Le PQSG ou le PQSI ?

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Monsieur Pourquoi
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Monsieur Pourquoi »

La MCN c'est surtout les médias qui l'ont instrumentalisé. Je ne sais pas si c'est la volonté du club. Mais je suis d'accord c'est pathétique.

BBC, MSN ça a du sens. MCN... Hm... Nous on a la TGP, c'est comme le TGV sauf que ça n'arrive pas à destination ?
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Francis_Perrin
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Francis_Perrin »

C'est avant tout un truc de journaliste ça :blaz:
C'est pas une "marque" mise en avant par le PSG
Le PSG ne s'interdit pas le rêve! Nous avons de l'ambition de monter une grande équipe européenne la saison prochaine. Christophe Landrin est notre 1ère recrue.
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G.bédécarrax
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par G.bédécarrax »

Ah mais je parle bien des média, en fait :grinj: Parce que oui, le PSG est leur club, non pas parce que ce serait le club qu'ils supportent, mais parce que c'est celui qu'ils promeuvent, leur principale source de revenus, et leur fournisseur d'articles OSEF écrits sur un coin de table. Et ils seront les premiers à se répandre en "unes historiques", en reportages "en immersion", en "cahier spécial 50 pages" pour travestir comme il se doit l'exploit légendaire qui se prépare. C'est une mascarade, littéralement, il n'y a pas d'autre mot.
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si-ma-tante-en-avait
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par si-ma-tante-en-avait »

Si, y'en a d'autres, mais tu ne fais aucun effort.
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Benedetto
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Benedetto »

G.bédécarrax a écrit :l'exploit légendaire qui se prépare.
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par White Label »

maintenant, quoiqu'ils fassent, personne ne rêvera jamais
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par MitroMiPasAssezGlou »

Benedetto a écrit :
G.bédécarrax a écrit :l'exploit légendaire qui se prépare.
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stramboise
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par stramboise »

White Label a écrit :maintenant, quoiqu'ils fassent, personne ne rêvera jamais

mdr3 mdr3 mdr3 mdr3 mdr3 mdr3 mdr3 mdr3

Punaise... c'est à cause de dialogues comme ça que le scénar de SMT pour "Bad Boys III" a été recalé à Hollywood !! :deg:
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par White Label »

j'avais la porsche turbo, et la blonde a coté était airbag apparent 99% du film, avant de mourrir.

c'étais bien

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Védégé
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Védégé »

Je vais faire une entorse à mon code de bonne conduite et partager avec vous cet article du Monde, réservé aux abonnés et cité il y a quelques posts précédents par Mitro sur le PQSG et sur le pourquoi du comment de Neymar et Mbappé. Parce qu'il est édifiant et que pour, une fois, le sujet est traité autrement que par l'exaltation fanatique ou par la récrimination moraliste, qui sont les deux versants du traitement infantilisant et habituel du football par la presse.
C’était un samedi d’avril, un mois jour pour jour après le match le plus calamiteux de l’histoire du Paris Saint-Germain (PSG). Les joueurs et les dirigeants avaient à peine fait le deuil de leurs ambitions en Ligue des Champions. Le souvenir de leur élimination humiliante face au FC Barcelone (défaite 1-6) torturait encore les esprits.
Ce jour-là donc, le 8 avril, le centre d’entraînement du club, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), reçoit la visite d’un VIP : Tamim Ben Hamad Al-Thani, l’émir du Qatar en personne, propriétaire du PSG depuis 2011 à travers le fonds Qatar Sports Investments (QSI). Ce souverain de 37 ans, à la stature imposante et à la poignée de main franche, vient rarement sur les terrains de football. S’il fait le tour des installations, ce samedi de printemps, c’est que l’heure est grave et qu’il faut trouver dès que possible la manière de relancer le PSG à la conquête de la Ligue des champions, son objectif prioritaire depuis six ans.
Faut-il écarter les dirigeants en place ? Non, du moins pas les plus en vue. En quelques mots discrets, il rassure son compatriote et ami Nasser Al-Khelaïfi, le président du club. Celui-ci restera à la fois l’exécutant numéro un et son homme de confiance. Unai Emery, l’entraîneur espagnol, sauve lui aussi sa tête alors qu’il se sentait menacé.

