Voilà l'article de notre cher Pampa!
- butterfly15
- Anigo : On sait pas comment mais t'es toujours là
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Voilà l'article de notre cher Pampa!
Les embarras de l'OM
Secteur sportif en travaux, remous au siège, interrogations sur les comptes... Marseille refait des siennes.
UN SECTEUR SPORTIF À REMODELER. - Alain Perrin ayant négligé la perche que lui avait tendue Christophe Bouchet, fin décembre, en annonçant des changements significatifs dans la manière d'opérer du staff sportif, le président a mis fin aux fonctions de l'entraîneur le 14 janvier dernier. Perrin a été remplacé par José Anigo sur le terrain. Mais l'autre poste qu'occupait l'ancien Troyen, celui de manager, est resté vacant. Ce qui n'a pas empêché l'Olympique de Marseille d'être actif au mercato, avec les arrivées de Barthez ainsi que de Ferreira, Batlles et Koke.
Mais, depuis le départ de Perrin, quelques dissonances sont apparues. Le plus grand flou demeure sur l'identité du ou des décisionnaires des transactions qui concernent l'arrivée de Christanval, en juillet, et les récents départs de Fernandao (prêt) et Sytchev. Quelques manifestations d'amateurisme de la cellule de recrutement amputée de Perrin ont été relevées par des agents ou dirigeants de clubs, même si certains ont officiellement rétractés leurs dires. À la Commanderie, dans l'entourage du groupe pro, cohabitent désormais, pêle-mêle, des yeux et des oreilles mis en place par Perrin mais aussi ceux que Marc Fratani (fidèle de Bernard Tapie) avaient installés. Et, avec le retour de José Anigo sur le banc, l'OM Association, c'est-à-dire des membres de la société marseillaise, a fait son retour dans les allées du club.
Piola, le Sarkozy de l'OM
Un entraîneur (Anigo) qui estime que sa mission devrait se terminer en juin, pas de directeur sportif ou de manager qualifié... Pour l'instant, l'OM n'est pas en mesure d'aborder le prochain mercato en position de force.
SOUBRESAUTS AU SIÈGE. - Au commencement, l'entente était parfaite dans l'équipe dirigeante constituée par Christophe Bouchet. Au siège, rue Négresko, une équipe administrative s'était soudée derrière lui : Philippe Piola (directeur général délégué), Philippe Meurice (directeur financier), Cédric Dufoix (directeur du marketing) et Laurent Carenzo (directeur de communication). À la Commanderie, Alain Perrin dirigeait son staff technique : Albert Émon et Jean-Philippe Durand, les adjoints, Marc Lévy, l'entraîneur des gardiens, et Roger Propos, le préparateur physique.
Au fil des mois, l'activité de Philippe Piola, introduit au club par Étienne Ceccaldi (ex-directeur général), s'est renforcée, mais au prix de quelques maladresses. Comme le contact pris avec Élie Baup, en novembre, qui a fini par revenir aux oreilles d'Alain Perrin, ou son étalage de schémas tactiques griffonnés, qui a provoqué l'ironie de quelques agents ou dirigeants lors du mercato. Soupçonné de sortir de son rôle, Piola s'est défendu dans Le Journal du Dimanche, fin décembre : « Si Bouchet est président et Perrin Premier ministre alors je suis le ministre de l'Intérieur de l'OM. »
Depuis, le Nicolas Sarkozy du club marseillais a consacré son temps à chercher si une faute grave pouvait être imputée à Alain Perrin, en vue de son licenciement, une activité débordante qui voit une partie du club l'accuser de vouloir devenir le calife à la place du calife et une autre de louer sa fidélité sans faille à Christophe Bouchet.
Le président de l'OM n'échappe pas aux remous. La récente publication dans Marseille Foot et VSD d'une estimation de son salaire mensuel (88 000 euros) dix fois plus importante que celle qui avait été publiée dans Le Parisien (8 000 euros) avec sa bénédiction, a suscité quelques mouvements au siège du club tandis qu'en ville, sa Porsche Cayenne ne passe pas inaperçue. Des soubresauts qui ont déclenché l'inquiétude de Robert Louis-Dreyfus, lequel dispose, depuis l'automne dernier, d'un observateur attentif en la personne de Laurent Malfettes (directeur administratif et des médias internes), arrivé en provenance de LD COM (Louis-Dreyfus Communication).
L'inquiétude de Louis-Dreyfus
COMPTES ET MÉCOMPTES. - L'annonce, au mercato, du transfert de Dmitri Sytchev au Lokomotiv Moscou a surpris. Attribuée par Christophe Bouchet à Alain Perrin, l'opération a par ailleurs été qualifiée « d'importante » par le président de l'OM. S'agissait-il de combler une partie des 7 millions d'euros de déficit figurant dans les comptes, fin décembre, ainsi que Bouchet l'aurait présenté à Perrin ? Dans l'exercice clos au 30 juin 2002 d'Eric Soccer, la holding coiffant la SASP (société anonyme à statut professionnel) OM, il est inscrit un abandon de créance au club « sous réserve de meilleure fortune » pour 31,49 millions d'euros. Et 9 millions d'euros seraient inscrits sous le même chapitre au 30 juin 2003. Ce qui indique à la fois que les comptes de l'OM sont toujours en déséquilibre et que Robert Louis-Dreyfus, après avoir été actionnaire à fonds perdus pendant six ans, semble se mettre en position de récupérer une partie de sa mise.
Prêté par Manchester United à Marseille, Fabien Barthez bénéficierait d'un accord entre les deux clubs afin que le gardien des Bleus dispose de la fiscalité anglaise, qui lui est plus favorable. L'OM a fait étudier la faisabilité de l'opération par un cabinet de management britannique. Mais l'interrogation demeure quant à la compatibilité du prêt de Barthez par Manchester United avec les fiscalités française et anglaise.
Secteur sportif en travaux, remous au siège, interrogations sur les comptes... Marseille refait des siennes.
UN SECTEUR SPORTIF À REMODELER. - Alain Perrin ayant négligé la perche que lui avait tendue Christophe Bouchet, fin décembre, en annonçant des changements significatifs dans la manière d'opérer du staff sportif, le président a mis fin aux fonctions de l'entraîneur le 14 janvier dernier. Perrin a été remplacé par José Anigo sur le terrain. Mais l'autre poste qu'occupait l'ancien Troyen, celui de manager, est resté vacant. Ce qui n'a pas empêché l'Olympique de Marseille d'être actif au mercato, avec les arrivées de Barthez ainsi que de Ferreira, Batlles et Koke.
Mais, depuis le départ de Perrin, quelques dissonances sont apparues. Le plus grand flou demeure sur l'identité du ou des décisionnaires des transactions qui concernent l'arrivée de Christanval, en juillet, et les récents départs de Fernandao (prêt) et Sytchev. Quelques manifestations d'amateurisme de la cellule de recrutement amputée de Perrin ont été relevées par des agents ou dirigeants de clubs, même si certains ont officiellement rétractés leurs dires. À la Commanderie, dans l'entourage du groupe pro, cohabitent désormais, pêle-mêle, des yeux et des oreilles mis en place par Perrin mais aussi ceux que Marc Fratani (fidèle de Bernard Tapie) avaient installés. Et, avec le retour de José Anigo sur le banc, l'OM Association, c'est-à-dire des membres de la société marseillaise, a fait son retour dans les allées du club.
Piola, le Sarkozy de l'OM
Un entraîneur (Anigo) qui estime que sa mission devrait se terminer en juin, pas de directeur sportif ou de manager qualifié... Pour l'instant, l'OM n'est pas en mesure d'aborder le prochain mercato en position de force.
SOUBRESAUTS AU SIÈGE. - Au commencement, l'entente était parfaite dans l'équipe dirigeante constituée par Christophe Bouchet. Au siège, rue Négresko, une équipe administrative s'était soudée derrière lui : Philippe Piola (directeur général délégué), Philippe Meurice (directeur financier), Cédric Dufoix (directeur du marketing) et Laurent Carenzo (directeur de communication). À la Commanderie, Alain Perrin dirigeait son staff technique : Albert Émon et Jean-Philippe Durand, les adjoints, Marc Lévy, l'entraîneur des gardiens, et Roger Propos, le préparateur physique.
Au fil des mois, l'activité de Philippe Piola, introduit au club par Étienne Ceccaldi (ex-directeur général), s'est renforcée, mais au prix de quelques maladresses. Comme le contact pris avec Élie Baup, en novembre, qui a fini par revenir aux oreilles d'Alain Perrin, ou son étalage de schémas tactiques griffonnés, qui a provoqué l'ironie de quelques agents ou dirigeants lors du mercato. Soupçonné de sortir de son rôle, Piola s'est défendu dans Le Journal du Dimanche, fin décembre : « Si Bouchet est président et Perrin Premier ministre alors je suis le ministre de l'Intérieur de l'OM. »
Depuis, le Nicolas Sarkozy du club marseillais a consacré son temps à chercher si une faute grave pouvait être imputée à Alain Perrin, en vue de son licenciement, une activité débordante qui voit une partie du club l'accuser de vouloir devenir le calife à la place du calife et une autre de louer sa fidélité sans faille à Christophe Bouchet.
Le président de l'OM n'échappe pas aux remous. La récente publication dans Marseille Foot et VSD d'une estimation de son salaire mensuel (88 000 euros) dix fois plus importante que celle qui avait été publiée dans Le Parisien (8 000 euros) avec sa bénédiction, a suscité quelques mouvements au siège du club tandis qu'en ville, sa Porsche Cayenne ne passe pas inaperçue. Des soubresauts qui ont déclenché l'inquiétude de Robert Louis-Dreyfus, lequel dispose, depuis l'automne dernier, d'un observateur attentif en la personne de Laurent Malfettes (directeur administratif et des médias internes), arrivé en provenance de LD COM (Louis-Dreyfus Communication).
L'inquiétude de Louis-Dreyfus
COMPTES ET MÉCOMPTES. - L'annonce, au mercato, du transfert de Dmitri Sytchev au Lokomotiv Moscou a surpris. Attribuée par Christophe Bouchet à Alain Perrin, l'opération a par ailleurs été qualifiée « d'importante » par le président de l'OM. S'agissait-il de combler une partie des 7 millions d'euros de déficit figurant dans les comptes, fin décembre, ainsi que Bouchet l'aurait présenté à Perrin ? Dans l'exercice clos au 30 juin 2002 d'Eric Soccer, la holding coiffant la SASP (société anonyme à statut professionnel) OM, il est inscrit un abandon de créance au club « sous réserve de meilleure fortune » pour 31,49 millions d'euros. Et 9 millions d'euros seraient inscrits sous le même chapitre au 30 juin 2003. Ce qui indique à la fois que les comptes de l'OM sont toujours en déséquilibre et que Robert Louis-Dreyfus, après avoir été actionnaire à fonds perdus pendant six ans, semble se mettre en position de récupérer une partie de sa mise.
Prêté par Manchester United à Marseille, Fabien Barthez bénéficierait d'un accord entre les deux clubs afin que le gardien des Bleus dispose de la fiscalité anglaise, qui lui est plus favorable. L'OM a fait étudier la faisabilité de l'opération par un cabinet de management britannique. Mais l'interrogation demeure quant à la compatibilité du prêt de Barthez par Manchester United avec les fiscalités française et anglaise.





- bene
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Dans l'Equipe t'as aussi un article sur les incidents de samedi soir avec les Winners. Ds cet article on en reste bcp aux faits. Si l'Equipe avait ete malin sur ce coup, ils auraient du faire un vrai article de fond sur le statut du supporter aujourd'hui, sur le fonctionnement des assoc de supporters a Marseille...
Le Boucher Forever!! 

- deepbluebdr
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Au risque de sembler naïf ( c'est ça ou sembler paranoïaque.. Aujourd'hui je choisis naïf ) : Pourquoi est-ce digne de Gala ou Voici ??? C'est faux ?
Qu'est-ce qui est faux là-dedans ?
informez-moi les gars !!!
d'autres parts...espérer une "enquête de fond" ou un "article de fond" à l'Equipe... c'est peut-être beaucoup...
A priori, ce n'est quand même pas un journal d'investigation... Le but ( je suppose ) est de présenter un maximum d'info chaque jour..
D'autant qu'on ne peut pas dire que ces braves gens présentent un bilan très flatteur dès qu'il a fallu aller au-delà des faits
Bref, l'article n'est pas passionant... Il met peut-être de l'huile sur le feu ( mais ça m'étonnerait... trop tiède... )...
Mais j'aimerais savoir : info ou intox ?? ( parce que ça sent un peu l'attaque gratuite de la part des détracteurs de l'Equipe là )
Qu'est-ce qui est faux là-dedans ?
informez-moi les gars !!!

d'autres parts...espérer une "enquête de fond" ou un "article de fond" à l'Equipe... c'est peut-être beaucoup...
A priori, ce n'est quand même pas un journal d'investigation... Le but ( je suppose ) est de présenter un maximum d'info chaque jour..
D'autant qu'on ne peut pas dire que ces braves gens présentent un bilan très flatteur dès qu'il a fallu aller au-delà des faits

Bref, l'article n'est pas passionant... Il met peut-être de l'huile sur le feu ( mais ça m'étonnerait... trop tiède... )...
Mais j'aimerais savoir : info ou intox ?? ( parce que ça sent un peu l'attaque gratuite de la part des détracteurs de l'Equipe là )
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
- Waff
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
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Des verités qui vont a l'encontre de ce que tu avais ecrits sur ton bilan du mercato d'hiver.Je comprends vraiment pas vos réactions![]()
Je vois que des vérités là dedans![]()
En tout cas, c'est ce que j'avais entendu d'autres sources![]()
Mais faut bien critiquer
Encore le salaire de bouchet avec les renseignement sortie d'un journal qui aime enormement bouchet.
Encore des bruits de couloir sur le 'on dit que mais finalement non ils se sont retracté'.
Et ça alors que les incidents de samedi sont encore vif.
C'est pas inocent tout ça.
- deepbluebdr
- Zubar : Eternel espoir, tu feras jamais tes preuves
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C'est le genre de truc dont je me bats totalement les aliboffis.Le président de l'OM n'échappe pas aux remous. La récente publication dans Marseille Foot et VSD d'une estimation de son salaire mensuel (88 000 euros) dix fois plus importante que celle qui avait été publiée dans Le Parisien (8 000 euros) avec sa bénédiction, a suscité quelques mouvements au siège du club tandis qu'en ville, sa Porsche Cayenne ne passe pas inaperçue.

Vous appellez ça comment vous ?
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J'étais content du bilan du mercato, pas forcément de la manière dont ça avait été mené
Là il n'y a pas d'attaque sur les joueurs
Pour le salaire, ça a été repris dans Marseille Foot, et pas attaqué par Bouchet. Il est évident qu'il est grassement payé par Erich Soccer en plus de son salaire versé par l'association.
Pour les bruits de couloir, quand on sait à quel point on a été raillé cet été pour l'amateurisme dans l'approche des joueurs et des clubs (Molinari, Plessis etc.)
Pour les supporters, on parle que de ça sur un grand nombre de forums marseillais
Au moins, ce qu'il marque est vrai

Là il n'y a pas d'attaque sur les joueurs

Pour le salaire, ça a été repris dans Marseille Foot, et pas attaqué par Bouchet. Il est évident qu'il est grassement payé par Erich Soccer en plus de son salaire versé par l'association.

Pour les bruits de couloir, quand on sait à quel point on a été raillé cet été pour l'amateurisme dans l'approche des joueurs et des clubs (Molinari, Plessis etc.)

Pour les supporters, on parle que de ça sur un grand nombre de forums marseillais

Au moins, ce qu'il marque est vrai

«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
- max04300
- Bakayoko : Tu as beaucoup posté, souvent hors cadre
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c'est vrai que ce passage pourrait être repris dans GalaC'est le genre de truc dont je me bats totalement les aliboffis.Le président de l'OM n'échappe pas aux remous. La récente publication dans Marseille Foot et VSD d'une estimation de son salaire mensuel (88 000 euros) dix fois plus importante que celle qui avait été publiée dans Le Parisien (8 000 euros) avec sa bénédiction, a suscité quelques mouvements au siège du club tandis qu'en ville, sa Porsche Cayenne ne passe pas inaperçue.![]()
Vous appellez ça comment vous ?

- deepbluebdr
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il me semble qu'avant tout c'est un journal sportif, dis moi si je me trompe... Parler du salaire, de la porsche, etc...de Bouchet ne fait pas avancer le schmilblick en domaine sportif et si ce n'est pour jeter de l'huile sur le brasier. A quand le scoop comme quoi Bouchet a tiré l'assisante de Perrin ??? tant qu'on y est dans la frénésie, autant se lacher.Au risque de sembler naïf ( c'est ça ou sembler paranoïaque.. Aujourd'hui je choisis naïf ) : Pourquoi est-ce digne de Gala ou Voici ??? C'est faux ?
Qu'est-ce qui est faux là-dedans ?
informez-moi les gars !!!![]()
d'autres parts...espérer une "enquête de fond" ou un "article de fond" à l'Equipe... c'est peut-être beaucoup...
A priori, ce n'est quand même pas un journal d'investigation... Le but ( je suppose ) est de présenter un maximum d'info chaque jour..
D'autant qu'on ne peut pas dire que ces braves gens présentent un bilan très flatteur dès qu'il a fallu aller au-delà des faits
Bref, l'article n'est pas passionant... Il met peut-être de l'huile sur le feu ( mais ça m'étonnerait... trop tiède... )...
Mais j'aimerais savoir : info ou intox ?? ( parce que ça sent un peu l'attaque gratuite de la part des détracteurs de l'Equipe là )
Si l'equipe n'avait rien dit tu n'aurais rien dit non plusJ'étais content du bilan du mercato, pas forcément de la manière dont ça avait été mené![]()
Là il n'y a pas d'attaque sur les joueurs:
Franchement on s'en cogne de savoir combien il gagne!Nedjari ou touboul ont deja fait un article sur le salaire de graille ou de vahid?Ou c'est uniquement dans le but de d'ailimenter la gueguerre virage -bouchet?Pour le salaire, ça a été repris dans Marseille Foot, et pas attaqué par Bouchet. Il est évident qu'il est grassement payé par Erich Soccer en plus de son salaire versé par l'association.:
Cet été la presse etait ravi de notre mercato(un peu trop a mon gout)Pour les bruits de couloir, quand on sait à quel point on a été raillé cet été pour l'amateurisme dans l'approche des joueurs et des clubs (Molinari, Plessis etc.):
Oui ça c'est vrai.Pour les supporters, on parle que de ça sur un grand nombre de forums marseillais![]()
Au moins, ce qu'il marque est vrai
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D'ailleurs je dis rienSi l'equipe n'avait rien dit tu n'aurais rien dit non plus

Je dis juste que c'était pas contradictoire

Moi je m'en cogne pas du tout, quand on sait les joueurs qu'on ne peut pas signer pour salaire trop élevéFranchement on s'en cogne de savoir combien il gagne!Nedjari ou touboul ont deja fait un article sur le salaire de graille ou de vahid?Ou c'est uniquement dans le but de d'ailimenter la gueguerre virage -bouchet?

Mais j'avais lu ces critiques déjà, faudrait que je retrouve le topic où on en avait parléCet été la presse etait ravi de notre mercato(un peu trop a mon gout)

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Et puis je me pose la question
Est ce que l'Equipe a fait un article aussi fénétique sur les sup qui ont insulté Marlet et Bouchet ? Peut être que oui, mais j'en sais rien. Les excuses de ses sup sont allées a Marlet OK enfin bof le mal est fait...mais, en ont il fait auprès de Bouchet pour lui avoir tenu des propos insultants et diffamatoires ?
Vous me lèverez pas de l'idée qu'il y a des relations de causes à effets. Les uns coupent les oignons et les autres pleurent....ou font semblant.
J'ai du mal là aussi a comprendre le pourquoi. Dreyffus, Roussier Marchand, maintenant Bouchet depuis que le mouvement ultras existe il n'y a geurre que Tapie qui n'a pas prit des giffles et pourquoi d'après vous

Vous me lèverez pas de l'idée qu'il y a des relations de causes à effets. Les uns coupent les oignons et les autres pleurent....ou font semblant.
J'ai du mal là aussi a comprendre le pourquoi. Dreyffus, Roussier Marchand, maintenant Bouchet depuis que le mouvement ultras existe il n'y a geurre que Tapie qui n'a pas prit des giffles et pourquoi d'après vous

