
Origines, complexe autant qu'étrange
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En très résumé...Il s'est agit de raconter ses origines, son parcours familial, des deux parents, des quatre grands-parents, des huit arrières grands-parents si l'on en avait envie...et d'être, pourquoi pas, suffisamment visionnaire pour dessiner celui de ses enfants…Enfin confirmer si besoin était, que l’être humain était à la fois doté de pieds pour avancer et de racines pour boire à sa source !qui me résume les 15 pages?
Aspettiamo ovviamente il tuo raconti ;-)
- Kieros
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Bien, devant la demande quasi générale, je vous dévoile mes origines, grace à une auto-biographie de mon arriere-arriere-arriere..............
...................arriere-arriere grand père que j'ai découverte, enfouie depuis plusieurs siecles dans un pot de cachaille
"Moi Kieros le Grec, naquis en moins 600 avant JC à Olympie d'un père conducteur de chars et d'une mère pretresse spartiate. A 16 ans, pousuivi par une horde d'individus en rut envieux de prendre leurs douches avec moi, j'embarquai sur le premier bateau qui quittait Phocée. Son commandant s'appellait Protis, il me raconta qu'il voulait "se trouver une gonzesse de l'autre côté de la méditerranée, et que du côté du Lacydon, il y en avait des pas mals, peu cheres" (NDRL : Vous aurez sans doute noté qu'à travers les ages, cette phrase a été légerement déformée et que peu à peu, "peu cheres" est devenu "peuchere", il fallait que la réalité soit rétablie.). Dix mois plus tard, nous arrivâmes péniblement à quai à cause "d'une sardine coulée la veille dans le vieux-port par un tir de calebasse d'un certain Bakayocchus", une histoire compliquée, j'suis sûr que même d'en 2600 ans, personne ne l'aura comprise......
Nous débarquâmes donc, et alors que Protis et l'equipage se rendaient au "Spartacus club" (NDRL : Y'en a certains sur ce forum qui doivent connaitre non ?
), je m'en alla marcher le long d'un boulevard, et là, je vis, sortant du Collisée Municipal, un nombre incalculable d'objets volants non identifiés qui quittait le sol pour venir transperser des nuées de volatiles a travers le ciel. "C'est Bakayocchus qui tire ses calebasses" m'expliquèrent les autochtones "C'est un Numide venu d'afrique, il y voit rien, il nous sert a chasser les gabians"......Interloqué par l'impressionnante résistance de ce personnage, capable de faire des drops de 200 metres à une vitesse vertigineuse, je leur demandais si il n'était jamais fatigué "Oh, ne vous inquietez pas pour lui" me repondirent-ils. "Il est bien payé, et de toute maniere, il ne sait faire que ça. Il n'est pas pressé de nous quitter.....dans cinquante ans il sera encore là...."
C'est alors que je fis la connaissance de Gyptis. Elle était belle, je la pris derriere le buisson et.......
La suite est illisible, la cachaille ayant rongé une partie du texte. Voilà tout ce que je sais sur mes supposées-pseudos-origines grecques
Sinon, en remontant un peu moins loin, disons, de deux siecles:
Du côté maternel : familles de paysans du Piemont. Des travailleurs, je pense qu'ils peuvent être content de ne pas m'avoir connu.....Faut dire que me lever à 6 heures du mat pour faire les travaux des champs ou traire les vaches, c'est pas vraiment une passion chez moi. J'pense d'ailleurs qu'ils m'auraient davantage considéré comme un "Crénomdjiou d'feignant d'la ville" ou un "Tudjieu d'saloupiaud d'blanc bec" (dans le patois local, evidemment), que comme un vrai membre de leurs famille. Mais des braves gens, pour sûr. J'crois d'ailleurs qu'il me reste des cousins et des cousines là-bas.....
Pour résumer, en fait c'était une famille tout ce qu'il y avait de plus honnete, obligée de quitter l'Italie et de rejoindre Marseille pour fuir Mussolini.
Du côté paternel : familles de Napolitains, qui jadis avaient énormement d'argent. Un des mes aieux était d'ailleurs un richissime entrepreneur du coin, malheureusement, il a perdu toute sa fortune au jeu, plongeant la moitié de son village dans le chômage. Dire que si il avait pas fait le con, à l'heure qu'il est, j'aurais sans doute racheté l'OM, on aurait une équipe de feu et je serais pas en train de raconter un ramassis de conneries avec une bande de joyeux cintrés sur un forum de foot. Enfin bon.....(soupir).....
Pour résumer, en fait c'était une famille tout ce qu'il y avait de plus malhonnete, obligée de quitter l'Italie et de rejoindre Marseille pour fuir le fisc et la Camorra.....
Voilà :mdr3:

"Moi Kieros le Grec, naquis en moins 600 avant JC à Olympie d'un père conducteur de chars et d'une mère pretresse spartiate. A 16 ans, pousuivi par une horde d'individus en rut envieux de prendre leurs douches avec moi, j'embarquai sur le premier bateau qui quittait Phocée. Son commandant s'appellait Protis, il me raconta qu'il voulait "se trouver une gonzesse de l'autre côté de la méditerranée, et que du côté du Lacydon, il y en avait des pas mals, peu cheres" (NDRL : Vous aurez sans doute noté qu'à travers les ages, cette phrase a été légerement déformée et que peu à peu, "peu cheres" est devenu "peuchere", il fallait que la réalité soit rétablie.). Dix mois plus tard, nous arrivâmes péniblement à quai à cause "d'une sardine coulée la veille dans le vieux-port par un tir de calebasse d'un certain Bakayocchus", une histoire compliquée, j'suis sûr que même d'en 2600 ans, personne ne l'aura comprise......
Nous débarquâmes donc, et alors que Protis et l'equipage se rendaient au "Spartacus club" (NDRL : Y'en a certains sur ce forum qui doivent connaitre non ?

C'est alors que je fis la connaissance de Gyptis. Elle était belle, je la pris derriere le buisson et.......
La suite est illisible, la cachaille ayant rongé une partie du texte. Voilà tout ce que je sais sur mes supposées-pseudos-origines grecques

Sinon, en remontant un peu moins loin, disons, de deux siecles:
Du côté maternel : familles de paysans du Piemont. Des travailleurs, je pense qu'ils peuvent être content de ne pas m'avoir connu.....Faut dire que me lever à 6 heures du mat pour faire les travaux des champs ou traire les vaches, c'est pas vraiment une passion chez moi. J'pense d'ailleurs qu'ils m'auraient davantage considéré comme un "Crénomdjiou d'feignant d'la ville" ou un "Tudjieu d'saloupiaud d'blanc bec" (dans le patois local, evidemment), que comme un vrai membre de leurs famille. Mais des braves gens, pour sûr. J'crois d'ailleurs qu'il me reste des cousins et des cousines là-bas.....
Pour résumer, en fait c'était une famille tout ce qu'il y avait de plus honnete, obligée de quitter l'Italie et de rejoindre Marseille pour fuir Mussolini.
Du côté paternel : familles de Napolitains, qui jadis avaient énormement d'argent. Un des mes aieux était d'ailleurs un richissime entrepreneur du coin, malheureusement, il a perdu toute sa fortune au jeu, plongeant la moitié de son village dans le chômage. Dire que si il avait pas fait le con, à l'heure qu'il est, j'aurais sans doute racheté l'OM, on aurait une équipe de feu et je serais pas en train de raconter un ramassis de conneries avec une bande de joyeux cintrés sur un forum de foot. Enfin bon.....(soupir).....
Pour résumer, en fait c'était une famille tout ce qu'il y avait de plus malhonnete, obligée de quitter l'Italie et de rejoindre Marseille pour fuir le fisc et la Camorra.....
Voilà :mdr3:
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Encore un mangeur de spaghettis
...

