Avis mitigé au final, je suis resté sur ma faim. En gros c'est Gilles de la Tourette qui joue les enquêteurs dans une affaire politico-business.
- La photographie est vraiment plaisante, quelques décors sympas mais aussi pas mal de fonds verts "visibles".
- L'intrigue et le suspens montent bien tout au long du film, la chute est décevante.
When you’re good at something, you’ll tell everyone. When you’re great at something, they’ll tell you.
Ce soir, je me fais "Assault on Precinct 13" de John Carpenter. J'en profite pour dire qu'il y a une semaine de ça, j'ai vu, pour la première fois, Invasion Los Angeles. Je connaissais bien évidemment le film-culte, mais je ne l'avais jamais regardé. Franchement, un bon film de série Z. On est pas loin du nanard.
Assault on Precinct 13 est un film de série B. Est-ce un mal ? Non. J'ai appris que c'était le 1er film "pro" de John Carpenter qui assume son côté série B (100 000$ de l'époque soit plus de 600 000 aujourd'hui). En revanche, c'est le genre de films qui devient "culte" chez beaucoup de gens car c'est bien de le dire. Dans une ITW, Carpenter expliquait qu'à sa sortie, Assault on Precinct 13 avait fait un flop et les critiques étaient mauvaises (je suis pas étonné).
En tout cas, ça jouait mieux que dans Invasion Los Angeles et je n'ai pas regretté de l'avoir vu.
Les critiques *US* étaient mauvaises.
Quand il arrive en Europe, le film fait quelques festivals (Cannes, Londres) et les critiques européennes sont super positives, ce qui a amené les ricains a se dire que tiens, peut-etre qu'une fois de plus ils avaient rien compris.
Quant a son statut culte, c'est surtout que comme beaucoup des films de Carpenter, c'est une fois qu'on se rend compte de l'influence du truc qu'on se dit que tiens, peut-etre que le mec avait pas fait n'importe quoi.
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Le melange des genres (western urbain), la gestion de l'espace, le cote abstrait de la menace permanente, c'est plein d'elements interessants.
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Je suis en partie d'accord avec toi, mais le film ne me laissera pas de grands souvenirs. Comme pour Invasion Los Angeles, je termine le film en me disant "tout ça pour ça ?"
Parce que le héros du film est un raciste primaire et que tu te sens persécuté ?
Il y a deux trois passages bien marrants, pour le reste c'est très patriotique, go-america, que ça m'a un peu saoulé (un peu comme Argo ou tant d'autres films qui te foutent ce putain de drapeau américain dans la tronche sans arrêt). Mais ça reste un chouette film.
Mikabxl a écrit :Parce que le héros du film est un raciste primaire et que tu te sens persécuté ?
Il y a deux trois passages bien marrants, pour le reste c'est très patriotique, go-america, que ça m'a un peu saoulé (un peu comme Argo ou tant d'autres films qui te foutent ce putain de drapeau américain dans la tronche sans arrêt). Mais ça reste un chouette film.
Pas vu Argo, mais j'ai pas trouvé Gran Torino franchement "go America", tout juste légèrement réac dans la façon dont il décrit les rapports familiaux, et encore...
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Gloria Mundi : Guediguian VS Gaudin. Film ultra pessimiste sur Marseille, mais y’a les gros seins de Lola Naymark et le petit cul de Anais Demoustier, alors c’est plaisant
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Retour à Zombieland: Pas désagréable mais aussi dispensable que Grégory Sertic
Sa plus grosse humiliation publique depuis le Juventus-PSG 6-1 de 1993 ? Le temps qui me reste à vivre est trop limité pour que je le perde à voir cette daube
Et le petit cul de Ana De Armas qui sauve Knives Out t'en parles pas ?
Moi j'ai bien aimé Les Misérables, y compris la fin. Evidemment c'est pas du tout réaliste, mais personnellement ça m'a pas choqué parce qu'au final pour je ne sais quelle raison le film entier m'a un peu fait l'effet d'une fable, où le symbolique l'emporte sur le naturalisme. Et en ce sens, la fin est très forte symboliquement j'ai trouvé.
bueno_coco a écrit :Et le petit cul de Ana De Armas qui sauve Knives Out t'en parles pas ?
Elle vomit pendant au moins la moitié du film. Ça ferait débander n’importe quel homme (à part peut-être Juan)
Vu hier. Énorme navet. J'adore les films d'enquête et les américains n'y pigent rien. L'accent de Craig est apocalyptique, les personnages monolithiques, les rebondissements grotesques et innombrables. J'ai pas compris si ça se voulait parodique, mais c'est subtil comme une poutre.
Modifié en dernier par Hyde le dim. déc. 08, 2019 10:56, modifié 1 fois.
Côté box office, ça va et pour les avis, c'est largement positif. 97% sur Rotten Tomatoes, 4,1/5 sur Allociné. Bon, en même temps, "Séduis-moi si tu peux" a eu d'excellents retours alors que c'est franchement pas terrible.
Oui, j'ai vu que ça avait plutôt de très bonnes critiques. Rotten Tomatoes, je ne m'y fie pas en revanche. Là mon erreur ça a été qu'une copine m'a proposé ce truc, j'ai vu "Daniel Craig" et je pensais que c'était un film anglais qui serait d'un académisme bon teint et qu'en fait le réalisateur est américain.
C'est quand même très énervant quand quelqu'un fait un film de genre et n'a rien compris à la substantifique moelle du genre qu'il utilise, mais enfin.
Knives out est une belle daube effectivement.
Mal joué, rebondissements de merde, dénouement pareil.
La petite Ana qui vous fait fantasmer ne sauve pas le film vu qu'elle joue une infirmière latino qui se vomit dessus dès qu'elle ment. bref à éviter.
When you’re good at something, you’ll tell everyone. When you’re great at something, they’ll tell you.