Ce soir à la téloche

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Martin
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Martin »

Hahahaha, moi non plus mdr3
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si-ma-tante-en-avait
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Re: Ce soir à la téloche

Message par si-ma-tante-en-avait »

Y'en a qui ont compris et c'est justement ceux que j'espérais. #CSP+ :oops:
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Hamada Jambay
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Message par Hamada Jambay »

mdr3
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Kieros
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Kieros »

Tiens hier soir y'avait 2 films d'action bien bourrin. Die Hard 4 avec Bruce Willis, pas terrible, mais surtout Human Bomb avec Nicolas Sarkozy. Quel acteur quand même.

Du coup je me suis replongé dans l'histoire de ce Human Bomb, aka Erick Schmitt, et suis tombé sur cet excellent article de l'Obs. On dirait le résumé d'un livre de Michel Houellebecq.
"Le Nouvel Obs" retraçait le 20 mai 1993 l'itinéraire d'Erick Schmitt, l'informaticien sans histoire qui a plongé pendant 46 heures la France dans la terreur. A relire 20 ans après.

(Article publié dans le "Nouvel Observateur" du 20 mai 1993)

Samedi matin 15 mai. 7h20. L'homme en cagoule dont on ne connaît pas encore le nom et que toute la France appelle "HB", baisse la tête. Les hommes du RAID, qui le surveillent sur leur écran relié à la caméra dont HB a accepté la présence dans la salle n°8, le voient s'affaisser, s'endormir. Il a lâché le détonateur qui commande l'explosion des bâtons de dynamite disposés dans la pièce. "HB" est à découvert.

Les hommes du RAID sont prêts à bondir. Mais ils se méfient encore. L'homme à la cagoule n'est peut-être pas encore endormi. il fait peut-être semblant. Les GM en attendent le signal que doit leur donner Evelyne Lambert, le capitaine-médecin des pompiers de Paris qui a relayé l'institutrice Laurence Dreyfus auprès de six petites otages.

Prêt à se rendre pour sauver sa vie


7h25. Evelyne Lambert adresse le signal convenu : elle déboutonne le premier bouton de sa blouse. Ça veut dire que, selon elle, il y a le maximum de chances pour que "HB" soit hors-circuit. Toutes les chances, ça signifie seulement le maximum de chances. Il n'y a pas de certitude. Il n'y en a jamais dans une prise d'otages. Mais c'est, au bout de 46 heures d'attente, le moment où la probabilité du risque approche le plus de zéro. Louis Bayon, le patron du RAID, lance l'assaut. Ses hommes en ont mémorisé tous les gestes. Ils sont concentrés comme des athlètes de haut niveau.

C'est le vendredi matin, 24 heures après son irruption dans la classe de Laurence Dreyfus, que "HB" a perdu son assurance minérale. A ce moment, il comprend qu'il peut être tué. Jusque-là, il se sentait invulnérable. "Il éprouvait un sentiment d'omnipotence", dit Pascal Cormier, l'un des psychiatres de l'Hôtel-Dieu qui ont aidé les policiers à cerner sa personnalité. "HB" se croyait invincible puisqu'il avait tout prévu. S'il laissait sortir l'institutrice de la salle n°8, c'est qu'il était sûr qu'elle reviendrait prendre sa place d'otage. Personne ne pouvait lui échapper. Sa gentillesse avec les enfants et avec Laurence Dreyfus, c'était de la condescendance plus que de la vraie gentillesse. Il se sentait si fort qu'il pouvait s'offrir le luxe d'être aimable. Mais à 10 heures, ce vendredi matin, il n'est plus sûr de rien. Il semble prêt à se rendre pour sauver sa vie.

Pendant 65 minutes, il négocie sa reddition avec le procureur des Hauts-de-Seine, Pierre Lyon-Caen, qui lui offre de protéger sa sortie et qui lui garantit en prison une cellule individuelle où il sera à l'abri des représailles - les taulards ne pardonnent jamais les crimes contre les enfants. "Nous avons analysé la situation lui et moi, dit Pierre Lyon-Caen. Nous étions d'accord : il ne pouvait pas s'en tirer." Il y a toujours un moment dans une prise d'otages où le rapport de force psychologique s'inverse en faveur des policiers. Ce moment est arrivé. "HB" est sur la défensive. Ce n'est plus lui qui pose ses conditions. Il est demandeur. Il se reprendra dans l'après-midi, mais le coeur n'y est plus, la machine est cassée.

Vouloir dormir, c'est vouloir en finir


Dans la nuit de vendredi à samedi, "HB" se désintéresse de la fabuleuse rançon qu'il a exigée et qu'on a commencé à livrer dans des sacs postaux et des cantines. D'ailleurs, s'il a demandé une somme si élevée qu'elle représente un volume intransportable, c'est que le mobile de son geste est plus suicidaire que crapuleux. Au capitaine Lambert il a confié : "J'ai demandé 100 millions de francs parce que j'ai une chance sur 100 millions d'en sortir vivant." Cette chance, que lui offrait Pierre Lyon-Caen, il ne l'a pas saisie.

Le vendredi à 22h30, "HB" ne veut plus partir. Il ne croit plus au succès de son entreprise, s'il y a jamais cru. Il ne croit plus à ses scénarios de fuite si méticuleusement élaborés. Il se rend compte qu'il a laissé passer le coche. Il n'a plus aucune porte de sortie. Alors, il s'enferme parce qu'il se sent enfermé. Il réclame des pyjamas, des matelas pour les enfants. Il veut qu'on le laisse tranquille jusqu'au lendemain 7 heures. Il veut dormir. Quand on est assiégé par les flics les plus pointus de France, et qu'on s'est attiré la haine de tout un pays, vouloir dormir, c'est vouloir en finir. Pour Erick Schmitt, la route s'arrête là. En cul-de-sac.

Il y a des vies qui valent à peine d'être vécues. Celle d'Erick Schmitt débute le 31 juillet 1951 à Burdeau, près de Sidi-bel-Abbès, en Algérie, où son père est sous-officier dans l'armée. Erick est le troisième enfant du couple, après Anne-Marie, dont il restera toujours très proche, et Jean-Claude, qui sera un temps son modèle. C'est une famille ordinaire qui, comme tant d'autres, traverse la Méditerranée en 1963, puisque l'Algérie n'est plus la France. La première fracture de la vie d'Erick Schmitt est celle d'un million d'autres rapatriés.

Les Schmitt posent leurs valises à Rosny-sous-Bois, puis s'installent à Cers, un petit village de viticulteurs proche de Béziers où ils venaient en vacances - le midi, pour des dizaines de milliers de pieds-noirs, c'est encore un peu comme "là-bas"... Dans le centre de Cers, ils achètent un vieux café et le transforment en pavillon, avec tonnelle et jardinet. Ils ne se font guère remarquer. Tout au plus sait-on que la mère, Marie, est "très pieuse", et que le père, Camille, est "courtois et autoritaire". Il converse en arabe avec les Maghrébins du village, élève ses enfants dans le souci de l'ordre.

Il voudrait devenir quelqu'un mais il n'est personne

A 16 ans, Erick - "mieux éduqué que les enfants de la vigne", se souviennent les voisins - s'engage à son tour dans l'armée. Il sert comme sous-officier dans l'armée de terre, apprend le maniement des armes et des explosifs, obtient le grade de sergent-chef. Vingt ans plus tard, il n'a rien oublié. Dans la classe de maternelle Commandant-Charcot où il s'est retranché, il a installé une véritable machine infernale : 21 bâtons de dynamite répartis dans deux angles de la pièce, une ceinture d'explosifs scotchée autour de sa taille, le tout relié à une commande manuelle, qu'il ne lâchera pas pendant près de 48 heures. Aux policiers qui lui proposeront, durant la dernière nuit, d'échanger sa "bombe" contre un revolver, il demandera un Berreta... en pièces détachées. Pour s'assurer lui-même du bon fonctionnement de l'arme. "A ce moment-là, raconte un policier du RAID, nous avons compris que nous avions affaire à un spécialiste..."

Est-ce par lassitude, par manque de reconnaissance ? En 1974, Erick Schmitt quitte l'armée. Il veut entamer une seconde vie. Quitter l'uniforme, sortir du moule, devenir quelqu'un par lui-même. Avec son frère, il cherche du travail dans la région parisienne. La même année, il divorce d'une épouse qu'au village de ses parents personne n'a jamais vue. Le couple n'a pas eu d'enfant. Pour Schmitt, c'est un rêve qui fout le camp. rigoureux, méthodique et solitaire, il s'accroche à son unique don : l'informatique, cet autre monde fait de chiffres et de logique. Le voici inspecteur de la maintenance chez IBM, homme sans relief perdu dans l'anonymat de la banlieue parisienne.

Son ambition est celle de tout le monde : il voudrait devenir quelqu'un mais il n'est personne. il vit à Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, dans un trois-pièces sans luxe d'un petit immeuble gris, acheté en 1981. " Au début, ses parents venaient le voir souvent, se souvient André Villion, un vieux locataire du premier étage. Puis, il est resté tout seul. Durant les sept années qu'il a passées ici, je ne l'ai jamais vu avec une femme. Il avait monté une petite société d'informatique, posé une plaque sur sa porte..."

D'échec en échec

Créée en 1980, France Système Maintenance Hardware, la SARL dont il avait installé un siège social à son domicile, est en cessation de paiement en décembre 1987. Le passif avoisine les dix millions de francs. Cette faillite en annonce d'autres. Pour Schmitt, le retour sur terre est brutal. Une locataire du deuxième évoque ses "difficultés financières avec le syndic de l'immeuble". Il n'arrive plus à payer ses charges. Il doit revendre son appartement, travailler comme consultant externe chez Thomson, puis à l'Institut de Maintenance des Pays de la Loire. Il s'enfonce. Un an plus tard, il est licencié. "On croyait qu'il s'était casé, se souvient Gilles, un de ses copains d'enfance, à Cers. Et puis on l'a vu ressurgir pour pointer au chômage à Béziers."

Ultime tentative pour remonter à la surface : la création d'une nouvelle société d'informatique, sans doute dans l'Hérault - mais dont on n'a pu retrouver la trace -, avec le concours de son père, ancien comptable. Nouvel échec. Rattrapé par son passé, Erick Schmitt est condamné, le 29 mai 1990 par le tribunal de commerce, à cinq ans "d'interdiction de gérer, diriger, administrer, ou contrôler, directement ou indirectement, toute entreprise commerciale ou artisanale". Il doit fermer son entreprise.

Qu'est-il devenu ensuite ? Mystère. Les gens de Cers l'aperçoivent régulièrement, lorsqu'il vient rendre visite à ses parents, lorsqu'il sort acheter ses cigarettes (des brunes) au tabac du coin, lorsqu'il part à Portiragnes-plage, une station balnéaire voisine, où il pêche depuis des années. C'est là qu'il aurait rencontré, il y a quelques mois, une jeune Brésilienne dont il serait tombé amoureux. La jeune fille est repartie au bout de quelques semaines, le laissant seul avec ses ambitions brisées. Au village, les voisins l'aperçoivent, assis dans le jardin, durant des heures, en jogging, le menton dans les mains, le regard dans le lointain. Parfois, la lumière de son bureau est allumée en pleine nuit. Il pianote sur son ordinateur, fait des fichiers sur tout et n'importe quoi, rédige un journal intime. Un jeune voisin, qui passe tous les jours à l'aube devant la maison pour aller travailler, le voit souvent assis sur la terrasse, seul, prostré. "Il avait l'air si triste, raconte une voisine, il me faisait un peu pitié. Il avait l'air rejeté, mal aimé. J'aurais peut-être dû lui parler. Je n'ai pas osé..."

L'école Charcot, celle de la nomenklatura française


Il y a deux semaines, Erick Schmitt est revenu à Cers une dernière fois. Il est resté quelques jours auprès des siens avant de repartir en pleine nuit, comme il avait vécu, sans bruit. Une femme qui cherchait son chat l'a aperçu poussant sa R5, moteur éteint. Il était trois heures du matin. Personne, à Cers, ne le verra plus. Schmitt le solitaire, le renfermé, le silencieux, est devenu "HB". Aux policiers de la Brigade criminelle venus les interroger quelques heures après sa mort, ses parents déclareront seulement : "Quand il est parti, il était un peu déprimé. Depuis, on n'avait plus de nouvelles..."

Erick Schmitt était un humilié. Comme Erostrate incendiant le temple d'Ephèse, croyait-il accéder à l'immortalité par un geste dont l'énormité frappe toutes les consciences ? La lettre adressée à la police et à "France-Soir" le 7 mai, veille de l'attentat du parking de Neuilly destiné à préparer l'opinion, le montre : la principale justification de son acte fou était l'acte lui-même, dont il attendait un écho mondial. L'école Charcot était pour lui la cible idéale. D'abord parce qu'elle est située à Neuilly, le fief du ministre de l'Intérieur, qu'il voulait défier, dans le quartier Saint-James, le plus beau de tous les beaux quartiers du monde. Et parce que l'école Charcot, c'est celle de la nomenklatura française. Des voitures avec chauffeur y déposent les enfants. La société de restauration qui fournit la cantine envoie chaque mois au domicile des parents un dépliant sur papier glacé annonçant les menus des élèves pour le mois. Les parents sont hommes d'affaire, diplomates, hauts fonctionnaires ou concierges. On les écoute. Un père, baron de son état, a fait supprimer de la bibliothèque un livre qu'il jugeait vulgaire, "Pépé dans les HLM." Ce même baron, membre du Jockey-Club, invite tous les ans à sa table les maîtres de ses enfants, comme des précepteurs particuliers.

Erick Schmitt, sans doute, ignorait ces détails, mais il savait qu'en s'attaquant à cette école, il atteindrait les riches et les puissants, ceux qu'il jugeait responsables de son naufrage. Surtout, il était sûr du retentissement médiatique. Dans son délire paranoïaque, il a voulu organiser ce qui serait, selon l'expression de Pascal Cormier, "l'apothéose de lui-même" - ou son apocalypse. Les policiers du RAID en ont tenu compte. Sur les conseils des psys, ils ont joué sur la corde narcissique pour le calmer. Pendant les 46 heures de la prise d'otages, ils ont accepté le jeu de la médiatisation.

Depuis le 3 mai, "HB" vit cloîtré dans son appartement parisien. Penchée sur son ordinateur, il prépare son coup d'éclat, écrit par avance les lettres qu'il remettra aux policiers durant "l'opération" : "Pour éviter le sort réservé à un preneur d'enfants en otage, je ne me laisserai par prendre vivant, et je suis déterminé à tout faire sauter si j'échoue. Mais l'un des principaux obstacles à la réussite de mon entreprise est la certitude d'être traqué massivement. Il n'y a qu'un seul plan pour cela : l'annonce par la police de mon élimination quelques heures après ma fuite..."

Il déroute l'armée des psychiatres et l'élite de la police


Sa mise en scène est en place. Où a-t-il trouvé la dynamite ? Les policiers l'ignorent. Peut-être près de Cers, où les viticulteurs utilisent ce type d'explosif pour faire sauter les vieilles souches dans les vignes. Erick Schmitt est un informaticien en plein "wargame". Parce que dans le parking de Neuilly, le 8 mai, il a mis son avertissement à exécution, personne ne pourra prendre ses menaces à la légère, lorsqu'il pénètrera dans l'école de la rue de la Ferme, au moment choisi par lui. Terroriser les parents, les ministres, la France entière : ce sera l'aboutissement de son existence. Enfermé dans la classe n°8, Schmitt-"HB" déroute l'armée des psychiatres, inquiète l'élite de la police. Pour être certain que ses demandes sont traitées par le ministre de l'Intérieur en personne, il exige qu'on lui apporte la carte d'identité de Charles Pasqua. Pour s'assurer que la France a les yeux braqués sur lui, il convoque un journaliste de TF1, se fait installer un téléviseur, un poste de radio. Pour pouvoir montrer aux parents que leurs enfants vont bien, il demande que l'on branche à l'intérieur de la classe un système vidéo. Cette vidéo qui sera la meilleure alliée des policiers...

Samedi 15 mai, à 7h20 du matin, sur leur écran de contrôle, les superflics du RAID surprennent "HB" en train de s'assoupir. Dix hommes en noir, cagoulés, bondissent dans la classe. Huit d'entre eux se précipitent sur les fillettes, les protègent avec des matelas, les entraînent vers la sortie. Deux autres foncent sur "HB" en brandissant leurs armes, munies de silencieux. Réveillé en sursaut, il fait un geste vers son détonateur, affirment les officiels. Trois coups de feu claquent. "HB" est projeté en arrière, trois balles en pleine tête. Les policiers ne lui retireront pas sa cagoule avant l'arrivée du corps à l'institut médico-légal. Dans une poche, ils trouvent sa carte d'identité. "HB", mort, retrouve un nom, un visage, l'esquisse d'une histoire : Erick Schmitt, né le 31 juillet 1951 à Burdeau, Algérie... Un chômeur anonyme qui voulait devenir quelqu'un, un homme déçu qui a raté sa vie, un informaticien déchu qui a programmé sa mort.

