Et l'option : financement au début (disons 5 ans) puis, grâce au projet sportif mis en place, l'équilibre-rentabilité arriverait ?Le Vieux Buk a écrit :On va essayer de le dire précisément alors : Le problème n'est pas spécialement le financement (et encore, parce qu'il va falloir soit rendre le club rentable, pour de vrai, soit mettre la main à la poche tous les ans).
Concrètement, en quoi le projet socios change quelque chose à la gouvernance ? Le président est élu par les socios et plus désigné par l'actionnaire. Il a 1 mandat (durée à définir mais genre la durée d'1 cycle sportif) et a été élu pour respecter le projet du club (qui sera à définir mais qu'on peut résumer par "droit au but") et les moyens disponibles. Le vrai problème c'est l'élection et le jeu d'influences qui s'en suit.Le Vieux Buk a écrit :Le problème, c'est la gouvernance. Déjà que lorsqu'il y a une direction précise elle n'a jamais les coudées franches...
C'est là principalement que ce projet est dénué de sens. En l'état, c'est juste du crowdfunding pour que certaines mafias puissent plus facilement prendre le contrôle du club.
Ça s'en rapproche effectivement mais là tes contreparties c'est 1) ta voix dans l'élection du président 2) ta voix dans n'importe quelle décision majeure (à définir) 3) participation aux AG pour surveiller.
Marseille a une identité forte, volontiers rebelle et avec un sentiment important de fierté d'être ce qu'elle est par rapport au reste de la FranceZeB83 a écrit :Pour revenir sur ce sujet de socios, je pense que prendre comme exemple les socios du Barça est une erreur. La Catalogne a une identité forte, volontiers indépendantiste et avec un sentiment important de supériorité au reste de l'Espagne.

ZeB83 a écrit :Tu compares donc, la Catalogne riche est développée avec 7,5M d'habitants, à Marseille pauvre et ses 800K habitants.
Là, ok, c'est un vrai problème.