il garderait Cissé et Ribéry dans l’équipe…
Très honnêtement, Je ne prends pas très au sérieux un homme qui parle comme ça. On est très loin aujourd’hui d’une vente de l’OM. Il y a dans ce club une équipe dirigeante qui existe et il y a encore, à ce que je sache, un propriétaire et une équipe qui a des objectifs qu’elle essaiera d’atteindre à la fin de la saison. Alors que M. Eriksson prenne ses désirs pour des réalités et se répande dans la presse en parlant déjà de l’effectif, cela montre un manque de sérieux. Je ne commenterai donc pas ces verbiages car ce qui m’importe aujourd’hui, c’est de donner à Albert Emon et à son équipe tous les moyens possibles pour que l’OM puisse atteindre ses objectifs à la fin de la saison.
Un mot sur le match de ce soir, le dernier de l’année au stade Vélodrome contre Saint Etienne. Vous revenez de la mise au vert avec les joueurs, comment les avez-vous trouvés quelques heures avant cette dernière rencontre ?
Les mises au vert ont toujours la même allure. On y retrouve des garçons concentrés qui ont envie de donner le maximum de ce qu’ils peuvent pour obtenir le meilleur résultat d’autant que nous restons sur un échec. Un échec qui a beaucoup fait parler et qui a suscité de ma part des commentaires jugés un peu durs ici ou là. Je pense donc que l’équipe est aujourd’hui sensible et consciente qu’il s’agit d’un match important que nous devons gagner même si l’adversaire se trouve en haut du classement et a des ambitions très hautes.
Quel bilan dressez vous de la première partie de saison de l’OM ? Beaucoup la qualifient de chaotique. Est-ce également votre jugement ?
Le bilan est mi-figue, mi-raisin si on tient compte de notre début de championnat qui a été flamboyant et de nature à nous valoir de grandes satisfactions. Nous avons connu ensuite un moment de ressac qui nous a fait plonger dans le milieu du classement. Le bilan à mi-saison n’est donc pas totalement satisfaisant même si j’ai la conviction que dans ce championnat très nivelé, il suffirait d’une série de succès pour que nous retrouvions le haut du classement. Cela reste un espoir important de ma part dans la mesure où nous avons retrouvé certains garçons qui n’ont pas toujours pu jouer comme Franck Ribéry et Djibril Cissé. Ce dernier devrait retrouver beaucoup plus de rythme et de compétition.
J’ai donc bon espoir que dans la deuxième partie de saison, l’OM sera beaucoup plus performant et fera surtout dans la constance ce qui nous a peut-être le plus fait défaut durant la première partie de championnat.
Vous avez l’habitude de parler du mercato d’hiver comme d’un marché de correction, avez-vous déjà défini les secteurs à pourvoir ?
Nous avons réfléchi et discuté sur les secteurs qu’il serait bon de pourvoir. J’en ai parlé avec José Anigo, Albert Emon et Dominique Cuperly. Nous avons tous ensemble essayé de définir les profils de joueurs qu’il nous faudrait pour redonner un peu plus de dynamisme à l’équipe. Aujourd’hui, nous avons un effectif qui est en place et peut-être que certains de ces joueurs demanderont à partir car ils estiment que leur temps de jeu n’est pas suffisant.
Il faut donc tenir compte de tous ces éléments avant de pouvoir remanier l’effectif. Nous avons identifié un ou deux postes qu’il serait bon de renforcer mais tout dépend des départs possibles et des moyens dont on pourra disposer pour l’enrôlement de nouveaux joueurs.