l'heure est grave !!!!!
surprise par l'article sortant de chez elle la DNCG a publié en catastrophe un démenti
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http://www.footpro.fr/detail_article.as ... ey=dncg</a>
ce serait rigolo et sans conséquence s'il n'y avait un autre article plus sérieux celui là
et surtout indépendant de la DNCG
Une étude qui souligne la fragilité financière de certains clubs français
PARIS, 14 avr (AFP) - La situation financière des grands clubs de football français est "fragile" et "très difficile", tant en termes de structure de bilan, de situation de trésorerie que de rentabilité d'exploitation, souligne une étude du cabinet de conseil Bourse Finance Sport (BFS) publiée lundi.
Si beaucoup d'investisseurs croient dans le potentiel économique des clubs de Ligue 1 française, l'étude de BFS explique que "pour l'instant, le retour sur investissement et la rentabilité ne sont malheureusement pas au rendez-vous."
"Sur les cinq dernières années, la Ligue 1 française a en effet dégagé plus de 110 millions d'euros de pertes, dont près de la moitié au cours de la dernière saison, si bien qu'un grand nombre de clubs se trouvent aujourd'hui dans une situation financière très difficile", résume BFS dans un communiqué.
"La structure de bilan des clubs est insuffisante et fragile, marquée par un très faible niveau d'actifs, une absence de reconnaissance comptable et financière des moyens d'exploitation des clubs, et un niveau d'endettement trop élevé", selon le cabinet de conseil.
La situation de trésorerie, "excédentaire à la lecture des états financiers", "masque en fait une situation endogène de quasi cessation de paiements pour certains clubs ainsi qu'une absence totale de création de valeur pour les investisseurs", ajoute-t-il.
"Recettes insuffisantes"
En effet, selon les chiffres diffusés par la Direction nationale de contrôle et gestion (DNCG) des clubs professionnels, la situation de trésorerie consolidée de l'ensemble de la L1 était l'an dernier positive de 104 millions d'euros, a précisé à l'AFP Hervé Varillon, directeur associé de BFS.
"Mais en corollaire, les avances en compte courant des actionnaires atteignaient 142 millions d'euros fin 2002. Les trésoreries sont donc très tendues", a-t-il ajouté.
Enfin, la rentabilité d'exploitation des clubs a été "fortement négative" en 2002, de 166 millions d'euros pour l'ensemble de la L1, précise l'étude. Les huit clubs les plus huppés ont enregistré 177 millions d'euros de pertes alors que les 12 autres ont dégagé 11 millions d'euros de bénéfices.
Les raisons en sont des recettes "notoirement insuffisantes" et inférieures de plus de 50% à celles des principaux clubs européens; des dépenses de fonctionnement "mal maîtrisées et en forte croissance"; un coût salarial "trop important", compris "entre 75% et 80% des recettes", en raison notamment "de la forte pression sociale et fiscale sur les rémunérations"; enfin un manque de retour financier des centres de formation des grands clubs.
Au-delà du constat, BFS fait des propositions pour que les clubs utilisent mieux leurs ressources et rendent leur structure financière plus solide.
En résumé, il s'agit d'augmenter et de diversifier les sources de revenus; de mieux maîtriser les coûts; et de mieux refléter la valorisation des clubs, notamment celle de leurs joueurs, dans les états financiers.
Bourse Finance Sport présente en particulier une méthode comptable de valorisation des joueurs, valeur qui n'est pas prise en compte actuellement en France. "Seuls certains clubs de Grande-Bretagne ont commencé à avoir cette approche", a précisé Hervé Varillon.
j'ai bien peur que certains clubs courent droit à la catastrophe :fuck2:
l
"Quand le mensonge et la crédulité s'accouplent et ils engendrent l'opinion " ...et c'est encore plus vrai aujourd'hui
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille". 
- Bienvenu au petit Lubo!
:sleep2: