
pareil

Your ideals betrayed you...<span style='font-size:7pt;line-height:100%'>And now, eternity.
Be still now
I am with you,
I am deep within you;
You are at peace.
You cannot be harmed;
You will not suffer.
Breathe deeply,
Breathe in the healing love of the universe,
And breathe out the sickness which has taken you.
I am with you.
It's easy it's like breathing, its like a heartbeat, it's easy
Have not betrayed your ideals
Your ideals betrayed you
What are you going to do?
Your eyes will not close
Your tongue barely speaks
But I can still feel you
I can still feel you
So come, come relax,
Grin, let the changes in
Come on, come relax
Grin,
Let the laughter, let the laughter
Let the laughter begin
Relax, grin, let the changes in.
Time is done
The sun has gone
It's too late
Eternity has come.</span>
Le rap s’appauvrit, le hip hop me l’approprie, fais bordel à la Artha, le public applaudit, parce que ça vient de là.
Pourquoi mon hip hop ? Parce que c’est bien de l’art, d’ou je puise mon flow rap pour les miens, quand je dépose tous mes mots, plus aucun ne m’appartient, plus de beat et plus de flow, pour les rappeurs qui n’ont pas le temps. La culture est en nous, tant mieux, quand mon écrit t’envoute, dangereux, comme une femme au volant, on est en route, remonte à la source, nage à contre courant et démontre à tous, du rap sans le fric à la roots, c’est mon hip hop ça sent l’Afrique, durable en plus à la rouste, mais pour vos musiques ça sent la crise.
Refrain :
Des rouquins jusqu’aux mamadous, mon écrit t’envoute comme un marabout, hip hop, Mino, Alasal2sale avant qu’on m’amadoue, des rouquins jusqu’aux mamadous, le rap à mes oreilles en devient baba cool, hip hop, Mino, Alasal2sale avant qu’on m’amadoue.
Si le hip hop est une proie, ma voix en est l’appat, parce qu’on en connaît l’issue.On continue le combat, Mino j’amène l’art que t’as pas, du hip hop dans le rap, c’est de l’herbe dans le tabac, deux micros sur scène mes bagages, et la rapidité de mon flow que j’abats, sur la rythmique, j’excelle. Dis-toi bien que j’ai que ça, plus dangereux qu’un Bretzel, pour les chefs d’état. L’ambiance dans la foule monte, tout le monde ressent l’éboulement, de la chanson et de ses monuments, de mes mots l’écoulement, numéro un des roulements.
« Tout doucement, on fait alla dans le mouvement », qu’ils en gardent leur flegme, jécarte ma flemme, le rap devient remake de « Fame », sans commentaire, je sent comment t’aimes, voilà mon saldesale anthem.
Refrain :
Des rouquins jusqu’aux mamadous, mon écrit t’envoute comme un marabout, hip hop, Mino, Alasal2sale avant qu’on m’amadoue, des rouquins jusqu’aux mamadous, le rap à mes oreilles en devient baba cool, hip hop, Mino, Alasal2sale avant qu’on m’amadoue.
On en est las, d’entendre le prix de la musique,
On en est là, à fond dedans de notre hip hop,
On en est las, du reste on en a que foutre,
On en est là, on veut de l’herbe pour nos potes et nos stades de foot,
On en est là, du rap variétés françaises,
On en est là, on veut du son, du son encore,
On en est là, à notre culture d’origine.
Refrain :
Des rouquins jusqu’aux mamadous, mon écrit t’envoute comme un marabout, hip hop, Mino, Alasal2sale avant qu’on m’amadoue, des rouquins jusqu’aux mamadous, le rap à mes oreilles en devient baba cool, hip hop, Mino, Alasal2sale avant qu’on m’amadoue.
Et si on mettait des actes dans les mots, de l’art dans les mains, du cœur à l’ouvrage,
et si on mettait un peu de hip hop dans le rap.
Et si on mettait des actes dans les mots, de l’art dans les mains, du cœur à l’ouvrage, et si on mettait un peu de hip hop dans le rap.