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Voilà la suite
Un Vélodrome explosif
L'affaire des Winners est venue s'ajouter à un contexte tendu du côté des supporters.
LES WINNERS (un groupe de supporters de l'OM) ont publié un communiqué, dimanche, se désolidarisant des propos tenus la veille, à la fin de Marseille-AC Ajaccio (2-1), avec l'aide de la sono du groupe, c'est-à-dire des insultes à l'intention de plusieurs joueurs, dont Steve Marlet en particulier (voir L'Équipe du 8 février). Dans ce communiqué, les Winners disent ceci : « Nous condamnons fermement les propos qui ont été tenus à la fin de la rencontre OM-Ajaccio. Nous adressons toutes nos excuses aux joueurs olympiens incriminés ainsi qu'à leurs familles. (...) Des sanctions seront prises à l'encontre des deux membres qui ont commis ces actes et qui n'assuraient aucune responsabilité au sein de notre groupe. De plus, nous décidons de supprimer jusqu'à nouvel ordre la sono dans notre virage. »
Les Winners affirment par ailleurs que les faits en question n'ont rien à voir avec le licenciement par le club, vendredi dernier, de Rachid Zeroual, leur vice-président, suite à sa condamnation à quatre mois de prison ferme pour une rixe survenue au stade Vélodrome avec des membres des Marseille Trop Puissant (MTP).
Une actualité qui découle de la situation particulière des groupes de supporters marseillais à qui Bernard Tapie, à la fin des années 80, avait concédé des tarifs d'abonnements à prix réduits et des locaux au stade.
Une difficile cohabitation
Un système reproduit par les présidents successifs, les tentatives de modifier cette situation ayant échoué. Jean-Michel Roussier (ex-directeur général) y a laissé son poste, son successeur, Yves Marchand, ayant, sous l'influence de Rolland Courbis, salarié deux d'entre eux en 1999, Patrice de Peretti (décédé en juillet 2000) et Rachid Zeroual, qui vient donc d'être licencié.
La fonction de ce dernier au club consistait à servir de liaison entre les groupes et l'OM. Ce qui consistait à privilégier l'influence des Winners dans un contexte de cohabitation aléatoire entre les groupes, par ailleurs objets de la sollicitude de Serge Botey, adjoint au maire à la culture et aux grands évènements.
Christophe Bouchet, qui n'a jamais caché son opposition à la totale concession des virages aux groupes, pratique avec ces derniers une politique de dialogue. Mais il apparaît actuellement une fracture entre le virage sud (Winners, Ultras) et le virage De Peretti (MTP, Dodgers, Fanatics, Yankees), le second étant par ailleurs le théâtre d'une cohabitation aléatoire entre certaines de ses composantes. Du côté des Winners, on estime qu'en adressant au juge une lettre peu favorable à Rachid Zeroual, son salarié, lors de son procès et en produisant une attestation au profit d'Olivier Gonzalez (Fanatics), lui aussi mis en cause par la justice, le club a semblé de la sorte privilégier une composante par rapport à une autre. Christophe Bouchet répond sur ce point (voir ci-dessous). D'autre part, dans certains groupes, on soupçonne le président de l'OM d'avoir concédé des facilités de paiement aux MTP, qui n'auraient pas réglé au club la totalité du montant des abonnements de la saison dernière.
Des germes de ressentiment, lesquels, ajoutés à la pression accrue des services de police, au Stade-Vélodrome et sur certains membres des groupes, font de ce dossier un des plus délicats pour Christophe Bouchet dans les prochaines semaines. - D. Ro.
Un Vélodrome explosif
L'affaire des Winners est venue s'ajouter à un contexte tendu du côté des supporters.
LES WINNERS (un groupe de supporters de l'OM) ont publié un communiqué, dimanche, se désolidarisant des propos tenus la veille, à la fin de Marseille-AC Ajaccio (2-1), avec l'aide de la sono du groupe, c'est-à-dire des insultes à l'intention de plusieurs joueurs, dont Steve Marlet en particulier (voir L'Équipe du 8 février). Dans ce communiqué, les Winners disent ceci : « Nous condamnons fermement les propos qui ont été tenus à la fin de la rencontre OM-Ajaccio. Nous adressons toutes nos excuses aux joueurs olympiens incriminés ainsi qu'à leurs familles. (...) Des sanctions seront prises à l'encontre des deux membres qui ont commis ces actes et qui n'assuraient aucune responsabilité au sein de notre groupe. De plus, nous décidons de supprimer jusqu'à nouvel ordre la sono dans notre virage. »
Les Winners affirment par ailleurs que les faits en question n'ont rien à voir avec le licenciement par le club, vendredi dernier, de Rachid Zeroual, leur vice-président, suite à sa condamnation à quatre mois de prison ferme pour une rixe survenue au stade Vélodrome avec des membres des Marseille Trop Puissant (MTP).
Une actualité qui découle de la situation particulière des groupes de supporters marseillais à qui Bernard Tapie, à la fin des années 80, avait concédé des tarifs d'abonnements à prix réduits et des locaux au stade.
Une difficile cohabitation
Un système reproduit par les présidents successifs, les tentatives de modifier cette situation ayant échoué. Jean-Michel Roussier (ex-directeur général) y a laissé son poste, son successeur, Yves Marchand, ayant, sous l'influence de Rolland Courbis, salarié deux d'entre eux en 1999, Patrice de Peretti (décédé en juillet 2000) et Rachid Zeroual, qui vient donc d'être licencié.
La fonction de ce dernier au club consistait à servir de liaison entre les groupes et l'OM. Ce qui consistait à privilégier l'influence des Winners dans un contexte de cohabitation aléatoire entre les groupes, par ailleurs objets de la sollicitude de Serge Botey, adjoint au maire à la culture et aux grands évènements.
Christophe Bouchet, qui n'a jamais caché son opposition à la totale concession des virages aux groupes, pratique avec ces derniers une politique de dialogue. Mais il apparaît actuellement une fracture entre le virage sud (Winners, Ultras) et le virage De Peretti (MTP, Dodgers, Fanatics, Yankees), le second étant par ailleurs le théâtre d'une cohabitation aléatoire entre certaines de ses composantes. Du côté des Winners, on estime qu'en adressant au juge une lettre peu favorable à Rachid Zeroual, son salarié, lors de son procès et en produisant une attestation au profit d'Olivier Gonzalez (Fanatics), lui aussi mis en cause par la justice, le club a semblé de la sorte privilégier une composante par rapport à une autre. Christophe Bouchet répond sur ce point (voir ci-dessous). D'autre part, dans certains groupes, on soupçonne le président de l'OM d'avoir concédé des facilités de paiement aux MTP, qui n'auraient pas réglé au club la totalité du montant des abonnements de la saison dernière.
Des germes de ressentiment, lesquels, ajoutés à la pression accrue des services de police, au Stade-Vélodrome et sur certains membres des groupes, font de ce dossier un des plus délicats pour Christophe Bouchet dans les prochaines semaines. - D. Ro.





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l'Abbé Pierre, ou n'importe lequel des SDF qui sont malheureusement trop nombreux ferait l'affaire alors.Moi je m'en cogne pas du tout, quand on sait les joueurs qu'on ne peut pas signer pour salaire trop élevé![]()
On est pas MU ou le Réal

- butterfly15
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Voilà la fin de l'article de Pampa, une interview de Bouchet.
« On s'accroche »
CHRISTOPHE BOUCHET, le président de l'OM, commente la situation actuelle de son club. En se félicitant du comportement de son équipe.
« QUELLE EST VOTRE RÉACTION après le communiqué des Winners condamnant le comportement de deux de leurs membres, samedi soir, lors d'OM-Ajaccio ?
- L'idée générale est que je ne souhaite pas laisser passer les événements sans réagir. Je partage la frustration de l'immense majorité des supporters, y compris chez les Winners, après ce qui s'est passé, en raison de l'image déplorable que nous avons laissée. J'enregistre les efforts volontaristes des Winners. En revanche, je m'interroge toujours sur la grève des Ultras, survenue juste à la nomination de José Anigo, pour des motivations que je trouve étranges.
- Que répondez-vous à ceux qui estiment que vous privilégiez certains groupes par rapport à d'autres ?
- Je sais que les Winners font le lien entre une lettre que j'ai écrite au procureur à propos de Rachid Zeroual et une attestation que j'ai fourni à propos d'Olivier Gonzalez (Fanatics). Mais une fois qu'ils ont lu ma lettre au procureur, ils conviennent que ce dernier en a fait une lecture plus sévère que son contenu.
- Comment allez-vous pallier le licenciement de Rachid Zeroual, qui faisait le lien entre les groupes de supporters et le club ?
- Il ne faut pas être dupe de la réalité, j'ai hérité d'une situation initiée par Yves Marchand, je ne pense pas que son départ va changer grand chose dans ce domaine. Laurent Carenzo (directeur de la communication) et Guy Cazadamont (directeur de la sécurité) travaillent efficacement dans ce secteur, cela me paraît suffisant.
- Comment fonctionne la cellule de recrutement depuis le départ d'Alain Perrin, qui faisait office de manager ?
- On a donné des bouts de compétence en plus à ceux qui restent. En fait, on va réaménager en travaillant plus, avec José Anigo, en fonction de nos besoins. C'est-à-dire en se concentrant désormais sur un nombre restreint de joueurs, avec un profil bien défini, sur le plan psychologique et en fonction des systèmes de jeu. En clair, on ne va plus voir deux fois dix joueurs, mais dix fois deux joueurs et en fonction de nos objectifs.
- Philippe Piola (directeur général) a-t-il tendance à dépasser ses fonctions ?
- Il a un rôle administratif comme ses homologues dans d'autres clubs. Mais on est à Marseille où on se pose ce genre de questions, pas ailleurs. Je sais qu'il est ébranlé par ce que l'on dit de lui. Peut être a-t-il une personnalité qui amène à penser de lui ce genre de choses ? Pour moi, il assure correctement et loyalement ses fonctions.
- Le transfert de Sytchev était-il rendu nécessaire par un déficit de 7 millions d'euros en décembre dernier ?
- Je suis au courant de cette rumeur, comme une autre selon laquelle c'était pour payer les indemnités de Perrin. La réalité, c'est que le budget pour le mercato était de zéro euro. Pour faire venir des joueurs, il fallait vendre, d'autre part le départ de Sytchev était également motivé par des raisons sportives, une décision d'Alain Perrin. En ce qui concerne, les comptes de l'OM, je répète ce que nous avons dit, en particulier à la DNCG en novembre dernier, ils seront à l'équilibre au 30 juin prochain.
- Sur le plan sportif, comment appréciez-vous le parcours actuel de l'OM ?
- On a sans doute pris à Montpellier (1-0) et contre Ajaccio (2-1) les points que l'on aurait dû prendre à Metz (1-1) et à Sochaux (1-2), ce qui est frustrant vu la qualité de jeu affichée contre ces deux dernières équipes. On s'accroche actuellement, le calendrier est difficile avec la répétition des matches. Mais c'est dans la douleur que l'on forge une équipe et la nôtre ne ménage pas ses efforts avec José Anigo. Et nous ne sommes pas loin des objectifs fixés en début de saison. » - D. Ro.
