"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
"[...] n'importe quel leader, s'il devrait décrire sa responsabilité en une phrase, sa fonction est d'éviter que ceux qui sont sous sa conduite plient face à l'adversité, cette équipe a dû affronter une avalanche, une infinité d'adversités, je n'ai pas réussi à ce qu'ils résistent, la responsabilité est mienne."
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
Bonsoir !
De retour à Paris après un week-end stéphanois pour fêter le mariage de ma cousine. 200 personnes au bas mot, belle ambiance. Le rapide coup d'oeil au score d'ASM-ASSE n'aura pas trop gâché notre soirée.
Mario Zatelli : «Le matin de la finale de la coupe de france je me suis réveillé avec 40 de fièvre. L'infirmière qui m'a visité a dit à mon capitaine, Jeannot Bastien, que je ne pouvais pas jouer. Et il lui a répondu : "Il crèvera peut-être sur le terrain mais il va jouer ! Même à l’agonie, on ne se passe pas du maillot de l’OM".
"Je suis le sergeant tirailleur Highway, j'ai descendu plus d'bières, ramassé plus d'pêche, baisé plus d'pouffiasses que vous tous ici bande de bleusaille".
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.
Ah tiens, ca me rappelle que c'etait mon idee de titre pour le topic, "Rencontre avec J. Oblak".
Go... Where ? That's right. Go where ? Where are you gonna go ? Where are you gonna run ? Where are you gonna hide ? Nowhere. 'Cause there's no one. Like you. Left.