<!--QuoteBegin-Jairome+Oct 4 2005, 10:13 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Jairome @ Oct 4 2005, 10:13 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Pour la plupart des gens, la Corse est la terre natale d'un empereur qui a laissé une trace aussi indélébile que celle de notre vieux complice Jules Cesar. C'est une assile berceau d'un chanteur de charme à la longue et prestigieuse carrière, dont les refrains où il est question de Marinella et d'une belle Catarineta, tchi, tchi, ont fait le tour du monde.
C'est aussi le pays de la vendetta, de la sieste, des jeux politiques compliqués, des fromages vigoureux, des cochons sauvages, des châtaignes, des succulents merles moqueurs et des vieillards sans âge qui regardent passer le temps.
Mais la Corse, c'est bien plus que tout cela. Elle fait partie de ces endroits privilégiés du globe qui ont un caractère, une forte personnalité que, ni le temps ni les hommes n'arrivent à entamer. C'est un des plus beaux pays du monde qui justifie pleinement son appellation d'île de Beauté.
Mais pourquoi ce préambule? Parce que les Corses, que l'on décrit comme individualistes, alliant l'exubérance et la maîtrise de soi, non-chalants, hospitaliers, loyaux, fidèles en amitié, attachés à leur pays natal, éloquents et courageux, sont eux aussi, bien plus que tout cela.
Ils sont susceptibles.
- Uderzo, Goscinny -
Joyeux anniversaire tête de Maure.

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Prenez-en de la graine les autres
