


C'est des conneriesP'tain, c'est vraiment pas la grande forme moi... :nirv1: En 94 l'OM était bien en D2, puisqu'on est descendu à l'issue de l'exercice 93-94, donc fin mai 94... Or Tapie était bien là comme il me l'avait semblé au début de l'épopée en D2, puisqu'il n'est parti qu'en décembre 94... Ca devient un peu plus crédible d'un coup !Erratum : Après vérification, les dires de Niko s'avèrent exacts ! Tapie a quitté le club en décembre 1994 et non pas en 1995 comme je le disais plus haut, autrement dit à l'époque où l'OM était encore en D1 ! Celà veut donc dire qu'il s'agit bien d'un énorme mensonge, du moins de ce point de vue là !Ca me parait trop gros, je vais aux renseignements voir si cet article existe vraiment !
On pourra vomir et se mentir à nous même tant que l'on veut, ca ne changera pas le fait que l'Olympique de Marseille ne fait plus partie du classement des meilleurs clubs européens.encore des conneries qui me font gerber et que les journalistes vont s'empresser de reprendre sans noter toutes les incohérence que nikette a relevé![]()
ExactementCa vous étonnerait tant que ça qu'il y ait eu du dopage à l'OM ?![]()
Simplement, c'est que Cascarino qui parle, j'aimerais bien entendre sur ce sujet tous les mecs ayant joué en Italie ou en Espagne
Cascarino affirme que Tapie s'amusait beaucoup lorsqu'un joueur recevait sa première injection dans une salle voisine des vestiaires, maillot relevé, attendant que le pistolet, doté de vingt seringues, fasse son office. Alors, Tapie "levait les bras, serrait les poings et grognait de joie", affirme l'ex-joueur.
"Il grognait de plaisir, la bave aux lèvres, et l'excitation était tellement forte qu'il devait aller se soulager dans les douches du vestiaire"
Appareil a seringues utilisé sur Cascarino, ça doit faire mal au cul![]()
:cry2: c'est affligeantj'ai lu ça aussi
;-)Cascarino affirme que Tapie s'amusait beaucoup lorsqu'un joueur recevait sa première injection dans une salle voisine des vestiaires, maillot relevé, attendant que le pistolet, doté de vingt seringues, fasse son office. Alors, Tapie "levait les bras, serrait les poings et grognait de joie", affirme l'ex-joueur.
Ces injections ont en tout cas eu un effet positif, poursuit Cascarino. "Je me sentais plus affûté, plus énergique, prêt à mordre le ballon", dit-il en se disant heureux de ne pas avoir été contrôlé positif. "Si on avait découvert un produit illégal, j'aurais accepté la sanction. C'était un risque que j'étais prêt à prendre". Il précise cependant qu'il a refusé ces injections avant les matches de Coupe d'Europe par peur des tests de l'UEFA.
Joint par l'Associated Press, Jacques Bailly, kiné du club à l'époque, a jugé l'affaire "complètement farfelue. Ca remonte à pas mal d'années, c'est assez surprenant", a-t-il réagi. Selon lui, "il y avait des vitamines sous forme de boissons de récupération deux ou trois fois par an, le suivi classique. Mais il n'y a jamais eu d'injections dans le sens de ce que l'on veut bien dire".
Pour sa part, l'ancien directeur général de l'OM à l'époque, Jean-Pierre Bernès, n'a pas souhaité répondre aux questions de l'AP. AP
Après les révélations de l'ancien buteur de l'Olympique de Marseille, Tony Cascarino, qui avait révélé lundi que les joueurs olympiens étaient, à l'époque où il évoluait sous le maillot de l'OM, soumis à des injections de produits non identifiés, une autre illustre figure du jeu marseillais semble confirmer. Interrogé dans le quotidien anglais The Sun, l'ancien milieu de terrain anglais Chris Waddle admet avoir reçu des injections : "Le médecin du club nous disait que ces injections nous aideraient à récupérer après les matches."