<span style='font-size:30pt;line-height:100%'>A TOUS LES SUPPORTERS TRAUMATISES ET TRAUMATISANTS!
ON REPART SANS MAUVAIS ESPRIT! SANS LUTTES INTESTINES! SANS CLANS ET SANS FACILITER LA TACHE DE NOS ADVERSAIRES EN TAPANT SUR LES NOTRES!
DE PERRIN A MEITE, CE SONT LES NOTRES, QU'ON LE VEUILLE OU NON! IL N'Y A PAS DE RAISONS QUE L'AUTOMNE DE LA MORT NE SE TRANSFORME PAS EN HIVER-PRINTEMPS DU TOURNANT!
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
on voit que les éternels pessimistes n'ont pas perdu leur sens de l'humour
Voici venu le temps des rires et deschamps
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis http://www.youtube.com/watch?v=xyDAeByWWF0
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
<span style='color:violet'><span style='font-size:30pt;line-height:100%'>AARRAAAAAAAAAAAHHHHH</span></span>chez-moi cette tete de con?
M<span style='color:violet'><span style='font-size:30pt;line-height:100%'>AARRAAAAAAAAAAAHHHHH</span></span> de la merde, de la tele-poubelle, de la connerie auto-proclamee a la television?
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
:dance: :fete: mdr3
:thumbup2:
<span style='color:blue'>POUÊT POUÊT !!!</span>
<span style='color:green'>TRALALA !!!</span>
<span style='color:red'>TAGADA TSOIN TSOIN !!!</span>
:grimace: :k6: :fumi: :whaou: :greenhot:
:dance: :fete: mdr3 
:thumbup2: 
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille". 
La bave de crapaud n'atteint pas le blanc de poulet 