Dial 911, and <img src='images/smiles/doublefuck.gif' border='0' alt='fuck' /> all Lulus...
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Bien, devant la demande quasi générale, je vous dévoile mes origines, grace à une auto-biographie de mon arriere-arriere-arriere.................................arriere-arriere grand père que j'ai découverte, enfouie depuis plusieurs siecles dans un pot de cachaille
"Moi Kieros le Grec, naquis en moins 600 avant JC à Olympie d'un père conducteur de chars et d'une mère pretresse spartiate. A 16 ans, pousuivi par une horde d'individus en rut envieux de prendre leurs douches avec moi, j'embarquai sur le premier bateau qui quittait Phocée. Son commandant s'appellait Protis, il me raconta qu'il voulait "se trouver une gonzesse de l'autre côté de la méditerranée, et que du côté du Lacydon, il y en avait des pas mals, peu cheres" (NDRL : Vous aurez sans doute noté qu'à travers les ages, cette phrase a été légerement déformée et que peu à peu, "peu cheres" est devenu "peuchere", il fallait que la réalité soit rétablie.). Dix mois plus tard, nous arrivâmes péniblement à quai à cause "d'une sardine coulée la veille dans le vieux-port par un tir de calebasse d'un certain Bakayocchus", une histoire compliquée, j'suis sûr que même d'en 2600 ans, personne ne l'aura comprise......
Nous débarquâmes donc, et alors que Protis et l'equipage se rendaient au "Spartacus club" (NDRL : Y'en a certains sur ce forum qui doivent connaitre non ?), je m'en alla marcher le long d'un boulevard, et là, je vis, sortant du Collisée Municipal, un nombre incalculable d'objets volants non identifiés qui quittait le sol pour venir transperser des nuées de volatiles a travers le ciel. "C'est Bakayocchus qui tire ses calebasses" m'expliquèrent les autochtones "C'est un Numide venu d'afrique, il y voit rien, il nous sert a chasser les gabians"......Interloqué par l'impressionnante résistance de ce personnage, capable de faire des drops de 200 metres à une vitesse vertigineuse, je leur demandais si il n'était jamais fatigué "Oh, ne vous inquietez pas pour lui" me repondirent-ils. "Il est bien payé, et de toute maniere, il ne sait faire que ça. Il n'est pas pressé de nous quitter.....dans cinquante ans il sera encore là...."
C'est alors que je fis la connaissance de Gyptis. Elle était belle, je la pris derriere le buisson et.......



( sans compter un mythe de plus, superbe! : le bakaocchus enfermé dans une boucle infernale digne des plus grands, genre Sisyphe, qui, lui aussi, avait signé un contrat interminable.. Par contre, il n'aurait sans doute pas craché sur un transfert )
( euh... p'têt'pas au Qatar... )
Le Néant est là juste devant nous et nous suce le bout
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Tout simplement BRAVO!!!!Bien, devant la demande quasi générale, je vous dévoile mes origines, grace à une auto-biographie de mon arriere-arriere-arriere.................................arriere-arriere grand père que j'ai découverte, enfouie depuis plusieurs siecles dans un pot de cachaille
"Moi Kieros le Grec, naquis en moins 600 avant JC à Olympie d'un père conducteur de chars et d'une mère pretresse spartiate. A 16 ans, pousuivi par une horde d'individus en rut envieux de prendre leurs douches avec moi, j'embarquai sur le premier bateau qui quittait Phocée. Son commandant s'appellait Protis, il me raconta qu'il voulait "se trouver une gonzesse de l'autre côté de la méditerranée, et que du côté du Lacydon, il y en avait des pas mals, peu cheres" (NDRL : Vous aurez sans doute noté qu'à travers les ages, cette phrase a été légerement déformée et que peu à peu, "peu cheres" est devenu "peuchere", il fallait que la réalité soit rétablie.). Dix mois plus tard, nous arrivâmes péniblement à quai à cause "d'une sardine coulée la veille dans le vieux-port par un tir de calebasse d'un certain Bakayocchus", une histoire compliquée, j'suis sûr que même d'en 2600 ans, personne ne l'aura comprise......
Nous débarquâmes donc, et alors que Protis et l'equipage se rendaient au "Spartacus club" (NDRL : Y'en a certains sur ce forum qui doivent connaitre non ?), je m'en alla marcher le long d'un boulevard, et là, je vis, sortant du Collisée Municipal, un nombre incalculable d'objets volants non identifiés qui quittait le sol pour venir transperser des nuées de volatiles a travers le ciel. "C'est Bakayocchus qui tire ses calebasses" m'expliquèrent les autochtones "C'est un Numide venu d'afrique, il y voit rien, il nous sert a chasser les gabians"......Interloqué par l'impressionnante résistance de ce personnage, capable de faire des drops de 200 metres à une vitesse vertigineuse, je leur demandais si il n'était jamais fatigué "Oh, ne vous inquietez pas pour lui" me repondirent-ils. "Il est bien payé, et de toute maniere, il ne sait faire que ça. Il n'est pas pressé de nous quitter.....dans cinquante ans il sera encore là...."
C'est alors que je fis la connaissance de Gyptis. Elle était belle, je la pris derriere le buisson et.......
La suite est illisible, la cachaille ayant rongé une partie du texte. Voilà tout ce que je sais sur mes supposées-pseudos-origines grecques :grinj:


