Tapie-adidas, ça Se Précise

[Champoul]

Le sujet de présentation est aussi ouvert

[Le Vieux Buk]

[nicom93]

<!--QuoteBegin-salocin+Feb 8 2006, 11:50 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (salocin @ Feb 8 2006, 11:50 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> En revanche, n'oubliez pas qu'un des grands amis de Tapie est un certain Patrick Le Lay

[/quote]
S'il pouvait avoir la bonne idée de pousser TF1 à investir à l'OM

[nicom93]

Je déteste TF1. Mais si c'te chaine arrive avec 500 millions de Francs pour recruter, je les accueille à bras ouverts.

[Le Vieux Buk]

de francs ???

[nicom93]

Euh oui, de Francs j'préfère parler en Francs, j'ai plus l'habitude

[Le Vieux Buk]

et sinon, Derrick après la compote de poire, c'est pas lassant à la longue ????

ça et les taules que cette garce de Mme Michu te fout au scrabble et à Pyramides ???

[nicom93]

[nicom93]

L'Express.fr :


<a href='http://www.lexpress.fr/info/france/doss ... ida=436834' target='_blank'>ici</a>

L'Express du 02/02/2006
Tapie, vrai-faux présidentiable

par Christophe Barbier, Elise Karlin

L'ancien ministre de Mitterrand, qui reste l'une des cartes maîtresses des radicaux de gauche, se lancera-t-il dans la course à l'Elysée? Il assure que non, mais une candidature Jospin, par exemple, pourrait le faire réfléchir


En septembre 2007, Bernard Tapie sera installé à l'Elysée. Pour quelques heures tous les soirs. Tel est le futur spectacle auquel il rêve, qui pourrait s'appeler: «J'ai un truc à vous dire». Tapie commencera, au piano, par chanter J'aurais voulu être un artiste - la chanson fut sa première passion. Puis il lancera au public: «Merde, je vais être en retard au Conseil des ministres!» Et il se mettra alors à raconter les dessous du gouvernement. Puis il narrera les coulisses du foot, les négociations avec les Allemands pour le rachat d'Adidas, la prison…


A 63 ans, Bernard Tapie est un homme heureux: il ne veut donc pas être candidat à l'élection présidentielle de 2007. Le Commissaire Valence lui assure de longs mois d'activité, la scène le réclame, ses amis le ravissent (trio de tête: Jean-Louis Borloo, Jacques Séguéla et Patrick Le Lay) et sa vie privée le comble: «Je suis allé voir ma fille dans une école d'art de Londres; elle a 17 ans et un premier rôle dans une comédie musicale. Quelle émotion!» Cet équilibre-là est, d'après ses amis, ce qui le dissuadera le plus de se plonger à nouveau dans l'action politique. «S'il est candidat, sa femme le quitte dans l'instant», assène Borloo. Et Tapie de confirmer en une pirouette: «J'ai la même femme depuis trente-deux ans. Si elle était faible, je l'aurais déjà mangée, l'arête avec.» Le bonheur plutôt que l'aventure élyséenne? La réalité est plus complexe. L'animal n'a perdu ni instinct ni appétit. Ni cette capacité de bateleur à transformer tout ce qu'il voit et entend en argument, et tout public en électorat. En 1992, lorsque Mitterrand le nomme ministre de la Ville, il l'envoie se faire expliquer la banlieue au Pré-Saint-Gervais, le fief de Marcel Debarge et de Claude Bartolone, au cœur de la Seine-Saint-Denis. «On a longuement discuté, il prenait cela très au sérieux, se souvient Bartolone. Et puis il a fait un déplacement à Montfermeil et, à son retour, nous a raconté le 93 en oubliant complètement que ce discours-là venait de nous!» Quelques années plus tard, en prison, il s'offusque que les détenus n'aient pas un ballon pour égayer la promenade. Il les galvanise, les convainc de ne pas rentrer en cellule, demande à voir le directeur, négocie. En quelques minutes, l'affaire remonte jusqu'au bureau du garde des Sceaux: les taulards reçoivent un ballon…

«Il fera chier tout le monde, jouera au ball-trap, sera un faiseur de roi s'il le peut»


«J'ai une passion intacte pour la politique», lâche l'intéressé, attablé dans sa "cantine", un restaurant italien proche de ce domicile de la rue des Saints-Pères qu'il n'aura jamais cédé, malgré les vicissitudes judiciaires. La victoire contre le Crédit lyonnais, le 30 septembre 2005, a d'ailleurs relancé son destin. Même si la banque, après l'échec de négociations secrètes, s'est finalement pourvue en cassation, Tapie considère que la vérité est apparue: il a été victime d'une manœuvre du Lyonnais, qui lui a sous-payé Adidas. Les 145 millions d'euros qui lui ont été alloués, s'il les touche, seront en grande partie épongés par ses dettes, mais son hôtel particulier lui restera et la disponibilité de ses revenus lui reviendra, alors que le fisc aujourd'hui se sert au passage.


Se considérant comme relancé et réhabilité, le citoyen Tapie veut se mêler à nouveau de débat public. Un livre est en chantier. «Dix-huit mois de boulot, trois éditeurs qui se battent pour l'avoir: il sera prêt à l'été 2006.» Une date de parution idéale pour une campagne présidentielle… «Je dresse un diagnostic, je n'apporte pas de solution», explique-t-il à propos de cet ouvrage, dans lequel il décrira la France comme «le pays où il fait le meilleur vivre et celui où les gens sont les plus pessimistes, battant des records de suicide et de consommation d'antidépresseurs». Le texte pourrait s'intituler La Crise de foi…

«Vous avez des choses en rayon. Mais Tapie, quelle belle enseigne lumineuse c'était!»


Un livre ne fait pas un candidat et son entourage le voit jouer plutôt un autre rôle dans la bataille: «Il fera chier tout le monde, jouera au ball-trap, sera un faiseur de roi s'il le peut.» Le rôle de flingueur convient au commissaire cathodique, pourvu qu'il puisse y adjoindre celui d'avocat. Pour défendre ses idées, d'abord: «La présidentielle, je n'y vais pas, mais je causerai. Et, si je ne gâche pas ce que je dis par des ambitions démesurées, ce sera écouté.» Ce que confirme son ami Claude Bartolone - pour le député PS de Seine-Saint-Denis, Tapie est sincère lorsqu'il répète ne plus souhaiter aucun mandat politique: «Il a beaucoup donné et beaucoup payé… Ce qui l'intéresse aujourd'hui, c'est de se faire entendre sur les sujets qui lui tiennent à cœur, comme le chômage des jeunes ou la banlieue. Et là-dessus, il faudra qu'il parle, car c'est une voix entendue par ceux que le discours politique actuel ne touche pas. Un jour, alors que j'étais à Marseille pour annoncer des mesures comme ministre de la Ville, l'un de mes interlocuteurs m'a dit gentiment: “Vous avez des choses en rayon, c'est vrai. Mais Bernard Tapie, quelle belle enseigne lumineuse c'était! ''»


L'enseigne veut aussi briller, les prochains mois, au service de ses amis radicaux de gauche, qui voulurent en faire leur présidentiable pour 1995, sous la houlette de Jean-François Hory, auquel Tapie garde estime et amitié. «Baylet m'a dit: “Il faut que tu nous reviennes, que tu nous aides”, raconte Tapie. J'ai accepté, en fixant la cible et les limites. La cible, c'est de les aider à peser autant que leurs idées, qui sont fortes, jusqu'au sein du PS. Les limites, c'est que je serai le porte-parole de leur candidat, pas plus.»


Mais l'actuel président du PRG, Jean-Michel Baylet, en veut plus et ne manque pas une occasion d'en appeler à une candidature Tapie. Pour assurer un rapport de forces favorable avec le PS et un financement confortable de son parti, ce qui nécessite des législatives réussies, donc un bon score quarante jours plus tôt à la présidentielle. Seul le député maire radical de Bastia, Emile Zuccarelli, exprime un vif désaccord avec cette stratégie. Et l'ennui ostensible affiché par Bernard Tapie pendant son déplacement à Jarnac (Charente), pour célébrer avec Jean-Michel Baylet le 10e anniversaire de la mort de François Mitterrand, est apparu comme une volonté de se démarquer clairement des manœuvres d'appareil du président du PRG.


Qu'importe: le dernier édito du PRG, sur son site officiel, se veut sans ambiguïté: «Faute pour le Parti socialiste d'assumer son devoir de rassemblement et de savoir construire, avec ses partenaires, un nouveau modèle économique et social où l'espoir de l'humanité se lira ailleurs que dans les souvenirs douteux de l'au-delà du mur de Berlin, ses partenaires, et en tout cas le PRG, auront, eux, le devoir d'inventer la gauche du XXIe siècle. Et de la faire connaître à travers leur candidat.»


«Les radicaux ne présenteront personne à la présidentielle, assure un député PS. Ils sont en train de négocier avec nous leurs circonscriptions pour 2007 et savent bien que l'absence de candidat à l'Elysée fera partie du deal. Christiane Taubira-Delannon le dit déjà.» La députée de Guyane, porte-drapeau du PRG en 2002 (2,32% des voix), est pourtant citée comme «moitié» pour le «ticket des forts en gueule», avec Tapie. La candidature de l'ancien président de l'OM à l'Elysée dépendra aussi, en effet, du rapport de forces à gauche. En juin 1994, les 12,03% de sa liste aux européennes participèrent d'une crise violente du PS, entre le désastre législatif de mars 1993 et la recherche précipitée d'un candidat après le renoncement de Jacques Delors. En 2007, sa candidature relancerait la crainte d'un 21 avril. «Tapie candidat? L'extrême gauche est obligée d'aller chercher José Bové si elle ne veut pas disparaître», analyse Jean-Marc Lech, de l'institut de sondages Ipsos.


L'intéressé, lui, rêve parfois à une candidature commune Verts-PC-PRG: «Lancée avant l'été sur un programme commun, elle ferait tout de suite 15% dans les sondages et ne pourrait être stoppée.» Ou un transfert choc, comme au football: «Si Jack Lang était le candidat du PRG, il passerait devant celui du PS!» Entre Tapie et la Rue de Solferino, le passif joue un rôle important. «Il considère avoir été traîné dans la boue par le PS au- delà de ce qu'il méritait, explique l'un de ses amis. Et il a raison: il a été l'un des boucs émissaires du PS, qui voulait se purifier des années Mitterrand.» L'armoire aux mauvais souvenirs socialistes est bien pleine dans le salon de Tapie: «J'ai vu Michel Pezet éliminer Gaston Defferre à Marseille, j'ai vu comment ils ont bourré les urnes pour tenter de me faire battre aux législatives.» Bartolone ne s'inquiète pas de cet état d'esprit: «Tapie, c'est un vrai type de gauche, qui n'a jamais cédé aux sirènes de la droite - pourtant les opportunités n'ont pas manqué! C'est de notre côté qu'il participera au débat. Mais ce sera quand il en aura envie seulement.»


Tapie reprend aussi à son compte, sans se forcer, les récriminations des partenaires de l'ex-gauche plurielle à l'égard des socialistes: «Ils ont tort de faire comme s'ils étaient les seuls. Ils décident du programme parce qu'ils sont sûrs d'être au second tour. Mais, si leurs idées et leur candidat ne plaisent pas aux Français, il n'y seront pas. Et ils diront encore que c'est la faute de Jean-Pierre Chevènement et de la bonne du curé! Qu'un Chevènement, un Bové ou un Tapie le menacent ne peut qu'aider le PS à réfléchir.»


A ce ressentiment collectif s'ajoute un problème personnel que Bernard Tapie a du mal à ne pas faire apparaître comme un règlement de comptes: le cas Lionel Jospin. «S'il se présente pour l'investiture, je pourrais aller très loin, menace-t-il. J'espère que je n'aurai pas à aller jusqu'à la candidature, mais je ne serais pas dérangé qu'il soit encore absent du second tour. Si Jospin revient, c'est qu'il aura été un simple déserteur en 2002, qu'il ne s'est pas retiré, mais défilé.» Aucun doute: si Jospin revient, Tapie suivra. «Je suis une arme dissuasive, pas plus», tempère-t-il. Mais ce n'est pas pour rien qu'il réserve ses éloges, au PS, à l'irréductible ennemi de Jospin qu'est Arnaud Montebourg: «Lui seul peut rassembler de la gauche des socialistes à Besancenot. Il a de l'élégance, de l'art oratoire, ne dit pas trop de conneries, et quand il en dit, le fait avec talent.»


Il y a un désir de duel chez Bernard Tapie. «Borloo est un coureur de marathon, moi de 100 mètres. Ou plutôt, je suis un boxeur», explique-t-il. Eliminer Lionel Jospin au premier tour et affronter Nicolas Sarkozy au second est le rêve de cet homme qui ne veut pas se présenter. «Sarko est sûr d'être le candidat de son camp et de faire au moins 20% au premier tour, calcule-t-il. mais il n'a pas de stratégie pour le second.» Et Tapie se veut presque en fraternité avec Sarkozy quant à la manière de faire de la politique: «Quand on dit quelque chose de compréhensible que les gens veulent entendre, on est un populiste!» Les deux hommes se connaissent depuis longtemps, et Tapie considère que Sarkozy a été le seul ministre des Finances à user d'une méthode intelligente dans l'affaire qui l'opposait au Lyonnais: négocier plutôt qu'aller au procès.


Sarkozy contre Tapie: l'affiche a toutes les chances de rester fictive. Tapie, il le répète, ne veut pas «y aller» et avance d'ambitieux projets pour décourager les derniers sceptiques. «L'un des trucs que j'aimerais monter, c'est un vrai club de foot de banlieue, avec Jacques Séguéla et Claude Bartolone», affirme-t-il souvent. Fou de foot, Bartolone assista à tous les matchs de l'OM quand Tapie en était le président et voyagea avec lui aux quatre coins de l'Europe. Une vraie relation d'amitié s'est alors nouée, qui jamais ne s'est démentie. Tapie a aussi en tête la production d'émissions de télévision… politiques et mille envies sur scène.


Un autre frein agit sur l'hypothèse présidentielle Tapie: Mitterrand n'est plus là. «En politique, au contraire du sport ou des affaires, Bernard a besoin d'un patron, d'un mentor, explique l'un de ses amis. Mitterrand disparu, personne ne jouera ce rôle.» «Je ne connais personne capable d'instrumentaliser Bernard Tapie, poursuit Claude Bartolone - le seul qui savait le manipuler, c'était François Mitterrand.» Les cicatrices d'un pontage et celles, plus profondes, des années procès et prison sont un ultime vaccin contre l'ambition élyséenne. Quitte à oser de singuliers raccourcis: «Quand je voulais devenir maire de Marseille, on a trouvé 100 000 francs dans un jardin pour m'envoyer en prison dans l'affaire OM-Valenciennes. Si je suis candidat à la présidentielle, on va mettre 100 kilos de cocaïne dans mon coffre!» Pour lui, sa victoire contre le Lyonnais et son demi-retour en politique expliquent déjà qu'on l'ait condamné à huit mois ferme (mais confondus avec sa peine précédente) pour fraude fiscale, le 8 décembre 2005, et que flambent à nouveau des rumeurs de dopage à l'OM, sous la plume de l'ancien joueur Jean-Jacques Eydelie.


S'il ne rêve pas de l'Elysée, c'est peut-être enfin parce que l'objectif est à la fois trop difficile d'accès et trop mince: «Je ne m'engage pas dans un pari que je ne m'accorde pas de vraies chances de gagner. C'est le cas pour l'Elysée. Aux Etats-Unis, en revanche, je serais candidat dès demain et, avec mon parcours, je pourrais bien l'emporter! …»


Post-scriptum
Pour lui, c'est elle! Interrogé sur ses préférences pour 2007, Bernard Tapie avoue «un faible pour Ségolène», une femme qui «bosse vraiment» et qui «ne se prend pas au sérieux».

J'y crois pas à un retour en politique

[urba]

Là, il commencerait sérieusement à m'énerver

[nicom93]

[prauwill]

<!--QuoteBegin-salocin+Feb 8 2006, 03:18 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (salocin @ Feb 8 2006, 03:18 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Il me semble que Tapie a toujours dit qu'il participerait au débat politique. En tant que militant. Pour le reste, ca ressemble à de l'extrapolation du journal. [/quote]
militant de l ump?

je comprends que personne ne s interesse aux radicaux de gauche que pas un jeune de gauche se dise que c est l alternative...

pârceque tapie il se rapproche plus d un Francis Mer que d un radical de gauche



comment les gens peuvent ils oublier tous les mecs qu il a foutu au chomage sans vergogne juste pour s en mettre plein les poches...

[nicom93]

Il a été ministre d'un gouv' de gauche point.
C'est comme les Guignols qui essaient de faire passer Borloo pour un homme de gauche égaré à droite il est dans un gouv' de droite, il est de droite, point là aussi.

[prauwill]

tu veux la liste de toutes les boites qu il a depecé en les rachetant le franc symbolique en faisant a croire a tout le monde qu il allait les faire vivre alors qu en fait c etait pour revendre les machines, les murs etc.. aux plus offrants?

[nicom93]

Non j'en ai qq une en tête, j'te remercie .
Moi je m'en tiens aux faits. Il était ministre de la Ville dans un gouvernement de gauche, je le répète.

[ZeroZero13]

Tu croyais pas que prauwill il allait faire un compliment sur Tapie non

[urba]

<!--QuoteBegin-nicom93+Feb 8 2006, 03:30 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (nicom93 @ Feb 8 2006, 03:30 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Non j'en ai qq une en tête, j'te remercie .
Moi je m'en tiens aux faits. Il était ministre de la Ville dans un gouvernement de gauche, je le répète. [/quote]

Donc, il doit être irréprochable, et de gauche en plus

[salocin]

<!--QuoteBegin-prauwill+Feb 8 2006, 03:27 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (prauwill @ Feb 8 2006, 03:27 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> tu veux la liste de toutes les boites qu il a depecé en les rachetant le franc symbolique en faisant a croire a tout le monde qu il allait les faire vivre alors qu en fait c etait pour revendre les machines, les murs etc.. aux plus offrants?
[/quote]
Oui vas y je veux bien

[Le Vieux Buk]

je n'aurais qu'une contribution à ce débat :




Mitterrand était un président de gauche.

[salocin]

<!--QuoteBegin-ZeroZero13+Feb 8 2006, 03:30 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (ZeroZero13 @ Feb 8 2006, 03:30 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Tu croyais pas que prauwill il allait faire un compliment sur Tapie non [/quote]
Prauwill est sup du PSG c'est ca ?

[nicom93]

<!--QuoteBegin-urba de casablanca+Feb 8 2006, 03:31 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (urba de casablanca @ Feb 8 2006, 03:31 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-nicom93+Feb 8 2006, 03:30 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (nicom93 @ Feb 8 2006, 03:30 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Non j'en ai qq une en tête, j'te remercie  .
Moi je m'en tiens aux faits. Il était ministre de la Ville dans un gouvernement de gauche, je le répète. [/quote]

Donc, il doit être irréprochable, et de gauche en plus [/quote]
Je comprends pas

[nicom93]

<!--QuoteBegin-Le vieux Bouc de Tobrouk+Feb 8 2006, 03:33 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Le vieux Bouc de Tobrouk @ Feb 8 2006, 03:33 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> je n'aurais qu'une contribution à ce débat :




Mitterrand était un président de gauche. [/quote]

[urba]

<!--QuoteBegin-nicom93+Feb 8 2006, 03:33 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (nicom93 @ Feb 8 2006, 03:33 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-urba de casablanca+Feb 8 2006, 03:31 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (urba de casablanca @ Feb 8 2006, 03:31 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-nicom93+Feb 8 2006, 03:30 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (nicom93 @ Feb 8 2006, 03:30 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Non j'en ai qq une en tête, j'te remercie  .
Moi je m'en tiens aux faits. Il était ministre de la Ville dans un gouvernement de gauche, je le répète. [/quote]

Donc, il doit être irréprochable, et de gauche en plus [/quote]
Je comprends pas [/quote]
Je fais d'une pierre, deux coups
En fait, Tapie était ministre du gouvernement Mitterrand, il était de gauche parce qu'il a une légère sensibilité sociale, et parce que ça l'arrangeait politiquement. Globalement je pense sincèrement que Tapie est moins à gauche que Bayrou.

Ensuite Mitterrand, sur la fin et même au milieu, était franchement centriste voire de droite, et ses gouvernements ont regroupé à peu près autant de bandits que les gouvernements Chirac, ce qui n'est pas facile :langue:

Enfin Tapie a effectivement exactement fait ce que disait Prauwill et il s'est enrichi sur des licenciements, ce qui n'est pas vraiment de gauche comme comportement. Pour finir, c'est pour moi un populiste de centre/gauche, qui joue tout sur les médias et les manipulations de masse, notamment en jouant sur la sympathie qu'il suggère footballistiquement parlant

[ZeroZero13]

<!--QuoteBegin-salocin+Feb 8 2006, 04:33 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (salocin @ Feb 8 2006, 04:33 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-ZeroZero13+Feb 8 2006, 03:30 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (ZeroZero13 @ Feb 8 2006, 03:30 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Tu croyais pas que prauwill il allait faire un compliment sur Tapie non [/quote]
Prauwill est sup du PSG c'est ca ? [/quote]
Voila

[salocin]

Excuse moi mais je pense que tu confonds à peu près tout, positionnement et sensibilité politique notamment.

Mais ce n'est pas un forum politique donc je vais pas m'embarqué sur ce sujet. D'ailleurs les débats politiques mènent souvent à un dialogue de sourd

[Le Vieux Buk]

il y a donc autre chose que des boulets parmi les nouveaux!!! :cry2:

[urba]

<!--QuoteBegin-salocin+Feb 8 2006, 03:44 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (salocin @ Feb 8 2006, 03:44 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Excuse moi mais je pense que tu confonds à peu près tout, positionnement et sensibilité politique notamment.

