T'as pas dit, t'as pas dit... Quand je lis ça j'en doute

02/02/06 - Médias
Basile Boli : «Je marche la tête haute»
Basile Boli, le héros de Munich, s’exprime pour la première fois sur les déclarations de Jean-Jacques Eydelie lors de son émission sur OMtv, les « 400 coups ». Extraits.
«Les déclarations de Jean-Jacques Eydelie ne sont pas très élégantes pour nous ses partenaires», commente Basile Boli.
«Ce n’est pas facile à accepter que quelqu’un vienne dire, 13 ans après, que ce qu’on fait c’était du bidon. Cela enlève une partie très forte à ce que nous avons vécu ensemble (…) Je comprends qu’il puisse être malheureux aujourd’hui, qu’il a vécu des moments difficiles. Je peux comprendre sa détresse, mais de grâce qu’il change d’armes…», ajoute le héros de Munich au sujet de son ancien coéquipier.
Durant cette séquence des « 400 coups », <span style='color:red'>Basile Boli s’adresse ensuite, face caméra, aux supporters olympiens : «La victoire de 93, la finale de 91, les cinq titres, ils sont là (il frappe son cœur avec son poing, ndlr). </span>Il ne faut pas oublier que les personnalités de l’équipe se sont ensuite exprimées dans d’autres clubs. Marcel Desailly à Milan, Didier Deschamps à la Juventus, Chris Waddle a été élu meilleur joueur d’Angleterre, Fabien Barthez a été champion avec Monaco, etc…».
Et le buteur de la finale de conclure : «Moi, j’ai vécu mon métier avec rage, avec force. Je dors vraiment tranquille. Je suis propre et digne de la carrière que j’ai faite. Je marche la tête haute».
Cette émission sera diffusée vendredi sur OMtv à 19h05, 21h05 et 23h05
02/02/06 - Médias
Basile Boli : «Je marche la tête haute»
Basile Boli, le héros de Munich, s’exprime pour la première fois sur les déclarations de Jean-Jacques Eydelie lors de son émission sur OMtv, les « 400 coups ». Extraits.
«Les déclarations de Jean-Jacques Eydelie ne sont pas très élégantes pour nous ses partenaires», commente Basile Boli.
«Ce n’est pas facile à accepter que quelqu’un vienne dire, 13 ans après, que ce qu’on fait c’était du bidon. Cela enlève une partie très forte à ce que nous avons vécu ensemble (…) Je comprends qu’il puisse être malheureux aujourd’hui, qu’il a vécu des moments difficiles. Je peux comprendre sa détresse, mais de grâce qu’il change d’armes…», ajoute le héros de Munich au sujet de son ancien coéquipier.
Durant cette séquence des « 400 coups », <span style='color:red'>Basile Boli s’adresse ensuite, face caméra, aux supporters olympiens : «La victoire de 93, la finale de 91, les cinq titres, ils sont là (il frappe son cœur avec son poing, ndlr). </span>Il ne faut pas oublier que les personnalités de l’équipe se sont ensuite exprimées dans d’autres clubs. Marcel Desailly à Milan, Didier Deschamps à la Juventus, Chris Waddle a été élu meilleur joueur d’Angleterre, Fabien Barthez a été champion avec Monaco, etc…».
Et le buteur de la finale de conclure : «Moi, j’ai vécu mon métier avec rage, avec force. Je dors vraiment tranquille. Je suis propre et digne de la carrière que j’ai faite. Je marche la tête haute».
Cette émission sera diffusée vendredi sur OMtv à 19h05, 21h05 et 23h05
Marseille - Référé de M. Tapie sur le livre d'Eydelie: délibéré lundi
jeu 02 fév, 19h04
PARIS, 2 fév 2006 (AFP) - - Le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris se prononcera lundi sur l'assignation en référé déposée par Bernard Tapie, ex-président de Marseille (L1 de football), pour obtenir communication du livre de Jean-Jacques Eydelie "Je ne joue plus."
Le juge des référés, qui a examiné jeudi l'assignation lors d'une audience de cabinet, a mis sa décision en délibéré.