- Kieros
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Ben malheureusement c'est tout à fait ça : son Tartare à lui s'appelle le Stade Vélodrome, et manifestement, il va se présenter encore, et encore, et encore devant des buts adverses et les manquer, toujours, toujours, toujours, ne pouvant donc jamais mettre fin à son supplice...J'aime bien ta comparaison avec Sisyphe, Buk
...sauf qu'en l'occurence, c'est NOTRE supplice, et là je dis : 'tain de mythologie ivoirienne, elle est moins drôle que la grecque...
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- Benedetto
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Re:
Kieros a écrit :Bien, devant la demande quasi générale, je vous dévoile mes origines, grace à une auto-biographie de mon arriere-arriere-arriere.................................arriere-arriere grand père que j'ai découverte, enfouie depuis plusieurs siecles dans un pot de cachaille
"Moi Kieros le Grec, naquis en moins 600 avant JC à Olympie d'un père conducteur de chars et d'une mère pretresse spartiate. A 16 ans, pousuivi par une horde d'individus en rut envieux de prendre leurs douches avec moi, j'embarquai sur le premier bateau qui quittait Phocée. Son commandant s'appellait Protis, il me raconta qu'il voulait "se trouver une gonzesse de l'autre côté de la méditerranée, et que du côté du Lacydon, il y en avait des pas mals, peu cheres" (NDRL : Vous aurez sans doute noté qu'à travers les ages, cette phrase a été légerement déformée et que peu à peu, "peu cheres" est devenu "peuchere", il fallait que la réalité soit rétablie.). Dix mois plus tard, nous arrivâmes péniblement à quai à cause "d'une sardine coulée la veille dans le vieux-port par un tir de calebasse d'un certain Bakayocchus", une histoire compliquée, j'suis sûr que même d'en 2600 ans, personne ne l'aura comprise......
Nous débarquâmes donc, et alors que Protis et l'equipage se rendaient au "Spartacus club" (NDRL : Y'en a certains sur ce forum qui doivent connaitre non ?), je m'en alla marcher le long d'un boulevard, et là, je vis, sortant du Collisée Municipal, un nombre incalculable d'objets volants non identifiés qui quittait le sol pour venir transperser des nuées de volatiles a travers le ciel. "C'est Bakayocchus qui tire ses calebasses" m'expliquèrent les autochtones "C'est un Numide venu d'afrique, il y voit rien, il nous sert a chasser les gabians"......Interloqué par l'impressionnante résistance de ce personnage, capable de faire des drops de 200 metres à une vitesse vertigineuse, je leur demandais si il n'était jamais fatigué "Oh, ne vous inquietez pas pour lui" me repondirent-ils. "Il est bien payé, et de toute maniere, il ne sait faire que ça. Il n'est pas pressé de nous quitter.....dans cinquante ans il sera encore là...."
C'est alors que je fis la connaissance de Gyptis. Elle était belle, je la pris derriere le buisson et.......
La suite est illisible, la cachaille ayant rongé une partie du texte. Voilà tout ce que je sais sur mes supposées-pseudos-origines grecques![]()


