Dans une petite ville d'Alabama, au moment de la Grande Dépression, Atticus Finch élève seul ses deux enfants, Jem et Scout. Homme intègre et rigoureux, cet avocat est commis d'office pour défendre un Noir accusé d'avoir violé une Blanche. Ce bref résumé peut expliquer pourquoi ce livre, publié en 1960 - au cœur de la lutte pour les droits civiques -, connut un tel succès. Il ne suffit pas en revanche à comprendre comment ce roman est devenu un livre culte aux Etats-Unis et dans bien d'autres pays. C'est que, tout en situant son sujet en Alabama à une époque bien précise - les années 1930 -, Harper Lee a écrit un roman universel sur l'enfance confrontée aux préjugés, au mensonge, à la bigoterie et au mal. Racontée par Scout avec beaucoup de drôlerie, cette histoire tient du conte, de la court story américaine et du roman initiatique. Couronné par le Prix Pulitzer en 1961, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur s'est vendu à plus de 30 millions d'exemplaires dans le monde entier.
Une très belle surprise pour moi que ce Pulitzer des années 60, un roman vraiment frais, très subtil et très bien écrit, avec plein de vérités qui restent transposables de nos jours, même en France.
J'ai vraiment beaucoup aimé
Un grand livre ****
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
Sinon, en ce moment je tombe plutôt bien et j'ai bien accroché sur un bouquin, sans prétention, mais pas mal écrit et vraiment prenant (qui m'a empêché de dormir une partie de la nuit)
Les charmes discrets de la vie conjugale
Le destin d'une femme à travers les mutations de son temps, les mystères de l'union conjugale, l'électrique confrontation entre aspirations progressistes et valeurs conservatrices... Et l'exceptionnel talent de Douglas Kennedy. Pour ses intellectuels de parents, Hannah Buchan est une vraie déception. A vingt ans, au lieu de grimper sur les barricades et de se fondre dans l'ébullition sociale des années soixante-dix, elle n'a d'autre ambition que d'épouser son petit ami médecin et de fonder une famille. Installée dans une petite ville du Maine, Hannah goûte aux charmes très, très discrets de la vie conjugale. C'est alors que le hasard lui offre l'occasion de sortir du morne train-train de son quotidien : malgré elle, Hannah va se rendre complice d'un grave délit. Trente ans plus tard survient le 11 septembre, et avec lui le temps du doute, de la remise en question, de la suspicion. Le passé de Hannah va resurgir inopinément. Et du jour au lendemain son petit monde soigneusement protégé va s'écrouler...
Deux étoiles
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
Si t'as aimé Douglas Kennedy, j'te conseille vivement :
Les désarrois de Ned Allen
A New York, aujourd'hui.
Vendeur hors pair, grâce à son bagout et un pouvoir de persuasion étonnants, Ned Allen peut se vanter de sa réussite professionnelle, puisqu'il est responsable des ventes d'espaces publicitaires pour CompuWorld, un des magazines d'informatique les plus performants du marché.
Marié à Lizzie, qui travaille dans les relations publiques, il mène une vie trépidante à New York, dépense sans compter et voit l'avenir en rose. Mis à part un conflit ponctuel avec Ted Peterson, manager d'une société d'informatique, tout va plutôt bien pour lui. Jusqu'au jour où CompuWorld est brusquement racheté par un concurrent. La description d'un univers fascinant : celui du New York des golden boys, un monde qui vit à 100 à l'heure et à crédit, où euphorie et désespoir se succèdent tandis que les fortunes se font et se défont.
Et dans un tout autre style, mais tout aussi passionnant et bien écrit :
La poursuite du bonheur
Dans l'Amérique de l'après-guerre minée par ses contradictions, des années noires du maccarthysme à nos jours, La Poursuite du bonheur nous plonge au coeur d'une magnifique histoire d'amour.
Manhattan, Thanksgiving 1945. Artistes, écrivains, musiciens... tout Greenwich Village se presse à la fête organisée par Eric Smythe, dandy et dramaturge engagé. Ce soir-là, sa soeur Sara, fraîchement débarquée à New York, croise le regard de Jack Malone, journaliste de l'armée américaine. Amour d'une nuit, passion d'une vie, l'histoire de Sara et Jack va bouleverser plusieurs générations.
Un demi-siècle plus tard, à l'enterrement de sa mère, Kate Malone remarque une vieille dame qui ne la quitte pas des yeux. Coups de téléphone, lettres incessantes... Commence alors un harcèlement de tous les instants. Jusqu'au jour où Kate reçoit un album de photos... La jeune femme prend peur : qui est cette inconnue? Que lui veut-elle ?
La bave de crapaud n'atteint pas le blanc de poulet
Dire qu'avant c'était ma langue
Mais je l'ai toujours mal parlé Comme on parle mal une langue étrangère quand on fait ses phrases au préalable en Français, bah là c'était pareil
Moi en ce moment je lis Ange et Demon de Dan Brown en espagnol.
J'aime bien ses bouquins meme si la trame est plus au moins la meme dans chacune de ses histoires mais on apprend des choses interessantes.
Et le style de l'ecriture, du rythme (avec plein de chapitre, et d'histoires paralleles) est bien fait
Enfin voila ce que j'en dis moi hein
Charéos a écrit :Moi en ce moment je lis Ange et Demon de Dan Brown en espagnol.
J'aime bien ses bouquins meme si la trame est plus au moins la meme dans chacune de ses histoires mais on apprend des choses interessantes.
Et le style de l'ecriture, du rythme (avec plein de chapitre, et d'histoires paralleles) est bien fait
Enfin voila ce que j'en dis moi hein
J'ai lu Da vinci code que j'ai trouvé sympa à lire, par contre Deception point est mauvais on dirait un scénar de grosse production holywoodienne.
En ce moment je lis les Pauvres aventures de Jérémie (Riad Sattouf)
Maintenant je m'attaque soit à "Le Papillon des étoiles" du même auteur, soit le Henri Loevenbruck "Le testament des siècles" pour savoir si le Da Vinci est pompé dessus ou pas d'après les dire des critiques...
Au moins, avec ces jeunes rebelles qui veulent pas avoir les mêmes lectures qu'un prof, la honte quoi , t'auras épargné à quelques dizaines de gamins la lecture de ces "oeuvres"...
Ah mais ça t'as le droit d'aimer hein, j't'avoue que moi aussi j'ai passé un bon moment en lisant des Werber (et des encore meilleurs après quand il s'agit de les défoncer... )... Mais le truc bien, c'est que y'a des tas de jeunes qui vont lire des vrais bouquins maintenant grâce à toi, comme Da Vinci Code par exemple...
Par contre, si tu les a dégoûtés de La nuit des temps, honte sur toi... (raaaah Eléa et Païkan... :cry2: )
Eh eh On n'est plus qu'à 4h du week-end et faut que je tienne jusque là, et si on parlait litterature hein ? Nan paske j'arrive au bout de mon livre actuel et faut que j'enchaine, vu que mes périodes lectures durent deux mois tous les deux ans, alors conseillez-moi siouplé
G.bedecarrax a écrit :Eh eh On n'est plus qu'à 4h du week-end et faut que je tienne jusque là, et si on parlait litterature hein ? Nan paske j'arrive au bout de mon livre actuel et faut que j'enchaine, vu que mes périodes lectures durent deux mois tous les deux ans, alors conseillez-moi siouplé
Est-ce que tu as lu mes propositions de ce topic ?
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump