Cinéma... Tchi Tcha !
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G.bédécarrax
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beyonder
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Je suis bien d'accord avec toi sur toute la ligne (sauf que Kim Bauer a les lèvres collées par de la super glu, pas de la cire :vieux: ) Sinon, il y a le charnier de carcasses en putréfaction qui est pas mal glauque dans le genre.
Ayant vu Amityville, je crois que ce remake assez risible s'est un peu trop égaré dans ses intentions avec notamment l'apparition de fantômes très (japanese tendance) alors que la menace aurait dû être essentiellement incarnée par la maison. Résultat : foirage total.
Buk > Joss Whedon prépare le tournage de Wonder Woman. Je lui souhaite bien du courage pour parvenir à sauver un tel projet du ridicule. Parce qu'une femme qui tourne sur elle-même pour se transformer
et qui attrape les méchants au lasso mdr2 , va falloir être costaud pour être fidèle à la série sans faire sombrer l'adaptation dans le nawak. Pressentie pour le rôle, la charmante Charisma Carpenter. :wub:
Ayant vu Amityville, je crois que ce remake assez risible s'est un peu trop égaré dans ses intentions avec notamment l'apparition de fantômes très (japanese tendance) alors que la menace aurait dû être essentiellement incarnée par la maison. Résultat : foirage total.
Buk > Joss Whedon prépare le tournage de Wonder Woman. Je lui souhaite bien du courage pour parvenir à sauver un tel projet du ridicule. Parce qu'une femme qui tourne sur elle-même pour se transformer
et qui attrape les méchants au lasso mdr2 , va falloir être costaud pour être fidèle à la série sans faire sombrer l'adaptation dans le nawak. Pressentie pour le rôle, la charmante Charisma Carpenter. :wub:Telle était sa malédiction : né idiot mais pas assez idiot pour garder espoir.
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Le Vieux Buk
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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je sais
honnêtement, je pense que ce sera une daube monumentale, malheureusement...
...et pis j'aime pas du tout Charisma Carpenter
sinon, hier on a vu NightWatch avec le mauvais garçon...
...je lui laisse la responsabilité d'écrire ici une analyse exhaustive (on l'a faite après le film, mais c'est trop long à répéter, je trouve
)
honnêtement, je pense que ce sera une daube monumentale, malheureusement...
...et pis j'aime pas du tout Charisma Carpenter
sinon, hier on a vu NightWatch avec le mauvais garçon...
...je lui laisse la responsabilité d'écrire ici une analyse exhaustive (on l'a faite après le film, mais c'est trop long à répéter, je trouve
)Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
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beyonder
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Le Vieux Buk
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beyonder
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Le Vieux Buk
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bad boy
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
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<!--QuoteBegin-Le vieux Bouc de Tobrouk+Oct 6 2005, 01:32 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Le vieux Bouc de Tobrouk @ Oct 6 2005, 01:32 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> je sais
honnêtement, je pense que ce sera une daube monumentale, malheureusement...
...et pis j'aime pas du tout Charisma Carpenter
sinon, hier on a vu NightWatch avec le mauvais garçon...
...je lui laisse la responsabilité d'écrire ici une analyse exhaustive (on l'a faite après le film, mais c'est trop long à répéter, je trouve ) [/quote]
non non
honnêtement, je pense que ce sera une daube monumentale, malheureusement...
...et pis j'aime pas du tout Charisma Carpenter
sinon, hier on a vu NightWatch avec le mauvais garçon...
...je lui laisse la responsabilité d'écrire ici une analyse exhaustive (on l'a faite après le film, mais c'est trop long à répéter, je trouve
) [/quote]non non
Nomade à temps plein, à la recherche de lieux et de personnes qui ne font pas partie de cette dimension que l'on nous impose au quotidien
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Le Vieux Buk
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Oazar
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salut, bah moi j'ai vu plusieurs films ces derniers jours.
Final fantasy, trop trop trop beau et pour les connaisseurs, ca fait plaisir de voir les anciens persos du jeu. Les combats sont mortels et l'histoire dans la meme lignée que le jeu.
Land of the dead, c'est nul.
Le secret des poignards volants, c'est un film de combat chinois. Faut aimer le style, ms il est vraiment sympa et tres beau.
Les bouchers verts, j'ai pas trop accrochés, bof bof.
Robot, tres bien foutu et assez marrant. Un bon film d'animation je trouve.
Shaun of the dead, c'est marrant au debut, mais plus ca va et moins c'est 'fun'. sans plus quoi.
xXx 2, c'est nul, enfin pour les plus de 16 ans quoi.
Voila, desolé si vous en avez deja parlé
Final fantasy, trop trop trop beau et pour les connaisseurs, ca fait plaisir de voir les anciens persos du jeu. Les combats sont mortels et l'histoire dans la meme lignée que le jeu.
Land of the dead, c'est nul.
Le secret des poignards volants, c'est un film de combat chinois. Faut aimer le style, ms il est vraiment sympa et tres beau.
Les bouchers verts, j'ai pas trop accrochés, bof bof.
Robot, tres bien foutu et assez marrant. Un bon film d'animation je trouve.
Shaun of the dead, c'est marrant au debut, mais plus ca va et moins c'est 'fun'. sans plus quoi.
xXx 2, c'est nul, enfin pour les plus de 16 ans quoi.
Voila, desolé si vous en avez deja parlé
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Le Vieux Buk
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le nain
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<!--QuoteBegin-beyonder+Oct 6 2005, 03:02 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (beyonder @ Oct 6 2005, 03:02 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Monique Pantel est parmi nous 
[/quote]
Vas y Monique.
[/quote] Vas y Monique.J'ai une grande admiration pour le travail, et je peux rester trois heures à le regarder
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Cob
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<!--QuoteBegin-vinceglz+Sep 26 2005, 07:18 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (vinceglz @ Sep 26 2005, 07:18 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> EN parlant de Bill Murray, j'ai vu hier soir... la vie aquatique...
Vous avez aimé ?
Oui ?
:cry2:
Je dois être cérébralement déficient alors parce que j'ai rien compris du sens filozofic et/ou drolaric profond de la chose ! :cry2: [/quote]
Note pour plus tard : écouter Vince.
Même si Bowie en portugais, c'est sympa...
Vous avez aimé ?
Oui ?
:cry2:
Je dois être cérébralement déficient alors parce que j'ai rien compris du sens filozofic et/ou drolaric profond de la chose ! :cry2: [/quote]
Note pour plus tard : écouter Vince. Même si Bowie en portugais, c'est sympa...-
beyonder
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Ne pas aimer un film avec Bill Murray et Owen Wilson. Vous voulez que je vous dise, vous êtes des monstres sans coeur 
Bon puisque vous m'avez énervé, je m'énerve ! Je vous préviens y a du spoil et du méchant, du lourd.
Vu Serial noceurs qui eu droit à une rediff en vost, j'ai pouffé comme un crétin en suivant les péripéties du joyeux tandem immature composé par Vaughn/Wilson. Il y a une véritable osmose entre ces deux là, on sent qu'ils ont un humour complémentaire par leur attitude respective au moment de se balancer les répliques.
La première partie qui présente les deux loustics à l'oeuvre est sans doute la moins aboutie. Franchement répétitive, on a le sentiment que le scénario pédale dans la semoule jusqu’au moment du gros mariage. Quand l’évènement survient, on se régale de voir les deux arroseurs arrosés, entre Vaughn coincé par une cinglée et Wilson qui tombe amoureux du prototype même de la gourdasse (elle rit à toutes ses blagues et le bouffe des yeux avec sa tête inclinée comme une biche aux aguets.)
Le dernier acte qui se déroule dans la baraque de Christopher Walken (pas vraiment un rôle de composition quand on connait ses visées politiques) offre quelques moments de jubilation comme Jane seymour en alcoolo nympho, la vieille mémé qui balance sur tout le monde et le gendre idéal, parfait petit républicain avec son sourire figé et son cardigan à la Carlton. Là où j’ai moins accroché, c’est sur les scènes très vaudeville (le fils homo caché dans le placard pouah !), le sentiment de déjà vu avec la dispute puis la réconciliation très prévisible entre les deux potes, entre Wilson et sa cruche de copine qui rit à toutes ses blagues (je l'ai déjà dit?) et qui fait de la balançoire pieds nus.
La morale finit hélas par ramener le bout de son groin humide et le happy end claque comme une fausse note ultime. Dommage.
Heureusement l’apparition désopilante de Will Ferrell, déambulant dans son peignoir à la façon d'un Tyler Durden du cul, file un coup de fouet à la dernière partie (mon dieu, la scène de l’enterrement )
Petite anecdote de salle qui m'a quelque peu interpelé. Un rang devant moi, se trouvait une jolie fille, blonde, pantalon en velours olive, joli sacoche ouzbek. Bref, je suis tombé amoureux d’elle et j’ai pas pu m’empêcher de me demander ce qui pouvait empêcher, qu’elle et moi soyons assis l’un à côté de l’autre.
Sauf que voilà, la belle a plié bagage au bout d’une demi-heure, affligée par tant de crétinerie assumée (elle devait s’attendre à une comédie romantique avec Hugh Grant.)
Je me suis alors posé la question, si elle et moi avions effectivement été ensemble, que se serait-il passé ? Elle m’aurait obligé à partir selon son goût ou je l’aurais contrainte à rester selon le mien ? Putain, c’est la misère la vie de couple. Le bonheur de l’un passe forcément par le désagrément de l’autre ?
Kiss Kiss Bang Bang, sobrement intitulé par Shane Black, Shane Black’s Kiss kiss Bang Bang. Humilité quand tu nous tiens.
Je concède que Kiss Kiss Bang Bang est un agréable buddy movie qui doit une grande part de sa réussite au génie de Shane Black en matière de dialogues (il devrait pondre une sitcom et laisser le cinéma à ceux qui savent tenir une caméra.) La symbiose des trois personnages principaux opère rapidement dans la mesure où le film ne fait que labourer un sillon déjà creusé puis le talent de Robert Downey Jr fait le reste.
Le schéma du perdant sympathique associé au gars brillant qui désamorce les situations problématiques, c'est limite du Francis Weber. On ajoute la jolie fille de tempérament, prototype de fantasme plus que personnage à part entière. Recette sans risque pour saveur mitigée. Les rebondissements se succèdent, on se laisse porter de bon gré en se convaincant que les grosses ficelles et l'irrationalité de l'intrigue sont forcément volontaires.
C'est précisément là que le KKBB me gonfle un peu, ce côté faussement sarcastique qui refoule du goulot, car plus inspiré par l'amertume que par le sarcasme. Shane Black mollarde dans la soupe avant de nous en servir une louche. C'est moche, ça se fait pas. Ou alors fallait qu'il assume ses intentions au lieu de se servir de son film comme d'un prétexte.
L'autre truc qui agace, c'est cette velléité moraliste à deux balles qui vaut à Kilmer de cogner un père incestueux. Déjà d'avoir placé une histoire d'inceste dans cette farce, est une incontestable faute de goût mais là, c'est bassement démago.
En fermant les yeux sur les scènes trop explicatives, la nazerie de certaines situations (le chien qui bouffe un doigt !!) et le comportement incohérent des personnages. Du style, Downey tue un mec et culpabilise deux secondes, juste pour faire genre. Harmony pleure sa sœur avant de ricaner trois minutes plus tard etc.. Hommage aux eighties parait-il. Tu parles d'une esbroufe.
J'aurais pu fermer les yeux sur le fait que le film est trop démonstratif pour être honnête (les deux scènes de rewind franchement prétentieuses), que Shane Black se complait allègrement dans les facilités qu'il dénonce, qu'au final la nostalgie du buddy movie des eighties a bon dos pour torcher une intrigue digne des séries télé du dimanche après-midi mais j'ai pas réussi à laisser mon sens critique au placard.
Et je ne parle même pas de l'inconstance du scénario qui à trop vouloir bringuebaler le spectateur dans un festival d'émotions contraires, finit par le larguer en cours de route. Reste Robert Downey Jr et une poignée de punchlines jetées en aumône à une audience longanime. C'est beaucoup mais c'est bien peu comme le chantait qui au fait ?
Sinon, c'est la première fois que je vois un personnage gay sans que sa sexualité interfère pour autant avec le sujet du film ou sa façon de se comporter. Pas trop tôt, vous me direz.
Hier sur Arte, j'ai revu Las Vegas Parano adapté de Hunter S. Thompson (qui a droit à une caméo.) Du bonheur en barre qui atteste du génie comique de Johnny Depp. Et puis Benecio del Toro quoi.
Bon puisque vous m'avez énervé, je m'énerve ! Je vous préviens y a du spoil et du méchant, du lourd.
Vu Serial noceurs qui eu droit à une rediff en vost, j'ai pouffé comme un crétin en suivant les péripéties du joyeux tandem immature composé par Vaughn/Wilson. Il y a une véritable osmose entre ces deux là, on sent qu'ils ont un humour complémentaire par leur attitude respective au moment de se balancer les répliques.
La première partie qui présente les deux loustics à l'oeuvre est sans doute la moins aboutie. Franchement répétitive, on a le sentiment que le scénario pédale dans la semoule jusqu’au moment du gros mariage. Quand l’évènement survient, on se régale de voir les deux arroseurs arrosés, entre Vaughn coincé par une cinglée et Wilson qui tombe amoureux du prototype même de la gourdasse (elle rit à toutes ses blagues et le bouffe des yeux avec sa tête inclinée comme une biche aux aguets.)
Le dernier acte qui se déroule dans la baraque de Christopher Walken (pas vraiment un rôle de composition quand on connait ses visées politiques) offre quelques moments de jubilation comme Jane seymour en alcoolo nympho, la vieille mémé qui balance sur tout le monde et le gendre idéal, parfait petit républicain avec son sourire figé et son cardigan à la Carlton. Là où j’ai moins accroché, c’est sur les scènes très vaudeville (le fils homo caché dans le placard pouah !), le sentiment de déjà vu avec la dispute puis la réconciliation très prévisible entre les deux potes, entre Wilson et sa cruche de copine qui rit à toutes ses blagues (je l'ai déjà dit?) et qui fait de la balançoire pieds nus.
La morale finit hélas par ramener le bout de son groin humide et le happy end claque comme une fausse note ultime. Dommage.
Heureusement l’apparition désopilante de Will Ferrell, déambulant dans son peignoir à la façon d'un Tyler Durden du cul, file un coup de fouet à la dernière partie (mon dieu, la scène de l’enterrement
) Petite anecdote de salle qui m'a quelque peu interpelé. Un rang devant moi, se trouvait une jolie fille, blonde, pantalon en velours olive, joli sacoche ouzbek. Bref, je suis tombé amoureux d’elle et j’ai pas pu m’empêcher de me demander ce qui pouvait empêcher, qu’elle et moi soyons assis l’un à côté de l’autre.
Sauf que voilà, la belle a plié bagage au bout d’une demi-heure, affligée par tant de crétinerie assumée (elle devait s’attendre à une comédie romantique avec Hugh Grant.)
Je me suis alors posé la question, si elle et moi avions effectivement été ensemble, que se serait-il passé ? Elle m’aurait obligé à partir selon son goût ou je l’aurais contrainte à rester selon le mien ? Putain, c’est la misère la vie de couple. Le bonheur de l’un passe forcément par le désagrément de l’autre ?
Kiss Kiss Bang Bang, sobrement intitulé par Shane Black, Shane Black’s Kiss kiss Bang Bang. Humilité quand tu nous tiens.
Je concède que Kiss Kiss Bang Bang est un agréable buddy movie qui doit une grande part de sa réussite au génie de Shane Black en matière de dialogues (il devrait pondre une sitcom et laisser le cinéma à ceux qui savent tenir une caméra.) La symbiose des trois personnages principaux opère rapidement dans la mesure où le film ne fait que labourer un sillon déjà creusé puis le talent de Robert Downey Jr fait le reste.
Le schéma du perdant sympathique associé au gars brillant qui désamorce les situations problématiques, c'est limite du Francis Weber. On ajoute la jolie fille de tempérament, prototype de fantasme plus que personnage à part entière. Recette sans risque pour saveur mitigée. Les rebondissements se succèdent, on se laisse porter de bon gré en se convaincant que les grosses ficelles et l'irrationalité de l'intrigue sont forcément volontaires.
C'est précisément là que le KKBB me gonfle un peu, ce côté faussement sarcastique qui refoule du goulot, car plus inspiré par l'amertume que par le sarcasme. Shane Black mollarde dans la soupe avant de nous en servir une louche. C'est moche, ça se fait pas. Ou alors fallait qu'il assume ses intentions au lieu de se servir de son film comme d'un prétexte.
L'autre truc qui agace, c'est cette velléité moraliste à deux balles qui vaut à Kilmer de cogner un père incestueux. Déjà d'avoir placé une histoire d'inceste dans cette farce, est une incontestable faute de goût mais là, c'est bassement démago.
En fermant les yeux sur les scènes trop explicatives, la nazerie de certaines situations (le chien qui bouffe un doigt !!) et le comportement incohérent des personnages. Du style, Downey tue un mec et culpabilise deux secondes, juste pour faire genre. Harmony pleure sa sœur avant de ricaner trois minutes plus tard etc.. Hommage aux eighties parait-il. Tu parles d'une esbroufe.
J'aurais pu fermer les yeux sur le fait que le film est trop démonstratif pour être honnête (les deux scènes de rewind franchement prétentieuses), que Shane Black se complait allègrement dans les facilités qu'il dénonce, qu'au final la nostalgie du buddy movie des eighties a bon dos pour torcher une intrigue digne des séries télé du dimanche après-midi mais j'ai pas réussi à laisser mon sens critique au placard.
Et je ne parle même pas de l'inconstance du scénario qui à trop vouloir bringuebaler le spectateur dans un festival d'émotions contraires, finit par le larguer en cours de route. Reste Robert Downey Jr et une poignée de punchlines jetées en aumône à une audience longanime. C'est beaucoup mais c'est bien peu comme le chantait qui au fait ?
Sinon, c'est la première fois que je vois un personnage gay sans que sa sexualité interfère pour autant avec le sujet du film ou sa façon de se comporter. Pas trop tôt, vous me direz.
Hier sur Arte, j'ai revu Las Vegas Parano adapté de Hunter S. Thompson (qui a droit à une caméo.) Du bonheur en barre qui atteste du génie comique de Johnny Depp. Et puis Benecio del Toro quoi.
Telle était sa malédiction : né idiot mais pas assez idiot pour garder espoir.
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Kieros
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beyonder
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<!--QuoteBegin-Jester+Oct 10 2005, 05:48 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jester @ Oct 10 2005, 05:48 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Dans la série les fims à éviter... Bewitched !
Càd la version Film de "Ma sorcière bien aimée"
Putain que c'est nul :cry2: [/quote]
Chez moi il est passé Numéro 1 des films que j'ai vu cette année...
Dans mon Worst of, évidemment...
Càd la version Film de "Ma sorcière bien aimée"
Putain que c'est nul :cry2: [/quote]
Chez moi il est passé Numéro 1 des films que j'ai vu cette année...
Dans mon Worst of, évidemment...
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ZeroZero13
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<!--QuoteBegin-Jester+Oct 10 2005, 05:48 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jester @ Oct 10 2005, 05:48 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Dans la série les fims à éviter... Bewitched !
Càd la version Film de "Ma sorcière bien aimée"
Putain que c'est nul :cry2: [/quote]
Ma foi, faut déjà avoir le courage d'aller voir ça vu le titre
Càd la version Film de "Ma sorcière bien aimée"
Putain que c'est nul :cry2: [/quote]
Ma foi, faut déjà avoir le courage d'aller voir ça vu le titre
#Thauvin2018
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si-ma-tante-en-avait
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keskiya ??? tu vas m'amener super nany ??? :oyé:
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:oyé:-
ZeroZero13
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Invité
<!--QuoteBegin-si-ma-tante-en-avait+Oct 10 2005, 08:55 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (si-ma-tante-en-avait @ Oct 10 2005, 08:55 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Je veux pas lacher des noms (ni des com') mais certains ont des gouts de merde.J'aimerais bien voir les sapes qu'ils portent et les nanas qu'ils se tapent :ph34r: [/quote]
Vas y, à toi !
- Gouts cinéma
- Couturier préféré
- Photo de ta meuf (ou de ton mec, on est completement open minded ici)
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si-ma-tante-en-avait
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prauwill
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<!--QuoteBegin-beyonder+Oct 7 2005, 03:48 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (beyonder @ Oct 7 2005, 03:48 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->
Hier sur Arte, j'ai revu Las Vegas Parano adapté de Hunter S. Thompson (qui a droit à une caméo.) Du bonheur en barre qui atteste du génie comique de Johnny Depp. Et puis Benecio del Toro quoi. [/quote]
film culte :elephantrose:
Hier sur Arte, j'ai revu Las Vegas Parano adapté de Hunter S. Thompson (qui a droit à une caméo.) Du bonheur en barre qui atteste du génie comique de Johnny Depp. Et puis Benecio del Toro quoi. [/quote]
film culte :elephantrose:
greetings in the name of the most high
RIP Joseph...
RIP Joseph...