« Faites exploser la banque ! »

Les joueurs, alors ? Le cheikh Tamim ne laisse rien paraître, il a déjà d’autres priorités. Ses consignes, assez peu orthodoxes mais impératives, finissent par parvenir à la direction au mois de mai. En substance, « l’émir a dit : “Je m’en fiche, débrouillez-vous avec les règlements, mais faites exploser la banque ! Il me faut quelque chose pour réhabiliter le Qatar, lui donner une image positive” », assure un ancien dirigeant du PSG, qui, comme la plupart des personnes interrogées pour cette enquête, a requis l’anonymat.
Ce « quelque chose » s’appellera Neymar da Silva Santos Junior, dit Neymar, l’un des trois meilleurs joueurs du monde. Débauché durant l’été du FC Barcelone pour 222 millions d’euros – un montant record –, le Brésilien a pour mission de ramener enfin la Ligue des champions à Paris – ou plutôt à Doha – et de préférence dès le 26 mai 2018, date de la finale à Kiev (Ukraine). « C’est leur obsession : ils [les Qataris] sont très, très impatients », confirme une source interne au club.
Coup de folie ou coup de génie ? Neymar incarne en tout cas la nouvelle dimension du PSG, qui a battu le Celtic Glasgow 5-0 sur son propre terrain, lors de son premier match de la saison de Ligue des champions, mardi 12 septembre. C’est aussi la tête d’affiche d’un feuilleton mêlant, depuis six mois, foot, business et stratégie politique.


Tout commence donc à Barcelone, au soir de la débâcle. Alors que Nasser Al-Khelaïfi quitte furieux la tribune d’honneur pour rejoindre ses joueurs aux vestiaires, l’émir se rend compte que les plans échafaudés en 2011, à la prise de contrôle du club, virent à l’échec, malgré la quinzaine de trophées nationaux remportés en six ans.
« Au départ, il avait planifié de participer aux quarts de finale de la Ligue des champions, puis aux demies au bout de la troisième année et à la finale au bout de la cinquième, détaille un dirigeant du PSG. Cette progression a été stoppée à Barcelone. Ce fut un déclic pour les Qataris. Ils ont compris que le foot n’était pas une science exacte, qu’il fallait autre chose pour franchir ce palier. »

La partie des cheikhs

L’émir en est d’autant plus convaincu qu’il garde en mémoire une autre humiliation : l’élimination, en avril 2016, en quarts de finale de cette même Ligue des champions, par Manchester City. Une défaite moins spectaculaire, mais presque aussi douloureuse pour lui à titre personnel : le club britannique est la propriété du cheikh Mansour, membre de la famille royale de l’émirat d’Abou Dhabi, qu’une rivalité acharnée oppose au Qatar.
« L’émir en était malade, se souvient une source ayant ses entrées à Doha. Sur plein de sujets, il a la tête sur les épaules, mais dès qu’il s’agit des Emirats arabes unis, on change de dimension. Ce n’est plus du foot, ce n’est plus un club contre un autre, mais un pays contre un autre, et même un dirigeant contre un autre : ça vire au concours de testostérone ! »
Manchester City en 2016, Barcelone en 2017… Et dans la foulée, l’AS Monaco du milliardaire russe Dmitri Rybolovlev qui atteint, elle, les demi-finales de la Ligue des champions et remporte le championnat de France. L’émir riposte en joueur de poker : il joue gros, et sans bluffer. « Toute la stratégie a été pensée depuis Doha en mai-juin, indique un ancien dirigeant. Les Qataris ont horreur de perdre la face. »
Le FC Barcelone, club surpuissant, va s’en rendre compte à ses dépens. Pour lui chiper Neymar, sous contrat jusqu’en 2021, le PSG s’acquitte sans sourciller de sa clause libératoire, ces 222 millions jugés jusque-là hors d’atteinte. « Ce recrutement, c’est un caprice de l’émir, résume une source proche de Doha. On est dans le show. Cela fait longtemps qu’ils veulent engager un très grand joueur. Le budget était illimité, et cela a mis trois ou quatre mois. Nasser n’avait pas le choix, il devait avoir Neymar. »
Les dessous du montage financier mis en place à cette occasion gardent une partie de leurs secrets : la Ligue de football espagnole ayant refusé le paiement par le club français de la clause libératoire du joueur, c’est l’entourage de Neymar qui a dû verser la somme demandée, sans que l’on sache comment celle-ci va figurer dans les comptes du PSG. Se sentant spolié, le FC Barcelone a en outre déposé plainte au pénal pour réclamer à son ancienne star 8,5 millions d’euros de « dommages et préjudices » pour non-respect de son contrat.

« Coup magistral à plusieurs bandes »

Mais le PSG n’en reste pas là. Après Neymar, il se met en tête d’enrôler un joueur convoité depuis 2012 par le Real Madrid : l’attaquant monégasque Kylian Mbappé, 18 ans. Cette fois, le recrutement se fera sous forme d’un prêt avec option d’achat (145 millions d’euros + 35 millions d’euros de bonus). Un montage contesté par les clubs « historiques » du continent (Real Madrid, FC Barcelone, Juventus…), ulcérés par ces manières de nouveau riche.

Un autre événement, lié cette fois au business des droits de retransmission télévisée, renforce la détermination de l’émir. En mai, la chaîne BeIN Sports, lancée en France en 2012 et financée par le Qatar, a perdu les droits de diffusion de la Ligue des champions et de la Ligue Europa pour la période 2018-2021. SFR Sport, propriété du groupe Altice de Patrick Drahi, l’a emporté en s’engageant à débourser 350 millions d’euros annuels.
« La défaite contre le Barça, sponsorisé par Qatar Airways, et, quasi concomitamment, la perte de ces droits télé ont été deux gros coups durs », résume l’homme d’affaires Luc Dayan, qui avait vainement tenté d’aider des investisseurs qataris à racheter le PSG en 2006.
« Ce qui s’est passé est la résultante de plusieurs chocs, d’ordre émotionnel, économique et géopolitique, internes et externes, survenus en quelques semaines, poursuit-il. En saisissant l’incroyable opportunité juridique de payer la clause libératoire de Neymar, le Qatar a peut-être imaginé solutionner tous ces problèmes à la fois. Les enjeux sont devenus colossaux et il fallait faire, rapidement, quelque chose à la hauteur de ce “blitzkrieg” politique et de cette impasse business. Le Qatar a donc décidé de jouer un coup magistral à plusieurs bandes. »
Ce « coup magistral » dépasse le cadre du football. Il renvoie au contexte politique et diplomatique des derniers mois dans le Golfe. « C’est un mélange de choses, confirme un cadre du PSG. La situation actuelle du Qatar rentre en ligne de compte. »

L’émirat choisit de bomber le torse

Le début de la crise remonte au 5 juin, et n’a rien à voir avec le sport. Ce jour-là, l’Arabie saoudite et la Fédération émiratie, imitées par Bahreïn et l’Egypte, verrouillent leurs frontières terrestres, aériennes et maritimes avec Doha. En l’espace de quelques heures, la mini-monarchie se retrouve au ban du Golfe, accusée de frayer avec les « terroristes » islamistes et de pactiser avec les ayatollahs iraniens.
Plus moyen de faire rentrer le moindre camion de marchandises dans le pays, sa seule frontière terrestre ayant été bouclée par les Saoudiens. Plus possible, non plus, de faire accoster des porte-conteneurs dans le port émirati de Dubaï, le hub logistique du Qatar, qui fournit en matières premières la plupart de ses grands chantiers, notamment ceux en lien avec la Coupe du monde 2022.
Faute de pouvoir emprunter l’espace aérien de ces deux voisins, la flotte de la compagnie aérienne Qatar Airways, objet de fierté nationale et instrument de rayonnement planétaire, risque même d’être clouée au sol. Dans ce contexte, la presqu’île pourrait flancher, du moins être obligée de faire profil bas. Mais au bout de quelques jours, après s’être assuré que ses alliés occidentaux ne le lâcheront pas, l’émirat a choisi, au contraire, de bomber le torse.
Ses relations cordiales avec l’Iran exaspèrent ses voisins ? Il les consolide, en acceptant, début juin, les cargos et les avions remplis de nourriture que lui propose la République islamique, ravie d’accroître la zizanie sur la rive arabe du Golfe.
La diplomatie sous stéroïde de son pays agace les monarques de la péninsule, notamment sa propension à sous-traiter sa sécurité à des pays extérieurs à la région ? Le cheikh Tamim persiste dans cette voie en signant, mi-juin, un accord avec les Etats-Unis portant sur l’achat d’une trentaine de chasseurs F15 (pour 12 milliards de dollars). Il récidive quelques jours plus tard en accueillant une première fournée de soldats turcs, sur la base que la Turquie a ouverte dans l’émirat en 2015.

