Quinze siècles après Attila, les Huns resurgissent en Hongrie
VIENNE (AFP) - Plus de 1.500 ans après qu'Attila eut conquit l'Europe, les Huns resurgissent en Hongrie où ils ont réuni assez de signatures pour espérer se faire reconnaître comme une minorité nationale.
Le Parlement hongrois doit dire à la mi-avril si les descendants d'Attila, le roi des Huns (395-453) qui règna en Pannonie, près de l'actuelle Gyoer (ouest), peuvent être reconnus comme une minorité nationale avec une langue et une culture distinctes.
Début janvier, la Commission électorale centrale avait reconnu la validité d'une pétition de 2.400 signatures (1.000 étaient nécessaires) visant à faire reconnaître une minorité hun, formée par les lointains descendants des peuples asiatiques turco-mongols qui franchirent les fleuves russes de la Volga et du Don avant de s'installer vers 405 dans la cuvette danubienne, l'actuelle Hongrie.
Pour que les Huns deviennent une minorité officielle, il faudrait qu'ils soient reconnus par une majorité des deux tiers du Parlement.
"A ma connaissance, les Huns ont été assimilés au fil des siècles", estime le député socialiste (au pouvoir) Laszlo Donath, membre de la Commission des minorités au Parlement.
Pour lui, les pétitionnaires dans ce genre d'affaire "sont fréquemment motivés par l'argent". Les treize minorités officiellement reconnues en Hongrie reçoivent de l'Etat une subvention annuelle de l'ordre de 300 millions de forints (environ 1,2 million d'euros).
"Je ne suis pas au courant de l'existence d'une minorité hun en Hongrie", affirme pour sa part Otto Heinek, président des Allemands de Hongrie, l'une des plus importantes et plus influentes minorités hongroises, en se prononçant contre l'octroi du statut de minorité aux Huns auto-proclamés hongrois.
Le Commissaire des droits des minorités ethniques au Parlement, Jeno Kaltenbach, partage cet avis. "Selon moi, la demande des Huns n'est pas conforme à la législation hongroise. Et j'ai du mal à croire en l'existence d'une langue hun", ajoute-t-il.
Au contraire, pour Imre Joshua Novak, un instituteur qui a créé l'Association de la minorité hun, l'histoire des Huns remonte à plus de six millénaires et ils représentent plusieurs dizaines de milliers de personnes en Hongrie.
Après l'entrée de la Hongrie dans l'Union européenne en mai 2004, ce "prêtre de la Sainte Eglise des Huns" et "recteur de l'université libre de la Plénitude de la lumière" a décidé de faire reconnaître les Huns comme une minorité nationale.
Les tribus huns se sont unifiées il y a 6.045 ans et "régnaient sur la planète" à partir de l'île d'Atais (Ata-Isis, le Père-Dieu) qui, en 5.038 avant J-C s'est enfoncée dans l'Océan pacifique, affirme M. Novak.
Après ce désastre, les Huns se seraient dispersés à travers le globe et auraient construit les pyramides d'Egypte. "L'Histoire des Huns n'est pas enseignée en Europe", regrette-t-il, ajoutant que son Eglise n'était officiellement reconnue que depuis 1997.
M. Novak indique encore qu'il se rendra prochainement en Mongolie pour assister à une conférence internationale rassemblant les Huns d'au moins 15 pays.
Pour Gyorgy Kisfaludy, le "grand prêtre des Huns", ceux-ci sont également présents en Chine et au Japon. L'association hongroise a d'ailleurs des contacts avec les Huns chinois, basques, italiens ou irlandais, affirme-t-il.
Informaticien, M. Kisfaludy prétend que les Huns veulent être reconnus pour "pouvoir contribuer à la science", car, "selon notre religion, foi et science ne font qu'un".
"Nous étudions actuellement la nature de la lumière dans notre laboratoire d'Obuda (un quartier de Budapest) avec un microscope électromagnétique", précise-t-il.
Pour les Huns, la lumière est un système autonome mettant en jeu huit tachyons, des particules hypothétique de vitesse supérieure à la lumière. Parmi les huit éléments de l'Antiquité, le tachyon correspond au feu, explique-t-il.
Pour M. Kisfaludy, les Magyars (Hongrois) ne font pas partie des peuples finno-ougriens car ils appartiennent aux tribus huns.
Une légende populaire née au 13è siècle en Hongrie apparente les peuples magyar et hun. Attila est aujourd'hui encore l'un des prénoms les plus usités en Hongrie.
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
<!--QuoteBegin-Jester+Mar 23 2005, 11:34 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jester @ Mar 23 2005, 11:34 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->aujourd'hui c'est toujours la course entre le Pape et Reinier, avantage cependant au pape qui a des ingénieurs italiens dans son équipe.[/quote]
La bave de crapaud n'atteint pas le blanc de poulet
<!--QuoteBegin-Jules+Mar 23 2005, 09:52 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jules @ Mar 23 2005, 09:52 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> <!--QuoteBegin-Jester+Mar 23 2005, 11:34 AM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>QUOTE (Jester @ Mar 23 2005, 11:34 AM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->aujourd'hui c'est toujours la course entre le Pape et Reinier, avantage cependant au pape qui a des ingénieurs italiens dans son équipe.[/quote] [/quote]
pas mieux :
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout