

bon moi chui dans la merde , mon frere et venu en france 15 jours et il a rajouter quelques contacts anglais , et la il est partie et comme ils me trouvent sympa ( normal hein




Y'a pas plus facile que de parler anglais. Wanégaine pipol par çi par là et ça passe sans probleme.Autre truc à savoir, à chaque fois que tu verras un mot se terminant par "ck" comme suck, fuck ou dick, ben ca voudra dire que tu auras progressé dans votre relation d'amitié.moumoun a écrit : bon moi chui dans la merde , mon frere et venu en france 15 jours et il a rajouter quelques contacts anglais , et la il est partie et comme ils me trouvent sympa ( normal hein) bé ils me parlent
mais moi je comprend que dalle ho
son fous ces anglais ho
La vidéo est là: http://fr.news.yahoo.com/16052006/308/a ... -taxi.htmlApple contre Apple, l'avis d'un... chauffeur de taxi !
Par Bruno Cormier, rédaction de PC INpact
Andy Warhol l'avait prédit avec une telle perspicacité, dans ce monde multimédia, tout le monde aura droit à son quart d'heure de gloire, c'est maintenant le cas d'un chauffeur de taxi de Londres, interviewé par la BBC en tant qu'expert des nouvelles technologies, à propos du procès Apple contre Apple.
Le quart d'heure de gloire du Congolais francophone et de son accent « frenchy » incertain est désormais devenu une séquence culte, illustrant l'une des plus belles bourdes de la BBC. La journaliste de la télévision publique anglaise devait interroger un certain Guy Kewney, éditeur d'un site Web spécialisé dans les nouvelles technologies. L'expert attendait gentiment son tour dans le hall de la BBC lorsqu'il vit avec surprise une autre personne, interrogée en son nom sur le petit écran.
Le Guy Kewney en pleine interview avec la journaliste de la BBC était en fait un chauffeur de taxi congolais qui attendait le règlement d'une course dans le même hall du studio de télévision. Appelé devant les caméras, il accepte l'invitation sans trop savoir à quoi s'attendre. Sur cette vidéo, on peut admirer le chauffeur se débattre avec les questions de son interlocutrice, alors qu'il ne connaît visiblement rien au sujet. Sous la pression des caméras, il préfère néanmoins jouer le jeu, nous offrant ainsi une séquence mémorable !
Dans un anglais d'adoption, le congolais arrive à terminer une interview après 1 minute 42 secondes d'improvisation totale, un régal. On saura notamment grâce à lui qu'il « est aujourd'hui très facile pour chacun d'aller dans un cybercafé prendre quelque chose sur Internet. » Une révélation !