Château c'est vraiment la napoli-piémont connexion.Kieros a écrit :
Sinon, en remontant un peu moins loin, disons, de deux siecles:
Du côté maternel : familles de paysans du Piemont. Des travailleurs, je pense qu'ils peuvent être content de ne pas m'avoir connu.....Faut dire que me lever à 6 heures du mat pour faire les travaux des champs ou traire les vaches, c'est pas vraiment une passion chez moi. J'pense d'ailleurs qu'ils m'auraient davantage considéré comme un "Crénomdjiou d'feignant d'la ville" ou un "Tudjieu d'saloupiaud d'blanc bec" (dans le patois local, evidemment), que comme un vrai membre de leurs famille. Mais des braves gens, pour sûr. J'crois d'ailleurs qu'il me reste des cousins et des cousines là-bas.....
Pour résumer, en fait c'était une famille tout ce qu'il y avait de plus honnete, obligée de quitter l'Italie et de rejoindre Marseille pour fuir Mussolini.
Du côté paternel : familles de Napolitains, qui jadis avaient énormement d'argent. Un des mes aieux était d'ailleurs un richissime entrepreneur du coin, malheureusement, il a perdu toute sa fortune au jeu, plongeant la moitié de son village dans le chômage. Dire que si il avait pas fait le con, à l'heure qu'il est, j'aurais sans doute racheté l'OM, on aurait une équipe de feu et je serais pas en train de raconter un ramassis de conneries avec une bande de joyeux cintrés sur un forum de foot. Enfin bon.....(soupir).....
Pour résumer, en fait c'était une famille tout ce qu'il y avait de plus malhonnete, obligée de quitter l'Italie et de rejoindre Marseille pour fuir le fisc et la Camorra.....
Voilà :mdr3:

Elu par acclamation Président du OMForum Dining Club.
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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
a peu de choses près c'est toi qu'on aurait traité et dont on voudrait le départ, pas MLD
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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
Lui et sa famille aurait abattu viré Anigo, les parasites, les joueurs inconstants. Ils auraient mis un vrai président à la tête de l'OM. Un "parrain". Ils auraient mieux géré l'argent, investi.
Et l'OM aurait été 5 fois champion de L1, gagné 3 Coupes de la Ligue, 4 Coupes de France et la Ligue des Champions une nouvelle fois.
Et l'OM aurait été 5 fois champion de L1, gagné 3 Coupes de la Ligue, 4 Coupes de France et la Ligue des Champions une nouvelle fois.

- urba
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Re:
Fun fact, j'ai appris l'année dernière qu'elle était probablement juive. Il manque juste un rom dans mon arbre généalogique pour toucher le bonus super spécial pas aryen, mais vraiment pas aryen du tout.urba a écrit : Mon arrière grand mère était fille mère d'une grande famille bourgeoise à Bâle et du coup elle a abandonné ma grand mère paternelle
«Je connais bien le monde ouvrier, j’en ai licencié des milliers» Donald Trump
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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
Malgré tous tes efforts tu ne te débarrassera pas de moi ainsi 

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Re:
vacaloca a écrit :sympa, plein de gens tout mélangés comme moi! ce qui est marrant à annonay ou je suis en ardèche, c'est que presque tous toute leur famille a toujours vécu là, pur ardéchois de souche... Moi pas du tout!

Matías Almeyda : Le culte du résultat peut tuer le foot d'ennui.
Marv : J'exige rien d'autre que de l'émotion, je serai très content si on finit sans rien gagner.
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Marv : J'exige rien d'autre que de l'émotion, je serai très content si on finit sans rien gagner.
Membre du OMForum dining club
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Re: Re:
Il te manque d'être fan de basket dans ta panoplie.urba a écrit :Fun fact, j'ai appris l'année dernière qu'elle était probablement juive. Il manque juste un rom dans mon arbre généalogique pour toucher le bonus super spécial pas aryen, mais vraiment pas aryen du tout.urba a écrit : Mon arrière grand mère était fille mère d'une grande famille bourgeoise à Bâle et du coup elle a abandonné ma grand mère paternelle
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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
Tu m'aimes toujours ? Malgré ce qui nous sépare ?Spartakus a écrit :Malgré tous tes efforts tu ne te débarrassera pas de moi ainsi