Mais ce n'est pas un forum politique donc je vais pas m'embarqué sur ce sujet. D'ailleurs les débats politiques mènent souvent à un dialogue de sourd [/quote]
Ah non ça m'intéresse, surtout qu'on peut porter le débat au delà du cas Tapie ce qui limite les débordements

[nicom93]

<!--QuoteBegin-urba de casablanca+Feb 8 2006, 03:38 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (urba de casablanca @ Feb 8 2006, 03:38 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Je fais d'une pierre, deux coups 
En fait, Tapie était ministre du gouvernement Mitterrand, il était de gauche parce qu'il a une légère sensibilité sociale, et parce que ça l'arrangeait politiquement. Globalement je pense sincèrement que Tapie est moins à gauche que Bayrou.

Ensuite Mitterrand, sur la fin et même au milieu, était franchement centriste voire de droite, et ses gouvernements ont regroupé à peu près autant de bandits que les gouvernements Chirac, ce qui n'est pas facile  :langue:

Enfin Tapie a effectivement exactement fait ce que disait Prauwill et il s'est enrichi sur des licenciements, ce qui n'est pas vraiment de gauche comme comportement. Pour finir, c'est pour moi un populiste de centre/gauche, qui joue tout sur les médias et les manipulations de masse, notamment en jouant sur la sympathie qu'il suggère footballistiquement parlant  [/quote]
Alors en ce qui concerne les licenciements, c'est effectivement plus de droite comme position, je ne peux pas le nier.
Ensuite, s'enrichir sur ces licenciements, d'autres l'ont fait, le font et le feront encore, pourquoi lui reprocher à lui et pas à d'autres?
Enfin, peut-être que Bayrou est plus à gauche que ne l'était Tapie, mais là encore je m'en tiens aux fait : Tapie était ministre dans un gouv' de gauche, Bayrou lui a un des ses hommes ministre de l'Education Nationale ( De Robien ), et même s"il a récemment déclaré être dans l'opposition, il reste quand même marqué comme étant de droite...
On peut reprocher à Tapie ce qu'il a fait en tant qu'homme d'affaire, en tant que ministre de gauche, il a fait de la gauche je pense...

[prauwill]

<!--QuoteBegin-nicom93+Feb 8 2006, 03:50 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (nicom93 @ Feb 8 2006, 03:50 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-urba de casablanca+Feb 8 2006, 03:38 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (urba de casablanca @ Feb 8 2006, 03:38 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Je fais d'une pierre, deux coups 
En fait, Tapie était ministre du gouvernement Mitterrand, il était de gauche parce qu'il a une légère sensibilité sociale, et parce que ça l'arrangeait politiquement. Globalement je pense sincèrement que Tapie est moins à gauche que Bayrou.

Ensuite Mitterrand, sur la fin et même au milieu, était franchement centriste voire de droite, et ses gouvernements ont regroupé à peu près autant de bandits que les gouvernements Chirac, ce qui n'est pas facile  :langue:

Enfin Tapie a effectivement exactement fait ce que disait Prauwill et il s'est enrichi sur des licenciements, ce qui n'est pas vraiment de gauche comme comportement. Pour finir, c'est pour moi un populiste de centre/gauche, qui joue tout sur les médias et les manipulations de masse, notamment en jouant sur la sympathie qu'il suggère footballistiquement parlant  [/quote]
Alors en ce qui concerne les licenciements, c'est effectivement plus de droite comme position, je ne peux pas le nier.
En suite, s'enrichir sur ces licenciements, d'autres l'ont fait, le font et le feront encore, pourquoi lui reprocher à lui et pas à d'autres?
Peut-être que Bayrou est plus à gauche que ne l'était Tapie, mais là encore je m'en tiens aux fait : Tapie était ministre dans un gouv' de gauche, Bayrou lui a un des ses hommes ministre de l'Eduaction Nationale ( De Robien ), et même s"il a récemment déclaré être dans l'opposition, il reste quand même marqué comme étant de droite...
On peut reprocher à Tapie ce qu'il a fait en tant qu'homme d'affaire, en tant que ministre de gauche, il a fait de la gauche je pense... [/quote]
bah qu il nous donne le fond de sa pensée

c est facile d etre de gauche pour exister ...

[Joeuf]

De Robien ne suit pas la même ligne que Bayrou.

Voilà j'ai rien d'autre à dire.