Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Donc ce dernier PREATOR c'est du premier degré. Vraiment ils ont voulu faire un bon film
C'est pas un nanard assumé
Le PSG ne s'interdit pas le rêve! Nous avons de l'ambition de monter une grande équipe européenne la saison prochaine. Christophe Landrin est notre 1ère recrue.
P. Blayau - mai 2005
Maire d'OMFORUM du 06/03/2020 au 10/03/2020 - Wolves Killer : CAMARGUAIS rip, PIGBOSS rip, BUENO rip
Predator, le premier; c'est de Mc Tierman, soit probablement le meilleur réalisateur de film d'action qui puisse exister. Shane Black, il peut tout juste lui arriver au niveau du mollet.
Fondue savoyarde > Raclette > Tartiflette > Tout le reste
Shane Black a fait des films que j'ai adorés (réal ou scénariste)
- Kiss Kiss Bang Bang (un régal à chaque fois que je le revois)
- The Nice Guys (moins bon mais de qualité)
- L'Arme fatale (film culte)
- Predator (il a travaillé comme script doctor)*
Lionel1119 a écrit :Predator, le premier; c'est de Mc Tierman, soit probablement le meilleur réalisateur de film d'action qui puisse exister. Shane Black, il peut tout juste lui arriver au niveau du mollet.
Ils ont surtout rien a voir. Je pense pas qu'au niveau de la realisation, Shane Black ait la pretention d'avoir la maitrise de McTiernan.
McT en terme de mise en scene pure, c'est en effet une des references du genre. Mais Shane Black comme scenariste et dialoguiste... Il est capable de mettre un rythme fou dans une scene a priori banale.
Le mieux etant lorsqu'ils collaborent, comme sur Last Action Hero
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Ah putain je comprenais pas pourquoi vous parliez de Shane Black, je savais même pas qu'ils avaient encore sorti un reboot/remake en 2018 J'en étais resté sur le Predators film d'auteur avec Adrien Brody. C'est de l'acharnement cinématographique là, faut appeler WWF et L214, qu'on la laisse tranquille cette pauvre bête.
En parlant d'acharnement sur film animalier, hier j'ai appris qu'ils avaient fait NEUF films Beethoven. Le gros toutou baveux.
Soit presque un par symphonie
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Je parlais de Shane Black en tant que réalisateur, pas comme scénariste. The Nice guys ne m' a pas emballée et Iron Man 3, je n'en dirai rien par politesse. Par contre jamais vu Kiss Kiss Bang Bang ( faudra donc que je remédie à ceci)
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Marv a écrit :En parlant d'acharnement sur film animalier, hier j'ai appris qu'ils avaient fait NEUF films Beethoven. Le gros toutou baveux.
Soit presque un par symphonie
Je garde beaucoup d'affection pour le premier, notamment grâce à la musique de Randy Edelman (et c'est marrant de voir Stanley Tucci cachetonner dans ce genre de film, comme Joe Pesci dans Maman j'ai raté l'avion)
D'ailleurs à propos de Beethoven, l'un d'entre vous aurait vu Ludwig Van B avec Gary Oldman Il parait que c'est un super biopic mais je n'ai jamais eu l'occasion de le voir.
Lionel1119 a écrit :Je parlais de Shane Black en tant que réalisateur, pas comme scénariste. The Nice guys ne m' a pas emballée et Iron Man 3, je n'en dirai rien par politesse. Par contre jamais vu Kiss Kiss Bang Bang ( faudra donc que je remédie à ceci)
Ok
Oui dans ce cas la, c'est pas le meme calibre. McT c'est autre chose (aaaah, que n'a-t-il pu faire son 13e guerrier comme il le voulait).
Et Kiss kiss bang bang, rue toi dessus, c'est top. Super punchy, super rythme, des repliques vraiment hilarantes.
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goodcar a écrit :
Remplacer la musculature de Schwarzenegger par celle de Brody, c'est très pertinent.
Heu, quand meme.
De ce que je me rappelle, il avait suivi un entrainement particulier pour le role pour prendre du muscle justement pour pas avoir l'air d'une crevette.
Enfin oui c'est pas la gonflette a Schwarzy mais ca va.
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Vu IO, film post apocalyptique signé Netflix. L'ennui total. Un film parfait pour ceux qui aime la lenteur, les longs plans. Il ne manquait plus que le tic tac d'une horloge et on était en plein cinéma français. En fait, le réalisateur est français.
À un moment donné, le côté "intimiste" ne doit pas justifier l'absence total de rythme. Pas d'effet spéciaux, pas de suspense, pas de haut du rythme cardiaque, juste une femme puis un homme.
Je me suis tellement emmerdé que j'ai accéléré le film. Entre le début et la fin, absolument aucun changement.
Sur les différents sites, IO a tout juste la moyenne (un exploit). Je rappelle que tous les Fast And Furious ont obtenu de meilleures notes.
Pour info, l'actrice principale, c'est la nana en robe verte qui danse comme une tarée dans une pub pour un parfum.
Leave No Trace, qui démarre comme un conte survivaliste pour au final aborder des thèmes familiaux fondamentaux dans un contexte inhabituel (mais transposable) et devenir une histoire de passage a l'age adulte et d'émancipation, entre autres.
Le film est tout en non-dit, se concentre sur la relation pere-fille de l'instant plutot que de se perdre dans des flashbacks explicatifs. Meme les conflits entre les différents protagonistes se font de maniere suggérée.
Visuellement, Granik (dont le boulot me plait vraiment beaucoup apres Winter's Bone, avec lequel il y a des paralleles - jeune heroine etc, mais le climat est tres different) resiste a la tentation de filmer les scenes dans la nature de maniere excessivement idealisée et parvient a restranscrire l'aspect minimaliste de l'environnement et des echanges. Elle evite la derive "Robinson Crusoe, la nature c'est bieng vivons tout nus loin de la mechante pollution" pour apporter une vraie reflexion sur la difficulte de s'engager sur ce chemin et l'impact de la decision.
Il y a un travail genial au niveau du son, qui souligne le calme de l'environnement naturel avant d'exagerer le volume des bruits de la civilisation.
Impossible de parler du film sans mentionner les deux acteurs principaux. Le toujours sous-coté Ben Foster arrive a trouver cet equilibre entre intériorisation et expression alors qu'il est tiraillé entre son propre engagement et les besoins de sa fille, et Thomasin McKenzie de son coté joue avec le mélange fragilité/incompréhension pour finir sur une triste détermination, toujours dans le registre sobre.
Bref, je recommande chaudement, surtout a ceux qui auraient aimé Winter's Bone et n'aurait pas encore vu ça.
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Le jour où je vais mourir, c'est là que vous allez prendre conscience de mon apport. Vous voulez pas en profiter ? Tant pis pour vous, pauvres merdes...
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".