<!--QuoteBegin-marcelo+Sep 20 2004, 10:08 PM--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (marcelo @ Sep 20 2004, 10:08 PM)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin--> Il existe tout de même une réelle tentative de déstabilisation !
1. Les journalistes essayent de faire passer les propos de Pedretti pour de la rebellion et une critique ouverte du système Anigo...
2. Les journalistes gonflent les propos d'Anigo : "Anigo rallume le feu" concernant Vahid et l'affaire Fio.
3. On fait passer la visite de RLD pour une remontrance malgré les démentis de Diouf... remarquez, c'est peut-être vrai que RLD a tapé du point sur la table, mais ça on en sait rien...
4. Bizarrement, les journalistes disent que Fio a été applaudi à sa sortie... qu'est ce que ça peut bien cacher
5. Les journalistes parlent de crise au club alors qu'on est à 3 points du leader, et parlent de crise au PSG qui n'a que 3 points en 6 matchs... On crée donc des crises à tout va, pour foutre la merde.
Et puis, il y a un truc qu'il va falloir se trainer toute la saison... la vente de Drogba. Peut-être que certains joueurs ne supportent pas la succession...

Et c'est un argument, une idée qui va revenir à chaque démonstration des carences de l'OM actuel. tout au long de la saison..

[/quote]
Marcelo, si tu parles de l'Equipe, voici ce qui a été écrit hier matin.
L’OM ausculté
Réunion conduite hier matin par Robert Louis-Dreyfus et constat d’un mental défaillant à l’OM.
MARSEILLE-
Les interventions de Robert Louis-Dreyfus à l’OM sont inversement proportionnelles à son investissement personnel dans le club, à hauteur de 170 millions d’euros, c’est à dire rarissimes. Mais l’actionnaire principal suit de près les prestations marseillaises et il avait fait connaître son mécontentement à l’état major de l’OM après le match à Sochaux, en termes vifs. Samedi soir, il était dans les tribunes du stade vélodrome pour un spectacle qui n’a pas pu l’enchanter, entre les banderoles contestataires, en particulier du virage sud et le spectacle offert par l’OM sur le terrain, ponctué par une bronca au terme de la rencontre.
Hier matin, Marseille n’était alors qu’à deux points de Bastia et Lyon, les leaders, mais à la Commanderie, l’ambiance était celle d’un lendemain de défaite avec des joueurs refusant de s’exprimer et n’affichant pas une mine sereine.
Adepte des voyages éclair à Marseille, Robert Louis-Dreyfus a cette fois prolongé de quelques heures son séjour. Il a provoqué hier matin une réunion à la Commanderie où étaient présents Christophe Bouchet (président), Pape Diouf (manager sportif), José Anigo (entraîneur), Vivian Corzani (directeur général), Philippe Meurice (directeur financier).
Selon Pape Diouf, il s’agissait d’un simple échange de vues : « Il est légitime que l’actionnaire du club puisse de temps en temps entendre ceux qui servent le club. On peut appeler cela une rencontre informelle. C’était un échange qui a permis à chacun d’exprimer son point de vue afin de faire le trait entre ce qui va bien et moins bien. Une manière de ne pas être dupes nous mêmes, on dit souvent que gouverner c’est prévoir, c’est ce que nous avons fait. Il s’agit d’avoir une vision globale de ce début de saison, d’aujourd’hui et des perspectives à moyen et long terme.» Robert Louis-Dreyfus s’est-il exprimé sur le recrutement, en particulier sur le départ de Didier Drogba, lequel a induit le bouleversement de l’effectif ? Pape Diouf n’a pas souhaité répondre précisément, tout en déclarant ceci : «Le départ de Drogba, c’est le point central ».
Panne de leader
La saison dernière, l’attaquant ivoirien était le leader sur le terrain et dans le vestiaire. C’est derrière lui que l’effectif s’était fédéré du temps d’Alain Perrin, puis de José Anigo. A l’OM version 2003/2004, c’est Frédéric Déhu qui a pris le relais. Samedi soir dans le vestiaire marseillais, constatant l’ambiance plombée, il a pris la parole pour rappeler qu’il y avait eu une victoire et faisant référence à celle de la saison dernière pour le Paris SG contre Toulouse, qui avait lancé la saison des Parisiens. Mais il n’est plus sur le terrain depuis la première journée de championnat (1-0 contre Bordeaux). Et l’équipe marseillaise erre comme une âme en peine, en panne de leaders. Après la défaite de Sochaux, le stade vélodrome attendait un sursaut, une attente qui a tétanisé certains nouveaux arrivants dans l’effectif. Lesquels découvrent Marseille et ses particularismes : « Lorsque tu rates ton premier contrôle et que tu entends gronder dans les tribunes, au deuxième ballon, tu ne prends pas de risques. Et c’est bien la première fois dans ma carrière que je sors victorieux d’un match à domicile sous les sifflets ! » constatait l’un d’entre eux.
Les joueurs et entraîneurs de l’OM sont dans l’ensemble lucides dans l’analyse de ce qui ne va pas actuellement, comme Benoît Pedretti samedi soir et Jean Philippe Durand (entraîneur adjoint) hier (VOIR CI DESSUS, CONTRE OU DESSOUS). Mais au moment de mentionner les remèdes, c’ est pour l’instant copie blanche à part l’espérance du retour de Dehu, qui devrait intervenir samedi prochain contre Bastia. Le chantier tactique est toujours à ciel ouvert. Contre Rennes, après l’expulsion d’Ecker contre Toulouse, il n’y a plus de libero possible en magasin du fait des blessures de Dehu (mollet) et Hemdani (cuisse), tandis que Christanval revient de rééducation après sa blessure au genou. Ce qui interdit le retour au 3-5-2 utilisé avant le match de Sochaux et oblige à la reconduction du 4-4-2 actuellement brinquebalant du fait d’une construction à l’abordage et d’une solidarité défaillante. « Actuellement, l’OM n’est pas une équipe » constate Jean Philippe Durand. La lecture du classement indique qu’il s’agit pour l’instant d’un moindre mal, reste à trouver le remède.
1. Rien n'a été écrit sur une rébellion de Pedretti
2. Pas eu besoin de gonfler les propos d'Anigo !
3. J'ai parlé de remontrance de RLD à propos du match de Sochaux. Quand RLD envoie après le match un sms à un dirigeant de l'OM disant ceci: "défense à la rue, milieu à la rue, attaque à le rue. C'est quoi cette équipe ? Vous allez finir derniers du milieu de tableau", c'est qu'il n'est pas franchement content, non ?
4. Désolé mais Fio a été applaudi. Quand il y a des banderoles contre lui, on les cite. Qu'est ce que ça peut bien cacher ? Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
5. On n'a pas écrit le mot crise. Si tu trouves que 55.000 spectateurs qui sortent pour une bonne part en râlant après une victoire, les groupes de supp' et Bouchet qui s'empaillent publiquement, c'est une situation sereine, c'est ton sentiment. Je ne vois pas où on fout la merde.
L'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois.