non et de toute façon plus fréquent ne signifie pas de qualitéQuelqu'un connaît un site avec le classement des locations les plus fréquentes?
<span style='color:green'>BONJOUR!</span>
:smack:
non et de toute façon plus fréquent ne signifie pas de qualitéQuelqu'un connaît un site avec le classement des locations les plus fréquentes?
<span style='color:green'>BONJOUR!</span>
:smack:
ça c'est du Bonjour !!! 
)
ça c' est mon kiff
très bien aussitu parles pas de Boys in the hood-New Jack City
-Menace II Society
Fievre machin truc non mais Do The right thing oui
je peux pas laissé passer çaJohn Singleton signe avec "Fièvre à Columbus University"(Higher Learning en V.O.),le 3ème chapitre de sa "trilogie de la rue",qu'il avait brillament commencé avec "Boys'n the Hood" en 1990,film culte,et poursuivi avec "Poetic Justice" en 1993.ce troisième volet fait apparaitre des acteurs récurrents de films sur le ghetto comme Omar Epps,que l'on retrouvera dans "Gangsta Cop",Ice Cube,ainsi que Laurence Fishburne(Matrix) qui avait un des roles majeurs dans "Boys'n the Hood".Au final ce film est une réussite,soulevant une fois de plus les problèmes liés a l'intégration et au racisme.
Des jeunes de différents pays, différentes races et différents milieux doivent apprendre à vivre ensemble sur le campus de Columbus City. Un film sur le racisme, les préjugés et les responsabilités...
Fièvre à Columbus University, c'est l'histoire d'un jeune noir américain qui vient passer sa première année universitaire à Columbus grâce à une bourse d'étude. Il rencontre sur son chemin des personnages parfois stéréotypés mais toujours représentatifs d'un courant de pensée. On y suit également les tribulations de deux autres jeunes étudiants : une jeune fille paumée et un jeune provincial un peu perdu qui connaît des difficultés à s'intégrer au sein des élèves. Chacun va se glisser dans un groupe différent pour mieux s'exclure du groupe. Ce lieu que l'on pensait être un modèle d'intégration cristallise la séparation selon les " différences ".
Les réalisateurs et les producteurs ont souvent le tort de croire que pour rendre un film plus profond il faut le rendre plus long. Fièvre à Columbus University n'échappe pas à cet accro. Cependant, les idées portées par le film et les traitements égaux des personnages et du déroulement de l'histoire l'exigeaient. Car bien sûr, sans être un chef d'œuvre ce film montre une image particulière des universités américaines, poussée à l'extrême mais intéressante et inquiétante. On peut alors adopter deux attitudes. Soit estimer que les américains font preuves d'une affligeante hypocrisie en dénonçant un système et des pratiques dont ils sont les complices. Le fameux : " c'est bien beau mais c'est un peu facile ". Soit au contraire que le but de cette production est très noble. Dans le premier comme dans le deuxième cas, force est de constater que les scénaristes ont su dénoncer une situation bien réelle peut abordée dans le cinéma outre-atlantique.
un bonjour qui n' aura pas servi à rien, ça devrai faire plaisir o mollahici [squal][/squal]
bon je vais peut etre aller me le louer car c'est le seul de sa trilogie que j'ai pas vu.
sinon ice cube dans le rôle du sage qui a redoublé ça terminal 3 fois de suite )
Je suis allé le voir en salle à Tours, et on a eu le privilège de voir Kad et O, ils faisaient leur promo, c'était un avant première, ils ont déliré avec un alogène qui était sur la scène, trop cons"Mais qui a tué Pamela Rose ?"
Et pourtant je suis pas du genre à aller voir ce genre de film au cinosh, j'aime plutot en prendre plain les yeux ( style le Seigneur des Anneaux 3, Terminator 3 très décevant, ou encore et ça date un peu, Pearl Harbor... ). Mais ce film est tout simplement très bon 