François Caviglioli et Hervé Gattegno avec Alain Chouffan, Marie-France Etchegoin, Anne Fohr et Gwennaëlle Aubry.
https://www.nouvelobs.com/societe/20130 ... -bomb.html
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Hamada Jambay
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Message par Hamada Jambay »

:neutral:

Merci pour le partage.
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Kobe974
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Message par Kobe974 »

Secrets d'histoire sur le prince Charles ce soir, ou comment un looser aura attendu toute sa vie la mort de sa mère
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G.bédécarrax
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Re: Ce soir à la téloche

Message par G.bédécarrax »

un informaticien déchu qui a programmé sa mort
:lol: :jazz:

Toute cette énergie pour sauver des futurs élus LREM :neutral:
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Kieros
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Kieros »

Mine de rien, Human Bomb avait inventé Loft Story avant l’heure. Filmé 24/24 dans une pièce sans pouvoir sortir, vous voulez qu’il fasse sauter le petit Jean-Gudule tapez 1, pour Marie-Hortense tapez 2.
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Basile Carmelo
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Message par Basile Carmelo »

Burger Quizz :clap2:
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
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Message par bueno_coco »

Deux semaines de suite que je vais pas pouvoir mater, putain.
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Basile Carmelo
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Basile Carmelo »

Première fois que je peux mater en direct !
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Kussock »

Il y a une blague évidente à faire mais laquelle ?
feur
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Mike Dust »

Farrugia et Chabat réuni, ça vaut quand même de l or.
Putain comme je regrette l époque des nuls.
A tué deux parisiens en une fois! :yeah:
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Basile Carmelo »

C'était vraiment cool encore une fois. Farrugia très bon :beer:

Et ce fou rire sur la merde d'hippopotame :grinj:
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Kieros »

C'était bon :grinj:

Et puis Commandeur, excellente recrue.
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Mike Dust »

Deux très bonnes émissions ce soir.
Et Bérénice Béjo :blush:
A tué deux parisiens en une fois! :yeah:
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bueno_coco
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Re: Ce soir à la téloche

Message par bueno_coco »

HOT
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Kobe974 »

Commandeur très très drole, farugia égal à lui même malgré le temps et la maladie, 2 très bons épisodes
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Hyde
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Hyde »

J'ai vu que la première émission, mais c'était vraiment très drôle :beer: J'adore Darmon, quel homme.

Burger Quiz doit d'ailleurs être l'émission avec le plus de juifs pieds-noirs oranais au km2.
"Farpaitement! Machin a raison!"
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Morandfaty
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Morandfaty »

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Martin
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Martin »

Dur.
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Kobe974 »

Bon bah on va arrêter de regarder vite fait alors
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Re: Ce soir à la téloche

Message par G.bédécarrax »

Ah, ils comptent pérenniser l'émission ? Je pensais que c'était un retour en mode one shot, mais c'est en fait un cheval de Troie.
Je comprends qu'ils entendent rafraîchir la liste d'invités pour qu'elle parle plus aux millennials, et cette phrase en fait c'est de la merde mais j'ai toujours rêvé de parler des millennials comme tout un chacun.
Après dans l'absolu je trouve ça plutôt sain de vouloir moderniser le truc.
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PoF
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Re: Ce soir à la téloche

Message par PoF »

Objectivement, Combal est quelqu'un d'assez marrant. Par contre, il a absolument pas le profil pince sans rire pour présenter Burger Quiz. Y a un équilibre très subtil à trouver entre la débilité des questions et le sérieux du présentateur, Combal va être tout sourire et déconnant tout le temps, pour moi c'est une erreur de casting, non pas parce que Combal est foncièrement mauvais, mais simplement parce qu'il n'est pas du tout adapté au rôle.

S'il fallait du moderne, il fallait prendre Arnaud Tsamère par exemple, qui aurait été très crédible dans le rôle.
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Martin
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Martin »

Oui, très bonne idée Tsamère :beer:
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Re: Ce soir à la téloche

Message par Eiluj »

Ca va s'écrouler. Chabat c'est vraiment l'ADN de cette émission.
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Re: Ce soir à la téloche

Message par si-ma-tante-en-avait »

En gros, vous allez commenter chaque numéro de Burger Quizz ?
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Re: Ce soir à la téloche

Message par G.bédécarrax »

A priori oui, sauf peut-être le numéro 13, il paraît que ça porte malheur.
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Re: Ce soir à la téloche

Message par PoF »

Eiluj a écrit :Ca va s'écrouler. Chabat c'est vraiment l'ADN de cette émission.
C'est le meilleur possible mais avec Kad et O, c'était pas mauvais à l'époque. Moins bon mais pas mauvais.

Il suffisait de trouver un bon présentateur et il y en avait. Avec Combal par contre, j'y crois pas trop.
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si-ma-tante-en-avait
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Re: Ce soir à la téloche

Message par si-ma-tante-en-avait »

Je peux donner mon avis ?
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