« On s'accroche »
CHRISTOPHE BOUCHET, le président de l'OM, commente la situation actuelle de son club. En se félicitant du comportement de son équipe.
« QUELLE EST VOTRE RÉACTION après le communiqué des Winners condamnant le comportement de deux de leurs membres, samedi soir, lors d'OM-Ajaccio ?
- L'idée générale est que je ne souhaite pas laisser passer les événements sans réagir. Je partage la frustration de l'immense majorité des supporters, y compris chez les Winners, après ce qui s'est passé, en raison de l'image déplorable que nous avons laissée. J'enregistre les efforts volontaristes des Winners. En revanche, je m'interroge toujours sur la grève des Ultras, survenue juste à la nomination de José Anigo, pour des motivations que je trouve étranges.
- Que répondez-vous à ceux qui estiment que vous privilégiez certains groupes par rapport à d'autres ?
- Je sais que les Winners font le lien entre une lettre que j'ai écrite au procureur à propos de Rachid Zeroual et une attestation que j'ai fourni à propos d'Olivier Gonzalez (Fanatics). Mais une fois qu'ils ont lu ma lettre au procureur, ils conviennent que ce dernier en a fait une lecture plus sévère que son contenu.
- Comment allez-vous pallier le licenciement de Rachid Zeroual, qui faisait le lien entre les groupes de supporters et le club ?
- Il ne faut pas être dupe de la réalité, j'ai hérité d'une situation initiée par Yves Marchand, je ne pense pas que son départ va changer grand chose dans ce domaine. Laurent Carenzo (directeur de la communication) et Guy Cazadamont (directeur de la sécurité) travaillent efficacement dans ce secteur, cela me paraît suffisant.
- Comment fonctionne la cellule de recrutement depuis le départ d'Alain Perrin, qui faisait office de manager ?
- On a donné des bouts de compétence en plus à ceux qui restent. En fait, on va réaménager en travaillant plus, avec José Anigo, en fonction de nos besoins. C'est-à-dire en se concentrant désormais sur un nombre restreint de joueurs, avec un profil bien défini, sur le plan psychologique et en fonction des systèmes de jeu. En clair, on ne va plus voir deux fois dix joueurs, mais dix fois deux joueurs et en fonction de nos objectifs.
- Philippe Piola (directeur général) a-t-il tendance à dépasser ses fonctions ?
- Il a un rôle administratif comme ses homologues dans d'autres clubs. Mais on est à Marseille où on se pose ce genre de questions, pas ailleurs. Je sais qu'il est ébranlé par ce que l'on dit de lui. Peut être a-t-il une personnalité qui amène à penser de lui ce genre de choses ? Pour moi, il assure correctement et loyalement ses fonctions.
- Le transfert de Sytchev était-il rendu nécessaire par un déficit de 7 millions d'euros en décembre dernier ?
- Je suis au courant de cette rumeur, comme une autre selon laquelle c'était pour payer les indemnités de Perrin. La réalité, c'est que le budget pour le mercato était de zéro euro. Pour faire venir des joueurs, il fallait vendre, d'autre part le départ de Sytchev était également motivé par des raisons sportives, une décision d'Alain Perrin. En ce qui concerne, les comptes de l'OM, je répète ce que nous avons dit, en particulier à la DNCG en novembre dernier, ils seront à l'équilibre au 30 juin prochain.
- Sur le plan sportif, comment appréciez-vous le parcours actuel de l'OM ?
- On a sans doute pris à Montpellier (1-0) et contre Ajaccio (2-1) les points que l'on aurait dû prendre à Metz (1-1) et à Sochaux (1-2), ce qui est frustrant vu la qualité de jeu affichée contre ces deux dernières équipes. On s'accroche actuellement, le calendrier est difficile avec la répétition des matches. Mais c'est dans la douleur que l'on forge une équipe et la nôtre ne ménage pas ses efforts avec José Anigo. Et nous ne sommes pas loin des objectifs fixés en début de saison. » - D. Ro.





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