Selon son éditeur l'Archipel, M. Eydelie, joueur de l'Olympique de Marseille durant la saison 1992-1993, revient largement dans son livre, qui doit être publié le 15 février, sur l'affaire VA-OM, qui avait valu à Jean-Jacques Eydelie et Bernard Tapie d'être condamnés pour avoir corrompu des joueurs de Valenciennes à l'occasion d'un match en mai 1993.
L'ancien joueur "évoque dans son ouvrage tout son itinéraire et, en détail, l'affaire VA-OM au cours de laquelle il a été amené à mentir à la justice", expliquent les éditions L'Archipel.
Bernard Tapie a déjà engagé des poursuites judiciaires contre son ancien joueur, ainsi que contre L'Equipe et L'Equipe magazine, pour propos diffamatoires après le témoignage de Jean-Jacques Eydelie dans L'Equipe magazine, le 21 janvier, faisant état de dopage et de corruption présumés.
"Pour les dirigeants de l'OM, tricher était devenu une seconde nature", affirmait notamment Jean-Jacques Eydelie au magazine, évoquant aussi une séance de piqûres collectives -démentie par ses ex-coéquipiers- avant la finale de Ligue des champions 1993 remportée contre le Milan AC.
La publication du livre, prévue le 1er mars, a été avancée au 15 février, ont annoncé jeudi dans un communiqué les éditions l'Archipel.
L1 - OM - Cascarino confirme les piqûres
sam 04 fév, 10h15
Dans un entretien accordé au quotidien L'Equipe de samedi, Tony Cascarino , avant-centre de l'OM entre 1994 et 1997, confirme les récentes accusation portées par Jean-Jacques Eydelie. « J'admets que j'ai reçu des piqûres, mais je connais beaucoup d'autres joueurs qui ont fait la même chose , déclare-t-il notamment. Les piqûres étaient toujours faites avant le match, au bas du dos. <span style='color:red'>Je n'étais pas sûr de ce que c'était </span>mais comme tout le monde me disait que c'était bien et qu'en plus je me sentais vâchement en forme après, j'ai accepté ce qu'il m'arrivait. »
Il ajoute néanmoins que chaque joueur avait le choix d'accepter ou pas : « Si tu n'avais pas envie, personne ne t'obligeait à être piqué. Ca, c'est sûr. » Il reconnaît d'ailleurs avoir demandé à ne plus en recevoir après plusieurs mois. <span style='color:red'>Quant au contenu des piqûres, il admet n'en avoir aucune idée : « On nous disait que c'était un "boost d'adrénaline", mais personne - en tout cas, pas les joueurs - ne savait vraiment. Je ne peux pas savoir si c'était des stéroïdes ou de l'EPO ou quoi que ce soit comme ça. Je ne pense pas mais bon... Mais je suis à 99% sûr que ça n'était pas légal. Il y avait quelque chose de pas net</span>. »
L1 - OM - Cascarino confirme les piqûres
sam 04 fév, 10h15
Dans un entretien accordé au quotidien L'Equipe de samedi, Tony Cascarino , avant-centre de l'OM entre 1994 et 1997, confirme les récentes accusation portées par Jean-Jacques Eydelie. « J'admets que j'ai reçu des piqûres, mais je connais beaucoup d'autres joueurs qui ont fait la même chose , déclare-t-il notamment. Les piqûres étaient toujours faites avant le match, au bas du dos. <span style='color:red'>Je n'étais pas sûr de ce que c'était </span>mais comme tout le monde me disait que c'était bien et qu'en plus je me sentais vâchement en forme après, j'ai accepté ce qu'il m'arrivait. »
Il ajoute néanmoins que chaque joueur avait le choix d'accepter ou pas : « Si tu n'avais pas envie, personne ne t'obligeait à être piqué. Ca, c'est sûr. » Il reconnaît d'ailleurs avoir demandé à ne plus en recevoir après plusieurs mois. <span style='color:red'>Quant au contenu des piqûres, il admet n'en avoir aucune idée : « On nous disait que c'était un "boost d'adrénaline", mais personne - en tout cas, pas les joueurs - ne savait vraiment. Je ne peux pas savoir si c'était des stéroïdes ou de l'EPO ou quoi que ce soit comme ça. Je ne pense pas mais bon... Mais je suis à 99% sûr que ça n'était pas légal. Il y avait quelque chose de pas net</span>. »