Neymar, une police d’assurance

L’opération Neymar obéit à la même logique, très ostentatoire et un rien puérile : faire étalage de sa puissance. Narguer ses contempteurs. Marteler que « tout va bien ». Bien sûr, le lancement de l’opération est nettement antérieur à cette crise de voisinage. Mais la perspective d’un tel transfert, au retentissement garanti, offre à l’émir un surcroît de motivation. « Ces efforts et cette mise en lumière protègent davantage le Qatar, observe un cadre du club parisien. Ce projet et sa finalité dépassent le sport. »
Deux semaines durant, au cœur de l’été, Qatar rime donc avec Neymar. Plutôt que de pointer les liaisons dangereuses de l’émirat ou ses accointances passées – et peut-être encore présentes – avec certains groupes extrémistes syriens, notamment le front Al-Nosra, ex-branche d’Al-Qaïda, les commentateurs du monde entier s’extasient sur le méga-mercato du PSG.
La manœuvre n’échappe pas aux Saoudiens, ni à leurs médias, très offensifs contre l’adversaire. Un sujet diffusé début août sur la chaîne Al-Arabiya, propriété de la famille royale, en témoigne. Sur fond d’images d’archives montrant un embouteillage, une rue inondée et un quartier déshérité de Doha, il assène que « les Qataris ne sont pas contents que leurs dirigeants dépensent autant d’argent pour un joueur de football, alors que le pays a des problèmes d’infrastructures à régler ».


Neymar sert aussi de police d’assurance en vue du Mondial 2022, organisé au Qatar. A cinq ans du match d’ouverture de « son » Mondial, l’équipe nationale n’a toujours pas décollé. Jeudi 31 août, elle a même été écartée par la Syrie (1-3), nation en lambeaux, de la qualification pour l’édition de 2018 en Russie. Le Qatar, déjà « plombé » par les soupçons de corruption qui entachent depuis plusieurs années l’attribution de cette compétition, sera ainsi le premier pays de l’histoire du football à n’avoir jamais disputé de Coupe du monde avant d’en accueillir une.
« Le football est la deuxième religion du Moyen-Orient. La pression du résultat sera lourde sur les épaules de Tamim, prévient le politologue Nabil Ennasri, directeur de l’Observatoire du Qatar. Voilà pourquoi il a tant voulu Neymar. C’est sa roue de secours. Si l’équipe nationale ne brille pas, le PSG le fera à sa place. Et Tamim pourra garder la tête haute. »

Etat-major chamboulé

La stratégie de relance du PSG ne se limite pas au recrutement du duo Neymar-Mbappé. Nasser Al-Khelaïfi, sous pression, a décidé, dès le printemps, de chambouler tout son état-major. Après la démission, en avril, du directeur sportif Olivier Létang, il pousse au départ le Néerlandais Patrick Kluivert, nommé un an plus tôt au poste de « directeur du football ». « Kluivert, c’était une erreur de casting monumentale », regrette un salarié.
A sa place, il engage le Portugais Antero Henrique, jusque-là directeur sportif et responsable du recrutement du FC Porto. A ses côtés, un jeune « retraité » des terrains : le joueur brésilien Maxwell. Très apprécié de ses ex-coéquipiers, des dirigeants et des supporters, cet homme intelligent et diplomate est promu coordinateur sportif.

Avec Henrique, le monde du foot sait à quoi s’en tenir. L’homme a l’art de naviguer et le don d’imaginer des mécanismes financiers assez complexes. « Porto est depuis plusieurs années la plaque tournante des joueurs sud-américains, le quasi-inventeur du trading de joueurs à forte plus value », note Luc Dayan.
Au Portugal, Henrique s’est distingué par les ventes records de l’Argentin Lucho Gonzalez à l’OM (en 2009 contre 22 millions d’euros) ou du Colombien Falcao (en 2011 contre 40 millions d’euros) à l’Atlético Madrid à un moment où la tierce propriété, interdite par la Fédération internationale de football (FIFA) depuis 2015, était une pratique couramment employée par le club portugais. « Henrique connaît tout le monde, il est seul en charge du sportif, le cœur du réacteur de QSI », glisse un dirigeant du PSG.
Sitôt arrivé, il fait entrer deux agents de joueurs plus ou moins sulfureux dans les coulisses des transferts du PSG. Le premier est son compatriote Jorge Mendes, numéro 1 mondial de la profession, imprésario de Cristiano Ronaldo et de l’entraîneur José Mourinho.
Mendes représente déjà plusieurs joueurs parisiens (le Brésilien Thiago Silva, l’Argentin Angel Di Maria) et pilote la puissante compagnie Gestifute, dotée d’un portefeuille de clients estimé à 727 millions de dollars en 2016. Sa mise en examen, en juin, par la justice espagnole pour avoir échafaudé un système d’évasion fiscale au profit de sept de ses clients, ne dissuadera pas le club parisien de travailler avec lui.

Tour de vis général

Le second agent est l’Israélien Pini Zahavi, 73 ans, proche du clan Neymar, et donc artisan décisif de sa venue à Paris. Présenté comme un « facilitateur » de transactions, ce septuagénaire établi à Londres, notamment connu pour avoir contribué au rachat du club de Chelsea, en 2003, par l’oligarque russe Roman Abramovitch, devient vite un interlocuteur de référence pour les Parisiens. « Zahavi et Mendes imaginent et facilitent les achats de joueurs mais également les ventes, les “sorties”, grâce à leur incroyable réseau tissé au fil des années », précise Luc Dayan.
Dans son sujet diffusé début août, la chaîne saoudienne Al-Arabiya a d’ailleurs glosé sur l’agent israélien, arguant, sur fond de drapeau frappé de l’étoile de David, qu’une partie de son cachet (estimé à 35 millions d’euros) allait atterrir dans les caisses de l’Etat hébreu. Message implicite envoyé aux spectateurs arabes : le méchant petit Qatar finance l’ennemi sioniste. Une attaque mal venue lorsque l’on sait combien l’Arabie saoudite et Israël se sont rapprochés, en secret, ces dernières années, du fait de leur hostilité commune à l’Iran…
Outre le recrutement d’Henrique, Nasser Al-Khelaïfi prolonge la restructuration en nommant Victoriano Melero, ancien directeur général adjoint de la Fédération française de football (FFF), au poste de secrétaire général. A la direction de la communication du club, il vient aussi de promouvoir son proche conseiller chez QSI, Jean-Martial Ribes, l’homme qui a géré, en toute discrétion et avec succès, le retour progressif des Ultras au Parc des Princes.
Autre changement fortement symbolique : la nomination de l’ex-joueur et entraîneur parisien Luis Fernandez, par ailleurs consultant chez BeIN Sports, comme directeur sportif du centre de formation. Les dirigeants qataris entendent ainsi faire fructifier leur vivier de talents afin d’augmenter à l’avenir les recettes sur le marché des transferts. Enfin, dernier mouvement interne : le bras droit de Nasser Al-Khelaïfi, Jean-Claude Blanc, serait sur le départ. Selon plusieurs sources, il pourrait rejoindre très prochainement le comité d’organisation de Paris 2024.
Les joueurs n’ont pas été épargnés par ce tour de vis général. En juillet, Nasser Al-Khelaïfi a empêché l’Italien Marco Verratti, sous contrat jusqu’en 2021, de céder aux avances du FC Barcelone. La manœuvre d’approche des Catalans a touché l’orgueil du président du PSG, tout en accentuant la tension entre les deux clubs avant même le feuilleton Neymar.
Quant à l’attaquant français Hatem Ben Arfa, il a été mis au placard et même invité à s’entraîner un temps avec l’équipe réserve, engagée en championnat amateur. Nasser Al-Khelaïfi n’avait pas apprécié qu’il fasse part de ses états d’âme à l’émir, lors de sa fameuse visite au centre d’entraînement du Camp des loges.

Dans la mire des instances de régulation

Comme attendu, les grandes manœuvres estivales du PSG, doté d’un budget pharaonique (540 millions d’euros), ont entraîné une riposte des ténors du Vieux Continent, réunis au sein de l’Association européenne des clubs (ECA). Le FC Barcelone, le Real Madrid et la Juventus Turin ont perçu le transfert de Neymar comme un affront. « Une rupture par rapport aux grands équilibres auparavant actés », confiait en août, au Monde, Jean-Michel Aulas, président du Football Club de Lyon lyonnais et membre influent de l’ECA. « On est dans l’indécence, insiste un agent pourtant proche du PSG. C’est la lutte entre le fric du Qatar et les institutions. »
Le 1er septembre, l’Union des associations européennes de football (UEFA) a d’ailleurs annoncé l’ouverture d’une enquête portant sur « la conformité du club parisien avec l’exigence de l’équilibre financier ». Cette enquête exceptionnelle, diligentée par l’Instance de contrôle financier des clubs (ICFC), vise à vérifier si le PSG est dans les clous du fair-play financier (FPF), ce mécanisme introduit en 2011 par l’UEFA en vertu duquel les clubs doivent dépenser autant qu’ils gagnent sous peine de sanction.
« Nous sommes devant un cas à la fois exceptionnel et grave, assure au Monde une source proche de l’enquête de l’ICFC. La crédibilité du système est en jeu. Justice doit être rendue sans attendre deux ans. Il faut sauver la crédibilité de la Ligue des champions. On ne peut pas laisser le PSG faire deux saisons tranquillement. »


Censée rendre son verdict au terme de la saison, l’ICFC doit ausculter, d’ici à novembre, les montages juridiques et financiers des transferts de Neymar – rémunéré à hauteur de 30 millions net annuels – et de Mbappé. Il faudra sortir la calculette : déjà sanctionné en 2014 (amende ferme de 20 millions d’euros et limitation de joueurs inscrits en Ligue des champions), le club français devra afficher un déficit maximal de 30 millions d’euros sur trois ans pour respecter le FPF. Une gageure sachant qu’il a déboursé plus de 400 millions d’euros cet été sur le marché des transferts…
L’ICFC compte également scruter les contrats de sponsoring liant le PSG à des entités qataries, comme l’Autorité du tourisme du Qatar (QTA). Les enquêteurs souhaitent d’autant plus « éplucher » le partenariat entre le PSG et QTA, renouvelé en août 2016 contre 175 millions d’euros par saison, que le précédent accord (200 millions d’euros) avait été jugé suspect et donc décoté de moitié par l’UEFA, en 2014.

« C’est une entreprise d’entertainment »

Comment les dirigeants parisiens, qui ont enregistré 521 millions de revenus au terme de la saison 2015-2016, pourront-ils respecter les règles du FPF ? Sollicité par Le Monde, Nasser Al-Khelaïfi n’a pas donné suite. Dans un entretien accordé au quotidien britannique Daily Telegraph à la veille du match, mardi 12 septembre, de son équipe face au Celtic Glasgow, le président parisien se disait serein, et certain de respecter le FPF d’ici la date butoir de juin 2018.
En interne, on laisse entendre qu’une « feuille de route » existe. Le club prévoit une nette hausse des revenus liés au sponsoring et au merchandising, secteurs qui lui avaient rapporté 150 millions d’euros sur l’exercice 2015-2016. Il s’agit notamment des retombées attendues de l’arrivée conjointe de Neymar et de Mbappé, qui partagent le même équipementier américain : Nike. « Le premier représente la marchandisation, la mondialisation, le second symbolise les cités, sa ville natale de Bondy, affirme un agent proche de l’équipe parisienne. Cela fait partie de la stratégie du club pour gonfler ses revenus. »
Selon le PSG, 120 000 maillots floqués Neymar ont été vendus « en trente jours ». Les dirigeants espèrent tirer profit de leurs deux recrues en obtenant la revalorisation du contrat liant le club à Nike, estimé à 25 millions d’euros par saison. Pour l’équipementier américain, l’enjeu est d’importance : treize des vingt-quatre joueurs du PSG sont actuellement sous contrat, à titre personnel, avec cette marque. Le PSG version Neymar a tout d’une « équipe Nike » de dimension planétaire. « Le PSG, ce n’est plus un club, c’est une entreprise d’entertainment », regrette un salarié.
Les joueurs eux-mêmes s’amusent. En France, ils sont déjà en tête du championnat avec cinq victoires en cinq matchs. En Europe, l’aventure en Ligue des champions ne fait que commencer, mais mieux vaut pour les dirigeants parisiens qu’elle aille le plus loin possible.
« Emery est obligé de la gagner dès cette année », assure même un ex-responsable du PSG. « Un club, c’est une histoire, un palmarès, du temps, mais les Qataris ne sont pas dans ce truc-là, abonde un cadre actuel. Aucun écart ne sera permis à Nasser. » Seule une victoire lui permettra de satisfaire l’ambition dévorante de son ami l’émir.

Par Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant) et Rémi Dupré

http://www.lemonde.fr/football/article/ ... 16938.html
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G.bédécarrax
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par G.bédécarrax »

Merci :beer:
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OMnibus
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par OMnibus »

Merci 1000 fois pour cet article qui synthétise ce que beaucoup disent ici depuis 5 ans.
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MitroMiPasAssezGlou
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par MitroMiPasAssezGlou »

Ahahah, et après les Lynx nous soutiennent mordicus que Nasser "The brain" a réfléchi à tout mdr3 Il a juste agis sur ordre de son maitre qui faisait un caca nerveux géopoliticomégalomaniaque.

Vivement qu'ils se fasse dégommer par l'UEFA.
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par si-ma-tante-en-avait »

Tu voulais dire ... l'UEFAl-qaida.

Elle est bonne, non ?
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MitroMiPasAssezGlou
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par MitroMiPasAssezGlou »

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Okamiyakuza
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Okamiyakuza »

Merci pour l'article :beer:
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Hyde
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Hyde »

Combien de choses dans l'Histoire ne sont rien d'autre qu'un concours de bites.
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Kiskill
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Kiskill »

C'est plutôt : combien de choses ne le sont pas :oops: :grinj:
-- Quand les amoureux se ramassent à la pelle...
-- Toutes les feuilles mortes se marrent entre elles...

Nota : Ce qui déroute le plus les femmes, c'est d'avoir affaire à un éjaculateur précoce qui fait l'autruche.
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Monsieur Pourquoi
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Monsieur Pourquoi »

Très bien résumé Hyde

Ces concours de testostérone m'agacent au + haut point.
Hiroki...
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Hyde
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Hyde »

Kiskill a écrit :C'est plutôt : combien de choses ne le sont pas :oops: :grinj:
Oui :grinj:
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par MitroMiPasAssezGlou »

Bah, c'est la logique des choses. Un club détestable d'enculés blingbling propriété d'un des plus grand enculé détestable blingbling de la planète.