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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
Bah tu sais...on ne partage plus de secrets, on ne partage plus nos joies, on se dit plus grand chose quand on se voit (sur le forum)
Notre passé c'est comme de la poussière qu'on souffle sur un meuble. Quand je pense à tout ce qui nous sépare sans plus rien qui répare (notamment en politique où j'ai eu le tort de rester authentiquement de gauche)
Comme deux ombres à l'écart j'ai perdu ma lumière intérieure, perdu mon petit phare. Ça éclairait tous mes sourires, maintenant je ne vis plus que dans le noir (sans mauvais jeu de mot)
C'est comme finir ses jours en prison, ce qui me fait tenir c'est l'absence de raison (j'arrive vraiment plus à te comprendre)
Je pourrais interpréter tes silences (comme dans le topic "nouvelles des gens pas là" où tu snobes mon pseudo quand bédé et Champoul parlent de moi) mais ça me dit plus trop rien.
Quelle est la valeur des choses si ce qu'on échange coûte plus rien ? (Je te le demande...)
Trahis et dérisoires c'est comme une révolution (du genre de celle que tu réfutes et critiques maintenant) un pays qu'on raye d'une carte ( comme celles impérialistes que tu vas soutenir)
Je savais très bien le pourquoi, le comment même avant que tu partes (Car oui tu avais déjà changé avant le Canada, ici, en France
).
Au nom de tout ce qui nous sépare, salis et sans espoir...au nom de tout ce qui nous sépare (je t'aime quand même encore
)

Notre passé c'est comme de la poussière qu'on souffle sur un meuble. Quand je pense à tout ce qui nous sépare sans plus rien qui répare (notamment en politique où j'ai eu le tort de rester authentiquement de gauche)

Comme deux ombres à l'écart j'ai perdu ma lumière intérieure, perdu mon petit phare. Ça éclairait tous mes sourires, maintenant je ne vis plus que dans le noir (sans mauvais jeu de mot)

C'est comme finir ses jours en prison, ce qui me fait tenir c'est l'absence de raison (j'arrive vraiment plus à te comprendre)

Je pourrais interpréter tes silences (comme dans le topic "nouvelles des gens pas là" où tu snobes mon pseudo quand bédé et Champoul parlent de moi) mais ça me dit plus trop rien.
Quelle est la valeur des choses si ce qu'on échange coûte plus rien ? (Je te le demande...)
Trahis et dérisoires c'est comme une révolution (du genre de celle que tu réfutes et critiques maintenant) un pays qu'on raye d'une carte ( comme celles impérialistes que tu vas soutenir)
Je savais très bien le pourquoi, le comment même avant que tu partes (Car oui tu avais déjà changé avant le Canada, ici, en France

Au nom de tout ce qui nous sépare, salis et sans espoir...au nom de tout ce qui nous sépare (je t'aime quand même encore

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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
Spartakus a écrit :
Notre passé c'est comme de la poussière qu'on souffle sur un meuble. Quand je pense à tout ce qui nous sépare sans plus rien qui répare (notamment en politique où j'ai eu le tort de rester authentiquement de gauche)

Ah non, je proteste, j'ai juste dit que tu n'étais pas parti. Je refuse de faire l'épitaphe de quelqu'un qui n'est pas mortSpartakus a écrit :
Je pourrais interpréter tes silences (comme dans le topic "nouvelles des gens pas là" où tu snobes mon pseudo quand bédé et Champoul parlent de moi) mais ça me dit plus trop rien.

Je ne cesse de penser à toi. Pourquoi ? Comment ? Tu étais un si gentil petit garçon, serviable et poli. Quand et pourquoi as-tu basculé dans cette perversité innommable ? Pourquoi ? Cela ne cesse de me hanter. Est-ce que j'aurais pu faire quelque chose ? Porter plus d'attention à ton mal-être ? Sentir venir le changement ? Le glissement ? Je suis tellement désolé de ne pas t'avoir accompagné aux moments où tu avais besoin de moi, de nous.Spartakus a écrit :
Au nom de tout ce qui nous sépare, salis et sans espoir...au nom de tout ce qui nous sépare (je t'aime quand même encore)

Mais j'ai encore dans mon porte-feuille quelques posts de Tapie Fan de 2005 que j'avais imprimé. Et je les relis souvent avec nostalgie, vestiges d'une innocence perdue, brûlée par la flamme.

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Re: Origines, complexe autant qu'étrange
C'est à la fois
et 

