J'étais là apres la Lazio pour dire à tous ceux qui s'enflammait devant le splendide jeu et la superbe organisation en 5 défenseurs, de garder les pieds sur Terre et d'attendre la défaite d'aujourdhui 
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J'étais là apres la Lazio pour dire à tous ceux qui s'enflammait devant le splendide jeu et la superbe organisation en 5 défenseurs, de garder les pieds sur Terre et d'attendre la défaite d'aujourdhui [/quote] [/quote]
mieux vaut qatar que jamaisRobert Louis-Dreyfus va-t-il partir ?
LUI, l'homme d'affaire brillant qui a propulsé Saatchi et Saatchi au premier rang des groupes publicitaires mondiaux. Lui qui a redressé Adidas après l'avoir acheté à Bernard Tapie. Lui qui va reprendre, le 1 e r janvier 2006, la tête, de la holding du groupe Louis-Dreyfus au chiffre d'affaires annuel de 20 milliards de dollars se retrouve pris au piège de l'OM.
Restera-t-il encore longtemps à la tête d'un des clubs de football les plus mythiques mais aujourd'hui en danger ?
Des investisseurs qatariens et russes intéressés
Le 14 décembre 1996, Robert Louis-Dreyfus accède à la présidence de l'Olympique de Marseille qu'il acquiert un franc symbolique. Dix ans plus tard, le joueur de poker a investi 192 M€ de sa fortune personnelle pour un palmarès vierge. « Je dois être le seul Français à avoir ramené une telle somme de Suisse vers la France, non ? », ironise-t-il à l'évocation de ses ennuis judiciaires nés des « affaires » de l'OM. Accueilli fraîchement lors de ses rares venues au Stade-Vélodrome (cinq fois la saison dernière), cet héritier d'une richissime famille, diplômé de Harvard, va sans doute se retrouver devant les tribunaux. Pris par son business planétaire (ses activités touchent 53 pays) et longtemps affaibli par une grave maladie, il s'est occupé de la vie tumultueuse de l'OM par téléphone. En dix ans, il a tout essayé à la présidence du club : un magistrat (Ceccaldi), un journaliste (Bouchet), un agent de joueurs (Diouf), des hommes d'affaires (Roussier et Marchand). Dans cette collection, on retrouve aussi Bernard Tapie et le boxeur Louis Acariès. A chaque fois, l'échec. Sur le banc de touche, de Gérard Gili à Jean Fernandez, seize entraîneurs se sont succédé pour aucun titre. Des dizaines de joueurs sont venus, des dizaines sont repartis. Pour aucun résultat, sauf pour les agents de joueurs et intermédiaires dont les comptes bancaires ont prospéré. Depuis le début de l'année, Medhi el-Ghaoui, président du conseil de surveillance de l'OM, a rencontré à trois reprises les conseillers de l'émir du Qatar Hamad Ben Kalifa Al-Tha. Un rendez-vous formel a eu lieu à Paris. Il y a quelques semaines, les deux parties se sont à nouveau rencontrées pour évoquer une possibilité d'entrer dans un premier temps dans le club des sponsors. A l'ambassade du Qatar, on ne désire pas communiquer sur ce sujet. L'an passé, le milliardaire du Golfe avait tenté d'acheter le club espagnol de Valladolid. A cette époque, Munir Abu, représentant de l'émir, avait confié que « l'émir aimerait créer une équipe qui deviendrait la meilleure d'Europe et qui porterait des maillots floqués Qatar ». Ce richissime repreneur éventuel, qui a aussi examiné le dossier du PSG, n'est pas le seul en course. D'après nos sources, un investisseur russe a tenté des approches. Un proche du dossier confie : « Si jamais l'OM ne décroche pas la Coupe de l'UEFA et continue de se planter en championnat, Robert pourrait bien ouvrir les portes des négociations. » Mise à prix : 100 M€.
Le parisien
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les 100 M€ demandés, c'est son budget annuel pour les sous-vètements de son harem [/quote] 
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