Mais cette impulsivité est notre espoir. :coup:
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Okamiyakuza »

Si les proprios de city venait à reagir comme la prince,ils peuvent faire passer les transferts de moneymar et Mbappe pour un pourboire et c'est cette surenchère qui fait peur!
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par si-ma-tante-en-avait »

Le QSG est mieux géré que City. J'ai pas le temps de mener le débat. Bise.
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Kaka2278 »

Article complet qui résume bien la mentalité qu'il y a dans ce club. On essaie avant tout de s'approprier toutes les richesses (en l'occurence dans le football les joueurs) sans se préoccuper de développer l'identité du club et méprisant les règlements ainsi que l'adversité. Le danger c'est qu'en tuant l'adversité, on tue l'essence même qui passionne les gens et qui leur donne envie de suivre le football : La rivalité entre deux ou plusieurs protagonistes. Le fait qu'il y ait des clubs avec une identité établie et qui boxe dans la même catégorie.

Le PSG peut très bien rater un mercato en injectant 300 millions, il aura toujours la chance de finir au pire 2e et donc de s'assurer des revenus supplémentaires liés à la Ligue des Champions. Alors, certes dans d'autres pays il y a eu par le passé des attitudes similaires, mais un mercato raté faisait automatiquement redescendre l'équipe plus bas dans la hiérarchie. Les derniers exemples en date sont : Chelsea, Milan, l'Inter. Même le Barca avait un marge de manoeuvre limité sur le marché des transferts car sur les deux-trois dernières saisons, ils ont fait n'importe quoi. Alors qu'au PSG...on rate le mercato et on prend Neymar...
Pas convaincu par la théorie du complot, ni par le théorème de l'équilibrage (i.e. Le théorème des gentils cons) qui consiste à dire que les erreurs d'arbitrage s'équilibrent sur une saison
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par MitroMiPasAssezGlou »

si-ma-tante-en-avait a écrit :Le QSG est mieux géré que City. J'ai pas le temps de mener le débat. Bise.
Ils ont filé 20 millions à un entraineur pour le faire partir ?
Ils ont eu double direction sportive incompétente et des tensions à interne importantes ?

Ce sont deux clubs de boufons friqués qui compensent l'incompétence par une tonne d'argent.
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Kahaine »

Ce club et ses supporters ne méritent tellement pas Edinson Cavani :lol:
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Francis_Perrin »

Victoire logique face a une équipe de LYON qui a ni plus ni moins joué le béton comme les autres ( on était a 83-17 à un moment )
Mais leur niveau étant supérieure aux précédent, c'était meilleur sur tous les points :
- DEFENSIF avec TETE par exemple très bon
- PHYSIQUE avec NDOMBELE monstrueux !
- TECHNIQUE a l'image de FEKIR

Du coup on a bien galéré jusqu'à la sortie de NDOMBELE et l'entrée de LOCELSO

Mais on a fait le taf
- Pas sur que le 4-2-3-1 soit une bonne solution car MOTTA a 2 est dépassé
- KURZAWA est nul. Nul...
- KIMPEMBE est un monstre qui va vite gagner sa place en EDF tellement il est au dessus

PS : CAVANI est adoré des supporters ( autant qu'il le sfait enrager a chaque contrôle et passe foirée :grinj: )
Pour les histoires de CPA, ils règleront ca entre eux, ce n'est pas un pb... l'EQUIPE ce matin qui titre la dessus ce torchon :lol:
Le PSG ne s'interdit pas le rêve! Nous avons de l'ambition de monter une grande équipe européenne la saison prochaine. Christophe Landrin est notre 1ère recrue.
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Nanardstef »

Kahaine a écrit :Ce club et ses supporters ne méritent tellement pas Edinson Cavani :lol:
J'ai pensé la même chose tellement de fois depuis son arrivée à Paris ... ce joueur à Marseille aurait été tellement plus heureux :deg:
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Francis_Perrin
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Francis_Perrin »

Vous n'êtes pas capable d'apprécier GOMIS, alors CAVANI :blaz:
Le PSG ne s'interdit pas le rêve! Nous avons de l'ambition de monter une grande équipe européenne la saison prochaine. Christophe Landrin est notre 1ère recrue.
P. Blayau - mai 2005

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Monsieur Pourquoi
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Re: Le PQSG ou le PQSI ?

Message par Monsieur Pourquoi »

Alors là, tu m'épates FP
Hiroki...
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